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Bloc de l'Est et Enver Hoxha

Raccourcis: Différences, Similitudes, Jaccard similarité Coefficient, Références.

Différence entre Bloc de l'Est et Enver Hoxha

Bloc de l'Est vs. Enver Hoxha

L’expression bloc de l’Est désigne l’ensemble des régimes communistes instaurés après la Seconde Guerre mondiale dans les pays d’Europe placés sous le contrôle plus ou moins direct de l’Union soviétique et situés à l’Est du Rideau de fer. D’autres désignations sont aussi utilisées, les plus courantes étant pays de l’Est, mais aussi bloc soviétique, bloc communiste ou camp socialiste. Pour leur part, les emploient l’expression « démocraties populaires » visant à accréditer l’idée que ces régimes permettent aux peuples de mieux exprimer leur souveraineté que les régimes parlementaires d’Europe occidentale. Les Occidentaux les qualifient de manière péjorative de « pays satellites de l'URSS ». Les pays d’Europe ayant appartenu au bloc de l’Est sont l’Albanie, l'Allemagne de l'Est (ou RDA), la Bulgarie, la Hongrie, la Pologne, la Roumanie, la Tchécoslovaquie et brièvement la Yougoslavie. La notion de « bloc » est cependant toute relative. Ainsi, la Yougoslavie de Tito reste, après la rupture de 1948, à l’écart de la tutelle soviétique, joue un rôle majeur au sein du mouvement des non-alignés et met en œuvre une politique d'ouverture avec l'Europe de l'Ouest. Les relations de l’Albanie avec l’URSS se dégradent également en 1961. La Roumanie, dans une moindre mesure, acquiert également durant les années 1960 une certaine autonomie vis-à-vis de l’URSS, tout en restant oligarchique et dogmatique en politique intérieure. Entre 1945 et 1948, le prend le pouvoir dans tous ces pays, devient parti unique en éliminant ou en absorbant les autres partis, et met en place un régime se réclamant du socialisme, calqué sur celui de l’Union soviétique. Pendant les quarante années qui suivent, ces pays connaissent un réel développement économique, mais surtout dans les domaines de l’industrie lourde, de l’armement et de la conquête spatiale. En revanche, l’agriculture, les industries de transformation et les services connaissent de graves difficultés, de sorte que le niveau de vie de la majorité des citoyens qui n'appartiennent pas à la nomenklatura reste très inférieur à celui de l’Ouest. Ces difficultés économiques, conjuguées avec les restrictions des libertés, entraînent de violentes crises en RDA en 1953, en Pologne et en Hongrie en 1956. Khrouchtchev assouplit sensiblement le régime stalinien et introduit des réformes qui améliorent les conditions de vie de la population, mais n'apportent pas sur le long terme de solution durable aux problèmes économiques et sociaux. Les succès spatiaux et sportifs, largement exploités par la propagande, ne parviennent pas à cacher les échecs. Brejnev impose le maintien de « l'unité » du bloc de l'Est au prix si nécessaire d'une intervention militaire pour mettre fin en 1968 au Printemps de Prague, tentative des dirigeants communistes tchécoslovaques d'instaurer un socialisme à visage humain. L’effondrement du bloc de l’Est et de l’URSS se produit sur une période très courte, entre 1989 et 1991, le plus souvent de manière pacifique. Il prend par surprise les Occidentaux malgré les voix dissidentes qui s'élèvent à l'Est comme celle d'Andreï AmalrikDans ses ouvrages Le Procès des quatre (« Процесс четырёх») coécrit avec Pavel Litvinov et L’Union soviétique survivra-t-elle en 1984 ?, Amalrik dénonce une nomenklatura (terme popularisé par son contemporain Mikhaïl Voslenski) profitant indument d’avantages dont le peuple est privé, une armée et une police politique hypertrophiées, improductives et coûteuses, une bureaucratie figée, une classe moyenne trop peu développée et les faiblesses de la compétition avec l’Ouest: selon lui, le bloc de l’Est a depuis longtemps tourné le dos aux idéaux communistes et ne survit que par la coercition, de sorte que pour les peuples concernés, les identités nationales, les traditions ancestrales et les religions apparaissaient comme les seuls repères porteurs d’espoir. qui estime déjà dans les années 1970 que l’étouffement du « Printemps de Prague » et donc du « socialisme à visage humain » prive le bloc de l’Est de sa dernière « alternative d’avenir », rendant inéluctable son effondrement. Le bloc de l'est se définit par opposition au bloc de l'ouest. Enver Hoxha (prononciation), également retranscrit en français sous l'orthographe phonétique Enver Hodja, né le Sa véritable date de naissance est incertaine.

Similitudes entre Bloc de l'Est et Enver Hoxha

Bloc de l'Est et Enver Hoxha ont 19 choses en commun (em Unionpédia): Albanie, Belgrade, Chine, Histoire de l'Albanie, Joseph Staline, Josip Broz Tito, Koçi Xoxe, Kominform, Kosovo, Mao Zedong, Moscou, Nikita Khrouchtchev, Parti du travail d'Albanie, Ramiz Alia, République populaire socialiste d'Albanie, Stalinisme, Union des républiques socialistes soviétiques, Viatcheslav Molotov, Yougoslavie.

Albanie

L', en forme longue la (en Shqipëria et Republika e Shqipërisë, littéralement), est une république située en Europe du Sud, dans la partie occidentale de la péninsule des Balkans.

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Belgrade

Belgrade (en serbe cyrillique: Београд; en serbe latin: Beograd) est la plus grande ville et la capitale de la Serbie.

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Chine

La Chine (en chinois), en forme longue la république populaire de Chine (RPC), également appelée Chine populaire et Chine communiste, est un pays d'Asie de l'Est.

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Histoire de l'Albanie

L'Albanie L’Albanie est un pays d'Europe du Sud, à l’ouest de la péninsule des Balkans, avec une ouverture sur la mer Adriatique et sur la mer Ionienne.

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Joseph Staline

Joseph Staline, né le Officiellement le. Quoiqu'il y ait des informations contradictoires dans les sources au sujet de la date de naissance de Staline, le registre des naissances de l'église Ouspensky à Gori mentionne la naissance de Iossif Djougachvili le (selon le calendrier julien alors en vigueur). Cette date est également mentionnée sur son diplôme scolaire, sa fiche signalétique de la police tsariste, un procès-verbal d'une arrestation datée du où il affirme avoir, ainsi que dans tous les documents pré-révolutionnaires existants. Staline lui-même mentionne le dans un curriculum vitæ rédigé de sa main en 1921. Cependant, à partir de 1922, cette date de naissance est changée pour le (en calendrier julien), date à laquelle sera fêté son anniversaire en Union soviétique. Le dramaturge Edvard Radzinsky suggère que ce changement fut opéré afin que la célébration du de Staline puisse se dérouler à travers tout le pays, et qu'en 1928 son pouvoir n'était pas encore suffisamment assis pour ce faire. Dans son ouvrage Staline (éd. Fayard, 2001), l'historien Jean-Jacques Marie montre en revanche qu'il avait déjà modifié sa date de naissance bien avant 1914. à Gori (Empire russe, actuelle Géorgie) et mort le à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il dirige l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des jusqu'à sa mort en établissant un régime de dictature personnelle absolue de type totalitaire. Les historiens le jugent responsable, à des degrés divers, de la mort de trois à plus de de personnes. Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, il est surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance. Il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en. Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe, qui signifie « acier ». Acteur marginal de la révolution d'Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tchéka, et devenant, en, secrétaire général du Comité central du Parti communiste. Après la mort de Lénine en, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes. S'appuyant sur la bureaucratisation croissante du régime et la toute-puissance de l’appareil policier, la Guépéou puis le NKVD, il impose progressivement un pouvoir personnel absolu et transforme l'URSS en un État totalitaire. Le culte de la personnalité construit autour de sa personne, le secret systématiquement entretenu autour de ses faits et gestes, le travestissement de la réalité par le recours incessant à la propagande, la falsification du passé, la dénonciation délirante de complots, de saboteurs et de traîtres, l’organisation de procès truqués, la liquidation physique d’adversaires politiques ou de personnalités tombées en disgrâce sont des caractéristiques permanentes de son régime. Il procède à la collectivisation intégrale des terres, décrétant la « liquidation des koulaks en tant que classe », et industrialise l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux aux objectifs irréalistes et au prix d'un coût humain et social exorbitant. Son long règne est marqué par un régime de terreur et de délation paroxystiques et par la mise à mort ou l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes, notamment au cours de la « collectivisation » des campagnes et des Grandes Purges de 1937. Il pratique aussi bien des déplacements de population massifs, dont la déportation intégrale d'une quinzaine de minorités nationales, que la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947, après les avoir en partie provoquées par une politique impitoyable de réquisitions forcées de produits agricoles dans les campagnes dont le blocus organisé empêche la fuite des populations rurales affamées et les prive de tout secours. Dans un contexte international de plus en plus tendu par la montée en puissance de l'Allemagne hitlérienne, Staline engage l'Union soviétique dans des négociations avec le régime nazi qui aboutissent, en, à la signature du pacte germano-soviétique, qui jusqu'en juin 1941 fait de l'URSS une alliée de l'Allemagne nazie pendant les deux premières années de la Seconde Guerre mondiale. La coopération économique entre les deux pays entreprise après la signature des est brutalement interrompue par l'invasion allemande de l'Union soviétique en, précipitant cette dernière dans la guerre aux côtés du Royaume-Uni, alors seul face à l'Allemagne nazie. La victoire militaire finale dans un conflit qui a mis l'URSS au bord du gouffre, et dont la bataille de Stalingrad est un tournant majeur, confère à Staline un prestige international retentissant et lui permet d'affirmer son emprise sur un empire s'étendant de la frontière occidentale de la RDA à l'océan Pacifique. Joseph Staline est également l'auteur de textes exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein des courants communistes liés à l'URSS, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme. Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956: la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant aucune démocratisation du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline peuvent être dénoncés en URSS dans toute leur ampleur.

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Josip Broz Tito

Josip Broz Tito (en alphabet cyrillique, Jосип Броз Тито Prononciation en serbo-croate retranscrite selon la norme API.), né Josip Broz le officiellement à Kumrovec (Autriche-Hongrie, actuelle Croatie) et mort le à Ljubljana (république socialiste de Slovénie), communément appelé « Tito » ou le maréchal Tito, est un homme d'État yougoslave.

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Koçi Xoxe

Koçi Xoxe (API, peut également s'orthographier en français Kotchi Dzodze), né le à Negovan, en Grèce et mort le, est un homme politique albanais.

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Kominform

Le Kominform est l'organisation centralisée du mouvement communiste international dans la période de 1947 à 1956.

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Kosovo

Le Kosovo (en Kosova ou Kosovë, en Kosovo, Косово), en forme longue, la république du Kosovo (en Republika e Kosovës, en Republika Kosovo, Република Косово), également appelé officiellement par les autorités serbes Kosovo-et-Métochie (en Kosovo i Metohija, Косово и Метохија), est un territoire au statut contesté situé en Europe du Sud, plus particulièrement dans les Balkans et en ex-Yougoslavie. Sa déclaration d'indépendance le, avec Pristina comme capitale, est contestée par la Serbie pour qui il s’agit d’une province autonome, et n’est reconnue ni par l’Organisation des Nations unies, ni par l’Union européenne. En, sur les 193 membres souverains des Nations unies, 100 figurent sur la liste des États qui ont reconnu l'indépendance du Kosovo, 88 pays sont contre et cinq autres se sont abstenus.. En revanche, depuis 2016, le pays est reconnu par la FIFA et le CIO, et peut donc se présenter à la Coupe du monde de football et aux Jeux olympiques. Le gouvernement kosovar exerce de facto son pouvoir sur la majorité du territoire; sa partie nord, 15 % de la région avec une population à majorité serbe sur le site EurActiv., est contrôlée par les Serbes du Kosovo et revendique son maintien au sein de la Serbie. Un échange territorial avec la vallée de Preševo/Preshevë, peuplée d'une majorité d'Albanais est régulièrement évoqué afin de régler le conflit. Ce pays à majorité albanaise et ayant une minorité serbe a appartenu à différents États lors de son histoire. Enlevé à Byzance par la Serbie en 1170, le territoire est occupé par l'Empire ottoman en 1459 et fait de nouveau partie de la Serbie depuis le traité de Bucarest de 1913 mettant fin à la deuxième guerre balkanique, puis devient, après la Seconde Guerre mondiale une province autonome de la Serbie au sein des différentes Yougoslavies, avant d'être placé sous administration de l’ONU le en vertu de la résolution 1244 des Nations unies reconnaissant l'intégrité territoriale de la Serbie, à la suite des violents conflits qui ont opposé les autorités serbes aux séparatistes albanais et à des bombardements de l'OTAN lors de l'opération force alliée à la fin des années 1990. Depuis les accords de paix de Koumanovo, datés du même jour, une force de l’OTAN, la KFOR, assure la paix et l’ordre dans cette région.

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Mao Zedong

Mao Zedong (nom chinois 毛泽东 Prononciation en mandarin standard retranscrite selon la norme API., également appelé en français sous la transcription de Mao Tsé-toungÉgalement retranscrit en Mao Tsé-Tung ou Mao Tsö-Tong. Prononciation en français de France standardisé retranscrite selon la norme API.) est un homme d'État et chef militaire chinois né le à Shaoshan.

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Moscou

Moscou (en Москва, Moskva) est la capitale de la Russie et compte environ habitants intra muros en 2023 sur une superficie de, ce qui en fait la ville la plus peuplée à la fois du pays et d'Europe.

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Nikita Khrouchtchev

Nikita Sergueïevitch Khrouchtchev (prononcé, en français,; en Никита Сергеевич Хрущёв), né le à Kalinovka, dans l'Empire russe, et mort le à Moscou, est un homme d'État soviétique qui dirigea l'URSS durant une partie de la guerre froide.

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Parti du travail d'Albanie

Drapeau du Parti du travail d'Albanie. Le Parti du travail d'Albanie (abrégé en PPSh) d'abord nommé Parti communiste d'Albanie était le parti unique au pouvoir en Albanie sous le régime de la république populaire socialiste d'Albanie.

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Ramiz Alia

Ramiz Alia, né le à Shkodër, en Albanie, et mort le à Tirana.

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République populaire socialiste d'Albanie

L'Albanie socialiste ou Albanie communiste était le régime politique en vigueur en Albanie après la Seconde Guerre mondiale, jusqu'à la chute des régimes communistes en Europe.

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Stalinisme

propagande de Joseph Staline, par Isaak Brodsky. réaliste socialiste » (œuvres collectives anonymes, murales) à l'époque stalinienne: en haut ''Sous la bannière de Marx, Engels, Lénine et Staline'' (1933), au milieu ''Longue vie au camarade Staline'' (1949) et en bas ''Ouvriers à leur devoir'' (autour de 1950). Le mot stalinisme désigne l’idéologie et la pratique politique des ayant adopté la ligne politique définie par les partisans de Joseph Staline, secrétaire général du Parti communiste de l'Union soviétique.

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Union des républiques socialistes soviétiques

L'Union des républiques socialistes soviétiques, abrégé en URSS« URSS » présente la particularité de couramment s'écrire et se prononcer comme un sigle simple, chaque lettre prononcée séparément: U-R-S-S, mais aussi de couramment s'écrire et se prononcer comme un acronyme: « l'URSS » (le mot et son article sont alors prononcés comme le mot inventé « lurce », phonétique). ou Union soviétique (en russe, СССР; transcription: Soïouz Sovietskikh Sotsialistitcheskikh Riespoublik, SSSR; « Union des républiques socialistes des conseils »), était un État fédéral transcontinental à régime communiste.

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Viatcheslav Molotov

Viatcheslav Mikhaïlovitch Molotov (en Вячеслав Михайлович Молотов; né le Le calendrier julien est resté en vigueur dans la Russie tsariste jusqu'en 1918 à Koukarka et mort le à Moscou) est un journaliste, homme politique et diplomate soviétique.

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Yougoslavie

Les Slaves méridionaux ou « Yougo-Slaves » au sens large en 1869. La « Grande Yougoslavie ». Projet de réforme de l'Autriche-Hongrie de l'archiduc héritier François-Ferdinand de Habsbourg avec le « troisième pôle », sud-slave, en vert. Frontières du nouveau royaume La Yougoslavie (prononcé:; Jugoslavija et Југославија en serbo-croate, Jugoslavija en slovène, signifiant « pays des Slaves du Sud ») est un État d'Europe du Sud-Est qui existe sous différents noms et formes entre 1918 et 2006.

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La liste ci-dessus répond aux questions suivantes

Comparaison entre Bloc de l'Est et Enver Hoxha

Bloc de l'Est a 500 relations, tout en Enver Hoxha a 98. Comme ils ont en commun 19, l'indice de Jaccard est 3.18% = 19 / (500 + 98).

Références

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