Similitudes entre Blocus de Berlin et Union des républiques socialistes soviétiques
Blocus de Berlin et Union des républiques socialistes soviétiques ont 26 choses en commun (em Unionpédia): Armand Colin, Armée rouge, États-Unis, Bataille de Berlin, Bloc de l'Est, Communisme, Conférence de Potsdam, Conférence de Yalta, Conseil de sécurité des Nations unies, Crise des missiles de Cuba, Dwight D. Eisenhower, Europe de l'Ouest, Gueorgui Joukov, Guerre froide, Joseph Staline, Le Monde, Moscou, Mur de Berlin, Pacte de Varsovie, République démocratique allemande, Rideau de fer, Royaume-Uni, Seconde Guerre mondiale, Troisième Reich, Viatcheslav Molotov, Winston Churchill.
Armand Colin
Armand Colin est une maison d'édition française créée en 1870 par Auguste Armand Colin et qui devient rapidement une référence dans le monde de l'enseignement jusqu'au début du, devenu un département des Éditions Dunod.
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Armée rouge
LArmée rouge (en Красная армия, ou plus exactement Рабоче-крестьянская Красная армия, Rabotche-krestianskaïa Krasnaïa armia, « l'Armée rouge des ouvriers et paysans ») était l'armée mise sur pied dans l'ancien Empire russe par le nouveau pouvoir bolchévique, à la suite de la révolution d'Octobre, afin de combattre la contre-révolution des Armées blanches soutenues par les puissances étrangères (France, Royaume-Uni, Tchécoslovaquie, États-Unis, empire du Japon).
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États-Unis
Les États-Unis (prononcé), en forme longue les États-Unis d'AmériqueComme la plupart des pays, les États-Unis ont un nom « court » pour l'usage courant, pédagogique et cartographique, et un nom « long » pour l'usage officiel.
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Bataille de Berlin
La bataille de Berlin constitue la dernière bataille terrestre de la Seconde Guerre mondiale en Europe.
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Bloc de l'Est
L’expression bloc de l’Est désigne l’ensemble des régimes communistes instaurés après la Seconde Guerre mondiale dans les pays d’Europe placés sous le contrôle plus ou moins direct de l’Union soviétique et situés à l’Est du Rideau de fer. D’autres désignations sont aussi utilisées, les plus courantes étant pays de l’Est, mais aussi bloc soviétique, bloc communiste ou camp socialiste. Pour leur part, les emploient l’expression « démocraties populaires » visant à accréditer l’idée que ces régimes permettent aux peuples de mieux exprimer leur souveraineté que les régimes parlementaires d’Europe occidentale. Les Occidentaux les qualifient de manière péjorative de « pays satellites de l'URSS ». Les pays d’Europe ayant appartenu au bloc de l’Est sont l’Albanie, l'Allemagne de l'Est (ou RDA), la Bulgarie, la Hongrie, la Pologne, la Roumanie, la Tchécoslovaquie et brièvement la Yougoslavie. La notion de « bloc » est cependant toute relative. Ainsi, la Yougoslavie de Tito reste, après la rupture de 1948, à l’écart de la tutelle soviétique, joue un rôle majeur au sein du mouvement des non-alignés et met en œuvre une politique d'ouverture avec l'Europe de l'Ouest. Les relations de l’Albanie avec l’URSS se dégradent également en 1961. La Roumanie, dans une moindre mesure, acquiert également durant les années 1960 une certaine autonomie vis-à-vis de l’URSS, tout en restant oligarchique et dogmatique en politique intérieure. Entre 1945 et 1948, le prend le pouvoir dans tous ces pays, devient parti unique en éliminant ou en absorbant les autres partis, et met en place un régime se réclamant du socialisme, calqué sur celui de l’Union soviétique. Pendant les quarante années qui suivent, ces pays connaissent un réel développement économique, mais surtout dans les domaines de l’industrie lourde, de l’armement et de la conquête spatiale. En revanche, l’agriculture, les industries de transformation et les services connaissent de graves difficultés, de sorte que le niveau de vie de la majorité des citoyens qui n'appartiennent pas à la nomenklatura reste très inférieur à celui de l’Ouest. Ces difficultés économiques, conjuguées avec les restrictions des libertés, entraînent de violentes crises en RDA en 1953, en Pologne et en Hongrie en 1956. Khrouchtchev assouplit sensiblement le régime stalinien et introduit des réformes qui améliorent les conditions de vie de la population, mais n'apportent pas sur le long terme de solution durable aux problèmes économiques et sociaux. Les succès spatiaux et sportifs, largement exploités par la propagande, ne parviennent pas à cacher les échecs. Brejnev impose le maintien de « l'unité » du bloc de l'Est au prix si nécessaire d'une intervention militaire pour mettre fin en 1968 au Printemps de Prague, tentative des dirigeants communistes tchécoslovaques d'instaurer un socialisme à visage humain. L’effondrement du bloc de l’Est et de l’URSS se produit sur une période très courte, entre 1989 et 1991, le plus souvent de manière pacifique. Il prend par surprise les Occidentaux malgré les voix dissidentes qui s'élèvent à l'Est comme celle d'Andreï AmalrikDans ses ouvrages Le Procès des quatre (« Процесс четырёх») coécrit avec Pavel Litvinov et L’Union soviétique survivra-t-elle en 1984 ?, Amalrik dénonce une nomenklatura (terme popularisé par son contemporain Mikhaïl Voslenski) profitant indument d’avantages dont le peuple est privé, une armée et une police politique hypertrophiées, improductives et coûteuses, une bureaucratie figée, une classe moyenne trop peu développée et les faiblesses de la compétition avec l’Ouest: selon lui, le bloc de l’Est a depuis longtemps tourné le dos aux idéaux communistes et ne survit que par la coercition, de sorte que pour les peuples concernés, les identités nationales, les traditions ancestrales et les religions apparaissaient comme les seuls repères porteurs d’espoir. qui estime déjà dans les années 1970 que l’étouffement du « Printemps de Prague » et donc du « socialisme à visage humain » prive le bloc de l’Est de sa dernière « alternative d’avenir », rendant inéluctable son effondrement. Le bloc de l'est se définit par opposition au bloc de l'ouest.
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Communisme
Karl Marx, théoricien du communisme. Vladimir Ilitch Lénine, fondateur de l'URSS. XX. marxiste argentin, une figure de la révolution cubaine. Manifestation du Parti de la refondation communiste italien en 2007. Le communisme (du latin communis – commun, universel) est initialement un ensemble de doctrines politiques, issues du socialisme et, pour la plupart, du marxisme, s'opposant au capitalisme et visant à l'instauration d'une société sans classes sociales, sans salariat, et la mise en place d'une totale socialisation économique et démocratique des moyens de production.
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Conférence de Potsdam
La conférence de Potsdam est une conférence organisée par trois des puissances alliées victorieuses de la Seconde Guerre mondiale pour fixer le sort des nations ennemies.
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Conférence de Yalta
La conférence de Yalta est une réunion des principaux responsables de l'Union soviétique (Joseph Staline), du Royaume-Uni (Winston Churchill) et des États-Unis (Franklin D. Roosevelt).
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Conseil de sécurité des Nations unies
Le Conseil de sécurité des Nations unies est l'organe exécutif de l'Organisation des Nations unies (ONU).
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Crise des missiles de Cuba
La crise des missiles de Cuba est une confrontation diplomatique et militaire qui oppose les États-Unis et l'Union soviétique du au.
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Dwight D. Eisenhower
Dwight David Eisenhower Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
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Europe de l'Ouest
L'Europe de l'Ouest est une région politique, géographique ou culturelle qui correspond à la partie occidentale de l'Europe, mais ce concept reste mal défini et équivoque.
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Gueorgui Joukov
Gueorgui Konstantinovitch Joukov (en Георгий Константинович Жуков), né le et mort le, est un militaire et homme politique russe, puis soviétique.
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Guerre froide
La guerre froide (en anglais Cold War; en russe Холодная война, Kholodnaïa voïna) est le nom donné à la période de fortes tensions géopolitiques durant la seconde moitié du entre, d'une part, les États-Unis et leurs alliés constitutifs du bloc de l'Ouest et, d'autre part, l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et ses États satellites formant le bloc de l'Est.
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Joseph Staline
Joseph Staline, né le Officiellement le. Quoiqu'il y ait des informations contradictoires dans les sources au sujet de la date de naissance de Staline, le registre des naissances de l'église Ouspensky à Gori mentionne la naissance de Iossif Djougachvili le (selon le calendrier julien alors en vigueur). Cette date est également mentionnée sur son diplôme scolaire, sa fiche signalétique de la police tsariste, un procès-verbal d'une arrestation datée du où il affirme avoir, ainsi que dans tous les documents pré-révolutionnaires existants. Staline lui-même mentionne le dans un curriculum vitæ rédigé de sa main en 1921. Cependant, à partir de 1922, cette date de naissance est changée pour le (en calendrier julien), date à laquelle sera fêté son anniversaire en Union soviétique. Le dramaturge Edvard Radzinsky suggère que ce changement fut opéré afin que la célébration du de Staline puisse se dérouler à travers tout le pays, et qu'en 1928 son pouvoir n'était pas encore suffisamment assis pour ce faire. Dans son ouvrage Staline (éd. Fayard, 2001), l'historien Jean-Jacques Marie montre en revanche qu'il avait déjà modifié sa date de naissance bien avant 1914. à Gori (Empire russe, actuelle Géorgie) et mort le à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il dirige l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des jusqu'à sa mort en établissant un régime de dictature personnelle absolue de type totalitaire. Les historiens le jugent responsable, à des degrés divers, de la mort de trois à plus de de personnes. Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, il est surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance. Il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en. Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe, qui signifie « acier ». Acteur marginal de la révolution d'Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tchéka, et devenant, en, secrétaire général du Comité central du Parti communiste. Après la mort de Lénine en, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes. S'appuyant sur la bureaucratisation croissante du régime et la toute-puissance de l’appareil policier, la Guépéou puis le NKVD, il impose progressivement un pouvoir personnel absolu et transforme l'URSS en un État totalitaire. Le culte de la personnalité construit autour de sa personne, le secret systématiquement entretenu autour de ses faits et gestes, le travestissement de la réalité par le recours incessant à la propagande, la falsification du passé, la dénonciation délirante de complots, de saboteurs et de traîtres, l’organisation de procès truqués, la liquidation physique d’adversaires politiques ou de personnalités tombées en disgrâce sont des caractéristiques permanentes de son régime. Il procède à la collectivisation intégrale des terres, décrétant la « liquidation des koulaks en tant que classe », et industrialise l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux aux objectifs irréalistes et au prix d'un coût humain et social exorbitant. Son long règne est marqué par un régime de terreur et de délation paroxystiques et par la mise à mort ou l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes, notamment au cours de la « collectivisation » des campagnes et des Grandes Purges de 1937. Il pratique aussi bien des déplacements de population massifs, dont la déportation intégrale d'une quinzaine de minorités nationales, que la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947, après les avoir en partie provoquées par une politique impitoyable de réquisitions forcées de produits agricoles dans les campagnes dont le blocus organisé empêche la fuite des populations rurales affamées et les prive de tout secours. Dans un contexte international de plus en plus tendu par la montée en puissance de l'Allemagne hitlérienne, Staline engage l'Union soviétique dans des négociations avec le régime nazi qui aboutissent, en, à la signature du pacte germano-soviétique, qui jusqu'en juin 1941 fait de l'URSS une alliée de l'Allemagne nazie pendant les deux premières années de la Seconde Guerre mondiale. La coopération économique entre les deux pays entreprise après la signature des est brutalement interrompue par l'invasion allemande de l'Union soviétique en, précipitant cette dernière dans la guerre aux côtés du Royaume-Uni, alors seul face à l'Allemagne nazie. La victoire militaire finale dans un conflit qui a mis l'URSS au bord du gouffre, et dont la bataille de Stalingrad est un tournant majeur, confère à Staline un prestige international retentissant et lui permet d'affirmer son emprise sur un empire s'étendant de la frontière occidentale de la RDA à l'océan Pacifique. Joseph Staline est également l'auteur de textes exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein des courants communistes liés à l'URSS, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme. Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956: la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant aucune démocratisation du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline peuvent être dénoncés en URSS dans toute leur ampleur.
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Le Monde
Le Monde est un journal français fondé par Hubert Beuve-Méry en 1944.
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Moscou
Moscou (en Москва, Moskva) est la capitale de la Russie et compte environ habitants intra muros en 2023 sur une superficie de, ce qui en fait la ville la plus peuplée à la fois du pays et d'Europe.
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Mur de Berlin
Mur de Berlin. Vestige du mur de Berlin, 2004. Panneau indicateur de l'ancienne division allemande. Le murS'écrit avec une minuscule lorsqu'il est suivi de Berlin, selon les conventions typographiques; s'écrit avec une majuscule lorsqu'il est employé seul, ou bien dans la plupart des cas lorsqu'il apparaît dans des titres d’œuvres.
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Pacte de Varsovie
Le Traité d'amitié, de coopération et d'assistance mutuelle dit « pacte de Varsovie » est une ancienne alliance militaire groupant les pays d'Europe de l'Est avec l'URSS dans un vaste ensemble économique, politique et militaire.
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République démocratique allemande
La République démocratique allemande (RDA); en Deutsche Demokratische Republik ou DDR, parfois traduit par République démocratique d'Allemagne), communément appelée Allemagne de l'Est, est un ancien État communiste européen créé le par le Parti socialiste unifié d'Allemagne, allié de l’URSS. Le territoire de la RDA correspond à la zone occupée par l'Armée rouge. Cet événement intervient après la fondation de la République fédérale d’Allemagne précédée par la trizone des puissances occupantes occidentales. Berlin-Est, le secteur soviétique de la ville, était la capitale de la RDA. La RDA faisait partie des dictatures qui se revendiquaient comme des, politiquement affiliées à l'URSS au sein du bloc de l'Est. À partir du, l'enclave occidentale de Berlin-Ouest est séparée de Berlin-Est et du reste de la RDA par le mur de Berlin, qui devient l'un des symboles du. Le but étant d'empêcher la fuite vers l'ouest des citoyens est-allemands voulant échapper à la dictature. L'effondrement du bloc de l'Est entraîne la disparition de la RDA, qui est absorbée par la RFA le, près de après sa fondation. Cela scelle le processus de réunification, formant ainsi l'Allemagne unifiée actuelle. L’idéologie officielle de l’État était le marxisme-léninisme. Dans la recherche historique contemporaine, le système de gouvernement en RDA est parfois décrit soit comme relevant du « socialisme réel », soit comme communiste. Les dirigeants du pays le considéraient comme un « État socialiste des ouvriers et des paysans » et un État de paix, affirmant que la RDA prenait racine dans la guerre et la lutte contre le fascisme. L'antifascisme était devenu une doctrine d’État en RDA.
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Rideau de fer
Le rideau de fer (en Iron Curtain, en Eiserner Vorhang) est la frontière fortifiée entre d'un côté la Yougoslavie et les États européens tournés vers les États-Unis et de l'autre les États européens placés sous influence soviétique.
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Royaume-Uni
Le Royaume-Uni (prononcé en français: Prononciation en français de France retranscrite selon la norme API.), en forme longue le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord.
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Seconde Guerre mondiale
La Seconde Guerre mondiale, ou Deuxième Guerre mondiale, est un conflit armé à l'échelle planétaire qui dure du au.
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Troisième Reich
Le Troisième Reich désigne l'État allemand nazi dirigé par Adolf Hitler de 1933 à 1945.
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Viatcheslav Molotov
Viatcheslav Mikhaïlovitch Molotov (en Вячеслав Михайлович Молотов; né le Le calendrier julien est resté en vigueur dans la Russie tsariste jusqu'en 1918 à Koukarka et mort le à Moscou) est un journaliste, homme politique et diplomate soviétique.
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Winston Churchill
Winston Churchill est un homme d'État et écrivain britannique, né le à Woodstock et mort le à Londres.
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La liste ci-dessus répond aux questions suivantes
- Dans ce qui semble Blocus de Berlin et Union des républiques socialistes soviétiques
- Quel a en commun Blocus de Berlin et Union des républiques socialistes soviétiques
- Similitudes entre Blocus de Berlin et Union des républiques socialistes soviétiques
Comparaison entre Blocus de Berlin et Union des républiques socialistes soviétiques
Blocus de Berlin a 194 relations, tout en Union des républiques socialistes soviétiques a 760. Comme ils ont en commun 26, l'indice de Jaccard est 2.73% = 26 / (194 + 760).
Références
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