Logo
Unionpédia
Communication
Disponible sur Google Play
Nouveau! Téléchargez Unionpédia sur votre appareil Android™!
Gratuit
Accès plus rapide que le navigateur!
 

Xùn

Indice Xùn

☴ ou 巽, transcrit xùn en hanyu pinyin (romanisation du mandarin) et son selon la lecture on'yomi (japonais), est l'un des huit trigrammes du Yi Jing, et donc une figure du Bāguà.

8 relations: Ba gua, Hanyu pinyin, Japonais, Mandarin (langue), On'yomi, Romanisation (écriture), Transcription et translittération, Yi Jing.

Ba gua

Le Ba gua, Bagua ou Pa Kua est un diagramme octogonal comportant un trigramme différent sur chacun de ses côtés, correspondant chacun, à la fois, à une direction, à un état de la nature, un membre de la famille et un concept philosophique.

Nouveau!!: Xùn et Ba gua · Voir plus »

Hanyu pinyin

文. C'est celui utilisé dans l'onglet du choix de langues sur Wikipedia. Le hanyu pinyin est un système de romanisation du chinois mandarin, promu officiellement en 1958 en république populaire de Chine, puis en 2008 à Taïwan.

Nouveau!!: Xùn et Hanyu pinyin · Voir plus »

Japonais

Le japonais est la langue du Japon, parlée par le peuple japonais.

Nouveau!!: Xùn et Japonais · Voir plus »

Mandarin (langue)

''无盐村''. Un locuteur du mandarin enregistré à Taïwan. Le mandarin (« langue des officiels »,, « parlers du Nord »), parfois abusivement désigné sous les termes chinois voire pékinois, est une catégorie des langues chinoises parlée dans le nord-est et le sud-ouest de la Chine continentale.

Nouveau!!: Xùn et Mandarin (langue) · Voir plus »

On'yomi

La lecture on, (on-yomi: (kyūjitai: 音讀) ou on'yomi /, « lecture phonétique », d'un kanji est celle issue de la phonétique de plusieurs formes anciennes de langues chinoises, telle que le chinois archaïque utilisé pendant la dynastie Tang, ou le wu, groupe de langue parlé autour de Hangzhou. Elle coexiste avec la lecture kun ou kun-yomi (訓読み, « lecture sémantique »), qui ne reprend que le sens du kanji en chinois en utilisant une, ou plusieurs, prononciations japonaises (quand elles existent). Les mêmes distinctions sont utilisées dans l'interprétation des hanja coréens (caractères chinois han du coréen), elles sont alors appelées chosŏn hanjaeum (조선 한자음, 朝鮮漢字音) dans l'ancienne Corée unifiée et en Corée du Nord, et hanguk hanjaeum (한국 한자음; hanja: 韓國漢字音) en Corée du Sud et parfois dans l'ancienne Corée. Enfin, au Viêt Nam où le vietnamien, langue môn-khmer des langues austroasiatiques, a longtemps été écrit avec les caractères chinois où ils sont appelés Chữ nho ou Hán tự, et comporte également des prononciations à la chinoise. Le passage du phonème chinois au phonème japonais ne s'est pas fait sans mal, les langues orales étant très différentes — le japonais appartenant aux langues japoniques, tandis que les différentes langues de l'est de la Chine font partie du groupe des langues sino-tibétaines. Les tons ont parfois été transformés en accents de hauteur ou voyelles longues, spécifiques aux langues japonaises, ou ont disparu. À cela, il faut ajouter le fait que les emprunts ont été faits à différentes époques et à différentes langues ou dialectes chinois, et que les deux langues ont évolué (aussi bien à l'oral qu'à l'écrit), le mandarin, une langue récente, standardisé à la fin de la dynastie Qing (1644 — 1912) s'est éloignée des langues chinoises qui ont servi à constituer cette prononciation. Les k y sont devenus j, etc. On peut cependant parfois rapprocher la lecture on et la prononciation en mandarin du même sinogramme, comme pour « ange » (天使), qui se lit tenshi en japonais et tiānshǐ en mandarin. La lecture on est très souvent utilisée pour former des mots composés de plusieurs kanjis (assez souvent des termes littéraires ou savants). En cela, on peut la comparer aux racines gréco-latines utilisées par le français, ou bien aux racines françaises de l'anglais depuis l'invasion normande par Guillaume le Conquérant. Elle est aussi utilisée dans les noms communs utilisés pour désigner le type de lieux, et certains lieux sacrés ou de pouvoir, comme (le mont Fuji, et non Fuji-yama, fùshì shān), (tuwng kjaeng dzyiˣ (API ); dōngjīng shì, les voyelles longues sont communes à Tōkyō et Dōngjīng).

Nouveau!!: Xùn et On'yomi · Voir plus »

Romanisation (écriture)

La romanisation (ou latinisation) est la transcription ou la translittération d'une écriture non latine vers une écriture latine.

Nouveau!!: Xùn et Romanisation (écriture) · Voir plus »

Transcription et translittération

La transcription est l'opération qui consiste à substituer chaque phonème (on parle alors de transcription phonologique) ou chaque son (transcription phonétique) d'une langue par un graphème ou par un groupe de graphèmes d'un système d'écriture.

Nouveau!!: Xùn et Transcription et translittération · Voir plus »

Yi Jing

Le ''Yi Jing'' est souvent représenté par le ''taijitu'' entouré des huit trigrammes. Le Yi Jing (également orthographié Yi King ou Yi-King), est un des classiques chinois, dont le titre peut se traduire par « Livre des mutations », « Classique des changements » ou « Canon des mutations » ou encore « Livre des transformations ».

Nouveau!!: Xùn et Yi Jing · Voir plus »

Redirections ici:

Xun (Yi Jing), .

SortantEntrants
Hey! Nous sommes sur Facebook maintenant! »