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Vajrayogini

Indice Vajrayogini

Sculpture tibétaine représentant la déesse Vajrayogini. e ce mandala Tibetain de la tradition Naropa, Vajrayogini au centre dans deux triangles rouges entrecroisés, Rubin Museum of Art Vajra Yoginī (Sanskrit: वज्रवारारी; THL: Dorjé Naljorma;་), dont une autre forme est Vajravārāhī THL: Dorje Phagmo, « truie adamantine », est une déité bouddhique représentant l'essence propre des tantras Heruka Chakrasamvara, consœur de celui-ci.

17 relations: Cakrasamvara, Dakini, Ganden Phodrang, Gyalwang Drukpa, Héruka, Lhassa, Monastère de Samding, Naropa, Padmasambhava, Rubin Museum of Art, Samding Dorje Phagmo, Sanskrit, Shakti (hindouisme), Tashi Tsering (tibétologue), Tibet, Vajra Varahi, Yeshe Tsogyal.

Cakrasamvara

Cakrasaṃvara ou Korlo Demchog (en) est le yidam principal et heruka (déité courroucée) de l'école Kagyüpa du bouddhisme tibétain.

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Dakini

Une dakini (sanskrit IAST: ḍākinī), translittéré en 荼枳尼天, dakini-ten, ou encore khandroma) est une divinité féminine du bouddhisme vajrayāna ou un « démon-femelle » dans l'hindouisme., importante dans les pratiques tantriques du bouddhisme tibétain. Les dākinīs hindoues (et leurs équivalents masculins, les dākas) se déplacent dans le ciel, ce que traduit leur nom chinois et tibétain (kōng / mkha, ciel; xíng / gro, déplacement; mǔ / ma, femme). Cette faculté est un accomplissement magique (siddhi), occulte dans le cas des dākinīs dites mondaines, ou spirituel pour les dākinīs dites de sagesse. Dans ce dernier cas, le ciel est le symbole bouddhiste de la sagesse inhérente à la vacuité fondamentale, et s'y mouvoir représente les moyens habiles (upayas) mis en œuvre en vue de l'Éveil universel (bodhicitta). Généralement le terme dākinī semble provenir de la racine de daksha, signifiant capacité, habilité. Cependant, d'autres interprétations ont été proposées. Pour certains, dak- signifierait « appeler en criant ou en frappant » et ferait référence aux tambours ou psalmodies de femmes-shamans. Au Bengale et dans l'actuel Bangladesh, région d'origine du maître indien Atisha et des mahāsiddhas Tilopa et Naropa, où le culte des dakinis était autrefois répandu, dakh signifie « pur » ou « incomparable ». C'est l'origine du nom de la ville de Dacca et de celui de la déesse Dhakeshwari qui y a un temple. Le village de naissance d'Atisha se nomme d'ailleurs Vajrayogini, nom d'une importante dākinī bouddhiste. Les dākinīs sont des personnages composites dans lesquels on entrevoit la silhouette de divinités de cultes antérieurs au tantrisme ou au bouddhisme, d'esprits de la nature, de sorcières ou démons féminins indiens ou himalayens. Dans le bouddhisme tibétain, elles peuvent être des déités mondaines subjuguées, des formes féminines et courroucées de bodhisattvas ou de bouddhas, ou encore des personnalités historiques ou légendaires, compagnes de mahāsiddhas ou mahasiddhas elles-mêmes. Khandro est un titre honorifique pour les yoginīs ou les nonnes.

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Ganden Phodrang

Le Ganden Phodrang,.

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Gyalwang Drukpa

Le Gyalwang Drukpa est le chef de la branche Drukpa de l'école kagyupa du bouddhisme tibétain.

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Héruka

Heruka ou Hérouka (sanskrit), en tibétain khrag 'thung, « buveur de sang », désigne une sorte de déité masculine courroucée ou semi courroucée du vajrayana, importante dans la pratique des yogas supérieurs (mahayoga du courant nyingmapa et anuttara yoga des courants sarmapa).

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Lhassa

Lhassa (translittération phonétique en), ou Rasa dans la période pré-bouddhique, est une ville-préfecture, capitale du Tibet, région autonome de la république populaire de Chine depuis 1965. Capitale du royaume du Tibet à partir du, puis de l'Ü-Tsang à partir de l'ère de la fragmentation, Lhassa fut le siège du gouvernement du Ganden Phodrang sous le règne à la fois religieux du 5e dalaï-lama et temporel du Mongol Güshi Khan sous le Khanat qoshot, puis sous la tutelle de la dynastie Qing et enfin sous le Tibet indépendant de facto du 13e dalaï-lama au. La ville s'est développée au pied du mont Gephel. Le palais du Potala, l'ancien palais d'hiver du dalaï-lama, et le palais de Norbulingka, l'ancienne résidence d'été, sont, avec le temple de Jokhang, classés au patrimoine mondial par l'UNESCO.

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Monastère de Samding

Le monastère de Samding est un monastère de l’école Jonangpa du bouddhisme tibétain.

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Naropa

Naropa (1016-1100) était un érudit d'Inde et un maître reconnu du bouddhisme tantrique.

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Padmasambhava

Padmasambhava (littéralement né du lotus, sanskrit: पद्मसम्भव Padmasambhava, traduit en ou en) est un maître bouddhiste du né probablement durant le premier quart de ce siècle, dans la vallée de Swat au Pakistan aussi appelé Guru Rinpoché (« précieux maître »).

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Rubin Museum of Art

Le Rubin Museum of Art est un musée américain situé à New York qui présente une collection d'art de l'Himalaya et régions environnantes, et en particulier d'art tibétain.

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Samding Dorje Phagmo

Samding Dorje Phagmo (signifiant littéralement: « La Truie de diamant », également appelée Dorje Phagmo, prononcer Dorjé Phakmo, Sanskrit: Vajravarahi, une forme de Vajrayogini; Wylie: rdo-rje phag-mo), est le nom d'une lignée de réincarnation au Tibet considérée comme émanation de Dorje Phagmo, conjointe de Heruka, une divinité courroucée.

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Sanskrit

Le sanskrit ou sanscrit est une langue indo-européenne de la famille indo-aryenne, encore parlée dans le sous-continent indien bien que par une minorité.

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Shakti (hindouisme)

Shakti (sanskrit IAST: śakti; devanāgarī: शक्ति; pali: satti; tibétain: yum, nus-ma) est un terme qui signifie « pouvoir », « puissance », « force ».

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Tashi Tsering (tibétologue)

Tashi Tsering aussi appelé Tashi Tsering Josayma, né en 1960 est un tibétologue, historien et écrivain tibétain.

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Tibet

Le Tibet, ou anciennement Thibet, est une région de plateau située au nord de l'Himalaya en Asie, habitée traditionnellement par les Tibétains et d'autres groupes ethniques (Monbas, Qiang et Lhobas) et comportant également une population importante de Hans et de Huis.

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Vajra Varahi

Vajravārāhī (वज्रवारारी, littéralement, truie de dimant), traduit en tibétain par Dorjé P’akmo, et en chinois par (le rameau correspondant au signe du cochon en astrologie chinoise et tibétaine), est une forme de Vajrayogini.

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Yeshe Tsogyal

Yeshe Tsogyal Yeshe Tsogyal (de (« sagesse primordiale », (« lac » et, « vainqueur » ou « souverain », parfois traduit comme Victorieux océan de sagesse), est un grand maître Nyingmapa, l'élève principale et consort spirituelle de Padmasambhava avec qui elle a caché des trésors pour les futurs Tertöns au Tibet. Elle est également connue pour avoir compilé ses enseignements et rédigé ses biographies. Considérée la mère du bouddhisme tibétain et du Vajrayana, elle est aussi appelée Dame de Kharchen ou Reine du lac de Karchen. Selon la tradition, Yeshe Tsogyal aurait été une princesse de Karchen (777-837 ou 757-817), épouse de l'Empereur de l'Empire du Tibet, Trisong Detsen (740 — 797), devenue parèdre de Padmasambhava et dépositaire de son enseignement, grâce à son don de mémoire absolue. Elle fait partie de ses 25 grands disciples, distinguée dans l’ensemble pour sa capacité de ressusciter les morts. Yeshe Tsogyal a été l'épouse, la disciple, et l'héritière spirituelle de Padmasambhava. Elle est parfois considérée comme une réincarnation de la mère du Bouddha et prenait les formes apparentes d'autres déités comme Ganga DeviKeith Dowman, Sky Dancer: The Secret Life and Songs of Lady Yeshe Tsogyal, Ithaca: Snow Lion, 1996 Vajravārāhī (truie de diamant), Sarasvati, Tara, Vajrayogini, Prajnaparamita ou Samantabhadri, parèdre de Samantabhadra. Son nom évoque également celui de la Dame des Eaux de la religion populaire, d’origine prébouddhiste. Bien que sa biographie la plus connue la décrive victorieuse en débat contre des partisans du bön, elle est au nombre des grandes figures féminines du tantrisme de l’ouvrage du maître bonpo Dechen Bangmo (1918). Dans la tradition Nyingmapa, elle révèle en rêve ou en vision aux tertöns les enseignements cachés de Padmasambhava, dont la Sphère du cœur (Longchen Nyingthig), base du dzogchen, révélée à Jigme Lingpa (1729–1798), et se trouve au centre de méditations sadhana. Les yoginis tibétaines célèbres sont souvent considérées comme son émanation. Son personnage dans la littérature religieuse offre un modèle d’identification aux pratiquantes et incarne l’introduction du bouddhisme au Tibet. Elle est considérée un bouddha du bouddhisme tibétain, très importante en particulier dans la tradition Nyingmapa.

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Redirections ici:

Dorje Phagmo, Vajrayoginī.

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