Table des matières
83 relations: Ab initio, Abattoir, Accélérateur de particules, Anglais, Électromagnétisme, Électrostatique, Émission de neutron, Émission de proton, Énergie de Fermi, Barrière coulombienne, Barrière de potentiel, Calcium, Capture électronique, Capture neutronique, Carbone, Carbone 13, Carbone 14, Carte des nucléides, Chaleur de réaction, Charge électrique, Chiralité, Effet tunnel, Entier relatif, Fer, Fermion, Fission nucléaire, Fluor, Flux (mathématiques), Fonction étagée, Force nucléaire, Germanium, Hélium, Interaction faible, Interaction forte, Isospin, Isotope, Isotope stable, Isotopes de l'or, Isotopes du bore, Isotopes du magnésium, Isotopes du sodium, Liaison nucléaire, Linéarité, Loi de Planck, Matière dégénérée, Métallicité, Nicolas Prantzos, Niveau d'énergie, Nombre magique (physique), Noyau atomique, ... Développer l'indice (33 plus) »
- Nucléosynthèse
Ab initio
La locution latine ab initio signifie depuis le début/commencement et est utilisée dans plusieurs contextes.
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Abattoir
Un abattoir est un bâtiment dans lequel le bétail est abattu par plusieurs personnes pour l'alimentation humaine.
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Accélérateur de particules
Un accélérateur de particules est un instrument qui utilise des champs électriques ou magnétiques pour amener des particules chargées électriquement à des vitesses élevées.
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Anglais
vignette Langlais (prononcé) est une langue indo-européenne germanique originaire d'Angleterre qui tire ses racines de langues du nord de l'Europe (terre d'origine des Angles, des Saxons et des Frisons) dont le vocabulaire a été enrichi et la syntaxe et la grammaire modifiées par le français anglo-normandLe français anglo-normand est la forme insulaire du normand., apporté par les Normands, puis par le français avec les Plantagenêt.
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Électromagnétisme
Lélectromagnétisme, aussi appelé interaction électromagnétique, est la branche de la physique qui étudie les interactions entre particules chargées électriquement, qu'elles soient au repos ou en mouvement, et plus généralement les effets de l'électricité, en utilisant la notion de champ électromagnétique.
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Électrostatique
Billes de polystyrène collées sur la fourrure d'un chat par l'électricité statique. CD chargé d'électricité statique. Foudre engendrant un éclair lumineux au-dessus d'Oradea en Roumanie. Lélectrostatique est la branche de la physique qui étudie les phénomènes créés par des charges électriques statiques pour l'observateur.
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Émission de neutron
L'émission de neutron est la réaction (radioactive) par laquelle un isotope (instable) perd (spontanément) un neutron, le nombre de masse diminue de un et le numéro atomique est conservé.
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Émission de proton
L’émission de proton (appelée aussi radioactivité de proton) est un type de désintégration radioactive dans laquelle un proton est éjecté du noyau atomique.
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Énergie de Fermi
L'énergie de Fermi, EF, en mécanique quantique, est l'énergie du plus haut état quantique occupé dans un système par des fermions à 0 K.
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Barrière coulombienne
En physique nucléaire, la barrière coulombienne entre deux noyaux atomiques en interaction résulte de la compétition entre deux forces: la force de répulsion électrostatique entre les protons (selon la loi de Coulomb), qui est à longue portée (théoriquement jusqu'à l'infini), et la force nucléaire entre les nucléons (neutrons et protons), qui est fortement attractive mais à courte portée (de l'ordre du femtomètre).
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Barrière de potentiel
Schéma d'une barrière potentielle Une barrière de potentiel est un niveau élevé d'énergie que doit posséder provisoirement un objet mécanique pour suivre une trajectoire au long de laquelle globalement moins d'énergie est requise, la partie au-delà de la barrière lui étant impossible s'il n'atteint pas ce niveau.
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Calcium
Calcium protégé sous atmosphère d'argon. Le calcium est l'élément chimique de numéro atomique 20, de symbole Ca.
Voir Limite de stabilité et Calcium
Capture électronique
émission de proton p. La capture électronique (plus précisément capture électronique orbitale, section « Notations »), ou désintégration ε, ou parfois désintégration bêta inverse, est un processus de physique nucléaire au cours duquel un noyau atomique déficient en neutrons absorbe un électron situé sur une couche électronique de l’atome.
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Capture neutronique
En physique nucléaire, la capture neutronique est le processus par lequel un noyau capture un neutron sans se désintégrer (et émet un rayonnement gamma pour évacuer l'énergie en excès).
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Carbone
Le carbone est l'élément chimique de et de Il possède trois isotopes naturels.
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Carbone 13
Le carbone 13, noté C, est l'isotope du carbone dont le nombre de masse est égal à 13: son noyau atomique compte et avec un spin 1/2- pour une masse atomique de.
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Carbone 14
Le carbone 14, noté C, est l'isotope du carbone (sens 1).
Voir Limite de stabilité et Carbone 14
Carte des nucléides
La carte des nucléides permet de décrire certaines propriétés des nucléides de manière graphique simple en les inscrivant sur un système d'axes nombre de neutrons / numéro atomique (nombre de protons).
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Chaleur de réaction
En physique nucléaire et en chimie nucléaire, la chaleur de réaction ou valeur Q d’une réaction est la quantité d’énergie libérée par cette réaction.
Voir Limite de stabilité et Chaleur de réaction
Charge électrique
La charge électrique est une propriété fondamentale de la matière qui lui permet d'interagir par le biais de champs électromagnétiques.
Voir Limite de stabilité et Charge électrique
Chiralité
La chiralité (du grec χείρ, kheir: main) est une importante propriété reliant les notions de symétrie et d'orientation, intervenant dans diverses branches de la science.
Voir Limite de stabilité et Chiralité
Effet tunnel
L'effet tunnel désigne la propriété que possède un objet quantique de franchir une barrière de potentiel même si son énergie est inférieure à l'énergie minimale requise pour franchir cette barrière.
Voir Limite de stabilité et Effet tunnel
Entier relatif
En mathématiques, un entier relatif, un entier rationnel ou simplement un nombre entier est un nombre qui se présente comme un entier naturel auquel on a adjoint un signe positif ou négatif indiquant sa position par rapport à 0 sur un axe orienté.
Voir Limite de stabilité et Entier relatif
Fer
Le fer est l'élément chimique de numéro atomique 26, de symbole Fe.
Voir Limite de stabilité et Fer
Fermion
En physique des particules, un fermion (nom attribué par Paul Dirac d'après Enrico Fermi) est une particule de spin demi-entier (c'est-à-dire 1/2, 3/2, 5/2...). Elle obéit à la statistique de Fermi-Dirac.
Voir Limite de stabilité et Fermion
Fission nucléaire
Schéma animé (simplifié) d'une fission nucléaire. Un atome (énorme rond rouge) est percuté par un neutron (point bleu). Celui-ci se scinde en deux atomes. La réaction émet d'autres neutrons. La fission nucléaire est le phénomène par lequel un noyau atomique lourd (c'est-à-dire formé d'un grand nombre de nucléons — comme l'uranium, le plutonium) est scindé en deux ou en quelques nucléides plus légers.
Voir Limite de stabilité et Fission nucléaire
Fluor
Un tube contenant du fluor dans un bain de liquide cryogénique. Le fluor est l'élément chimique de numéro atomique 9, de symbole F. C'est le premier élément du groupe des halogènes.
Voir Limite de stabilité et Fluor
Flux (mathématiques)
En analyse vectorielle, on appelle flux d'un champ vectoriel deux quantités scalaires analogues, selon qu'on le calcule à travers une surface ou une courbe.
Voir Limite de stabilité et Flux (mathématiques)
Fonction étagée
En mathématiques et en analyse.
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Force nucléaire
La force nucléaire, qui s'exerce entre nucléons, est responsable de la liaison des protons et des neutrons dans les noyaux atomiques.
Voir Limite de stabilité et Force nucléaire
Germanium
Le germanium est l'élément chimique de numéro atomique 32, de symbole Ge.
Voir Limite de stabilité et Germanium
Hélium
L’hélium est l'élément chimique de numéro atomique 2, de symbole He.
Voir Limite de stabilité et Hélium
Interaction faible
L'interaction faible déclenche la nucléosynthèse dans les étoiles. L'interaction faible (aussi appelée force faible et parfois force nucléaire faible) est l'une des quatre interactions fondamentales de la nature, les trois autres étant les interactions électromagnétique, forte et gravitationnelle.
Voir Limite de stabilité et Interaction faible
Interaction forte
L'interaction forte lie les quarks dans les nucléons, ici dans un proton. L'interaction forte, ou force forte, appelée parfois force de couleur, ou interaction nucléaire forte, est l'une des trois interactions entre particules élémentaires de la matière dans le modèle standard aux côtés de l'interaction électromagnétique et de l'interaction faible.
Voir Limite de stabilité et Interaction forte
Isospin
En physique nucléaire et en physique des particules, l'isospin (I) est un nombre quantique dans le domaine de l’interaction forte.
Voir Limite de stabilité et Isospin
Isotope
Quelques isotopes de l'oxygène, de l'azote et du carbone. Deux nucléides d'un même élément chimique sont dits isotopes s'ils partagent le même nombre de protons, Z, mais ont un nombre de neutrons, N, différent.
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Isotope stable
Table des isotopes par mode de désintégration majoritaire (données du programme Nucleus). Un isotope stable d'un élément chimique est un isotope qui n'a pas de radioactivité décelableDans le jargon des géochimistes, et notamment dans l'expression « géochimie des isotopes stables », le terme « isotope stable » est utilisé avec un sens plus restreint, celui d'isotope à la fois stable et non radiogénique.
Voir Limite de stabilité et Isotope stable
Isotopes de l'or
Un lingot d'or L'or (Au) possède 37 isotopes connus, de nombre de masse variant entre 169 et 205, et 34 isomères nucléaires.
Voir Limite de stabilité et Isotopes de l'or
Isotopes du bore
tableau des isotopes du B-10 après l'hydrogène 3.svg Le bore (B) est un élément présent dans la nature sous la forme de deux isotopes stables, 10B et 11B, le second représentant 80 % du bore naturel.
Voir Limite de stabilité et Isotopes du bore
Isotopes du magnésium
Le magnésium, de symbole Mg, possède 22 isotopes connus avec un nombre de masse variant entre 19 et 40.
Voir Limite de stabilité et Isotopes du magnésium
Isotopes du sodium
Le sodium (Na) possède 23 isotopes connus allant de 18Na à 37Na ainsi que le 39Na découvert en 2022 et deux isomères nucléaires (22mNa et 24mNa).
Voir Limite de stabilité et Isotopes du sodium
Liaison nucléaire
La liaison nucléaire est le phénomène qui assure la cohésion d'un noyau atomique.
Voir Limite de stabilité et Liaison nucléaire
Linéarité
Le concept de linéarité est utilisé dans le domaine des mathématiques et dans le domaine de la physique, et par extension dans le langage courant.
Voir Limite de stabilité et Linéarité
Loi de Planck
La loi de Planck définit la distribution de luminance énergétique spectrale du rayonnement thermique du corps noir à l'équilibre thermique en fonction de sa température thermodynamique.
Voir Limite de stabilité et Loi de Planck
Matière dégénérée
On dit de la matière qu'elle est dégénérée lorsque sa densité est suffisamment élevée pour que le principe d'exclusion de Pauli intervienne à l'échelle macroscopique, ce qui a pour conséquence de modifier la relation qui lie normalement la pression et le volume d'un gaz avec sa température.
Voir Limite de stabilité et Matière dégénérée
Métallicité
En astrophysique, la métallicité d'un objet astronomique est la fraction de sa masse qui n'est pas constituée d'hydrogène ou d'hélium.
Voir Limite de stabilité et Métallicité
Nicolas Prantzos
Nicolas Prantzos (né en 1956) est un astrophysicien, écrivain et éditeur scientifique.
Voir Limite de stabilité et Nicolas Prantzos
Niveau d'énergie
Un niveau d'énergie est une quantité utilisée pour décrire les systèmes en mécanique quantique et par extension dans la physique en général, sachant que, s'il y a bien quantification de l'énergie, à un niveau d'énergie donné correspond un « état du système » donné; à moins que le niveau d'énergie soit dit « dégénéré ».
Voir Limite de stabilité et Niveau d'énergie
Nombre magique (physique)
En physique nucléaire, un nombre magique est un nombre de protons ou de neutrons pour lequel un noyau atomique est particulièrement stable; dans le modèle en couches décrivant la structure nucléaire, cela correspond à un arrangement en couches complètes.
Voir Limite de stabilité et Nombre magique (physique)
Noyau atomique
Noyau atomique de l'hélium. Le noyau atomique est la région située au centre d'un atome, constituée de protons et de neutrons (les nucléons).
Voir Limite de stabilité et Noyau atomique
Noyau à halo
En physique nucléaire, un noyau à halo désigne un type de noyaux atomiques aux limites de la stabilité nucléaire pour lesquels certains nucléons connaissent une extension significative de leur fonction d'onde en raison de la faiblesse de leur énergie de liaison au noyau.
Voir Limite de stabilité et Noyau à halo
Nucléide
Un nucléide est une classe d'atomes dont le noyau possède le même nombre de protons, le même nombre de neutrons et le même état énergétique.
Voir Limite de stabilité et Nucléide
Nucléon
Un nucléon est un composant du noyau atomique, c'est-à-dire un proton ou un neutron, consulté le 15 octobre 2023.
Voir Limite de stabilité et Nucléon
Nucléosynthèse
La nucléosynthèse est la synthèse de noyaux atomiques par différentes réactions nucléaires (capture de neutrons ou de protons, fusion nucléaire, fission nucléaire, spallation), éventuellement suivies de désintégrations radioactives ou de fission spontanée.
Voir Limite de stabilité et Nucléosynthèse
Nucléosynthèse primordiale
La nucléosynthèse primordiale (BBN, pour l'anglais Big Bang nucleosynthesis) est un événement de nucléosynthèse (c'est-à-dire de synthèse de noyaux atomiques) qui, selon la théorie du Big Bang, s'est déroulé dans tout l'Univers pendant les premières dizaines de minutes de son histoire, dans un intervalle de temps compris entre et.
Voir Limite de stabilité et Nucléosynthèse primordiale
Nucléosynthèse stellaire
La nucléosynthèse stellaire est le terme utilisé en astrophysique pour désigner l'ensemble des réactions nucléaires qui se produisent à l'intérieur des étoiles (fusion nucléaire et processus s) ou pendant leur destruction explosive (processus r, p, rp) et dont le résultat est la synthèse de la plupart des noyaux atomiques.
Voir Limite de stabilité et Nucléosynthèse stellaire
Numéro atomique
400px Le numéro atomique d'un atome, d'un nucléide ou plus généralement d'un élément chimique, est son nombre de protons.
Voir Limite de stabilité et Numéro atomique
Particule α
Les particules alpha (ou rayons alpha) sont une forme de rayonnement émis, principalement, par des noyaux instables de grande masse atomique.
Voir Limite de stabilité et Particule α
Photodésintégration
La photodésintégration est une réaction nucléaire induite par un rayon gamma de haute énergie.
Voir Limite de stabilité et Photodésintégration
Physical Review Letters
Physical Review Letters (abrégé en Phys.) est une revue scientifique à comité de lecture qui publie des articles sous forme de communications dans tous les domaines de la physique.
Voir Limite de stabilité et Physical Review Letters
Physics Today
Physics Today est une publication de l'American Institute of Physics.
Voir Limite de stabilité et Physics Today
Physique des particules
La physique des particules ou la physique subatomique est la branche de la physique qui étudie les constituants élémentaires de la matière et les rayonnements, ainsi que leurs interactions.
Voir Limite de stabilité et Physique des particules
Physique nucléaire
La physique nucléaire est la science qui a pour objet l'étude du noyau atomique et des interactions dont il est le siège.
Voir Limite de stabilité et Physique nucléaire
Principe d'exclusion de Pauli
En 1925, Wolfgang Pauli proposa un principe selon lequel les électrons appartenant à un même système ne peuvent pas se trouver simultanément dans le même état quantique.
Voir Limite de stabilité et Principe d'exclusion de Pauli
Processus r
Le processus r est un ensemble de processus astrophysiques conduisant à la nucléosynthèse stellaire d'environ la moitié des éléments chimiques de numéro atomique supérieur à celui du fer, l'autre moitié étant produite par le processus ''p'' et le processus ''s''.
Voir Limite de stabilité et Processus r
Processus rp
processus ''rp''. Le processus rp est un ensemble de processus astrophysiques conduisant à la nucléosynthèse d'éléments chimiques lourds par capture rapide de protons — rp signifie rapid proton capture en anglais.
Voir Limite de stabilité et Processus rp
Proton
Le proton est une particule subatomique portant une charge électrique élémentaire positive.
Voir Limite de stabilité et Proton
Pulsar X
En astronomie, un pulsar X est un pulsar dont on détecte une émission dans le domaine des rayons X. Ces pulsars peuvent être classés en quatre catégories.
Voir Limite de stabilité et Pulsar X
Quantification (physique)
En physique, la quantification est une procédure permettant de construire une théorie quantique d'un champ à partir d'une théorie classique de ce champ.
Voir Limite de stabilité et Quantification (physique)
Quark
En physique des particules, un quark est une particule élémentaire et un constituant de la matière observable.
Voir Limite de stabilité et Quark
Radioactivité
☢) La maison de Georges Cuvier, au Jardin des plantes de Paris, où Henri Becquerel découvrit la radioactivité en 1896. La radioactivité est le phénomène physique par lequel des noyaux atomiques instables (dits radionucléides ou radioisotopes) se transforment spontanément en d'autres atomes (désintégration) en émettant simultanément des particules de matière (électrons, noyaux d'hélium, neutrons) et de l'énergie (photons et énergie cinétique).
Voir Limite de stabilité et Radioactivité
Radioactivité α
La radioactivité alpha (ou rayonnement alpha, symbolisé α) est le rayonnement provoqué par la désintégration alpha, soit la forme de désintégration radioactive où un noyau atomique éjecte une et se transforme en un noyau de nombre de masse diminué de 4 et de numéro atomique diminué de 2.
Voir Limite de stabilité et Radioactivité α
Radioactivité β
La radioactivité β, radioactivité bêta ou émission bêta (symbole β) est, à l'origine, un type de désintégration radioactive dans laquelle une particule bêta (un électron ou un positon) est émise.
Voir Limite de stabilité et Radioactivité β
Section efficace
En physique nucléaire ou en physique des particules, la section efficace est une grandeur physique reliée à la probabilité d'interaction d'une particule pour une réaction donnée.
Voir Limite de stabilité et Section efficace
Société américaine de physique
La Société américaine de physique (en anglais American Physical Society, APS) est une société savante fondée le, basée aux États-Unis, active dans le domaine de la recherche scientifique en physique.
Voir Limite de stabilité et Société américaine de physique
Statistique de Fermi-Dirac
En mécanique quantique et en physique statistique, la statistique de Fermi-Dirac désigne la distribution statistique de fermions indiscernables (tous similaires) sur les états d'énergie d'un système à l'équilibre thermodynamique.
Voir Limite de stabilité et Statistique de Fermi-Dirac
Structure nucléaire
La connaissance de la structure des noyaux atomiques, ou structure nucléaire est une question ouverte après un siècle de recherches en physique nucléaire.
Voir Limite de stabilité et Structure nucléaire
Sursauteur X
En astronomie, un sursauteur X est une classe de binaires X qui manifeste des augmentations rapides et périodiques en luminosité (habituellement d'un facteur 10 ou supérieur) atteignant leur apogée dans la plage de rayons X du spectre électromagnétique.
Voir Limite de stabilité et Sursauteur X
Tableau périodique étendu
bibcode.
Voir Limite de stabilité et Tableau périodique étendu
Tension superficielle
gerridés de se déplacer à la surface d'une mare. La tension superficielle est un phénomène physico-chimique lié aux interactions moléculaires d'un fluide.
Voir Limite de stabilité et Tension superficielle
TERMIUM Plus
TERMIUM Plus est la banque de données terminologiques et linguistiques du gouvernement du Canada.
Voir Limite de stabilité et TERMIUM Plus
Transition nucléaire
Une transition nucléaire est un réagencement des nucléons dans les couches nucléaires.
Voir Limite de stabilité et Transition nucléaire
Vallée de stabilité
La vallée de stabilité désigne, en physique nucléaire, l'endroit où se situent les isotopes stables, quand on porte en abscisse le numéro atomique et en ordonnée le nombre de neutrons de chaque isotope (carte des nucléides - les deux axes sont parfois inversés sur certaines représentations).
Voir Limite de stabilité et Vallée de stabilité
Voir aussi
Nucléosynthèse
- Étoile à plomb
- Béryllium 8
- B2FH
- Cycle carbone-azote-oxygène
- Flash de l'hélium
- Fusion de l'oxygène
- Fusion du carbone
- Fusion du deutérium
- Fusion du néon
- Fusion du silicium
- Limite de stabilité
- Noyau p
- Nucléosynthèse
- Nucléosynthèse explosive
- Nucléosynthèse primordiale
- Nucléosynthèse stellaire
- Photodésintégration
- Problème du lithium cosmologique
- Processus p
- Processus r
- Processus rp
- Processus s
- Réaction alpha
- Réaction triple alpha
- Spallation des rayons cosmiques
- Sursauteur X
Également connu sous le nom de Drip line.