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Communisme et Guerre civile grecque

Raccourcis: Différences, Similitudes, Jaccard similarité Coefficient, Références.

Différence entre Communisme et Guerre civile grecque

Communisme vs. Guerre civile grecque

Karl Marx, théoricien du communisme. Vladimir Ilitch Lénine, fondateur de l'URSS. XX. marxiste argentin, une figure de la révolution cubaine. Manifestation du Parti de la refondation communiste italien en 2007. Le communisme (du latin communis – commun, universel) est initialement un ensemble de doctrines politiques, issues du socialisme et, pour la plupart, du marxisme, s'opposant au capitalisme et visant à l'instauration d'une société sans classes sociales, sans salariat, et la mise en place d'une totale socialisation économique et démocratique des moyens de production. La guerre civile grecque est un conflit armé ayant opposé de 1946 à 1949 l'armée grecque gouvernementale (soutenue par le Royaume-Uni et les États-Unis) à l'Armée démocratique de Grèce, branche armée du Parti communiste de Grèce (soutenu par la Yougoslavie, la Bulgarie et l'Albanie).

Similitudes entre Communisme et Guerre civile grecque

Communisme et Guerre civile grecque ont 34 choses en commun (em Unionpédia): Armée populaire de libération nationale grecque, État communiste, États-Unis, Bloc de l'Est, Bulgarie, Conférence de Yalta, Dekemvrianá, Dictature des colonels, Front de libération nationale (Grèce), Guerre d'Espagne, Guerre froide, Harry S. Truman, José Gotovitch, Joseph Staline, Josip Broz Tito, Kominform, Le Monde, Moscou, NKVD, Parti communiste de Grèce, Pascal Delwit, République fédérative socialiste de Yougoslavie, République populaire de Bulgarie, République populaire de Hongrie, République populaire de Pologne, République populaire roumaine, République populaire socialiste d'Albanie, République socialiste tchécoslovaque, Royaume de Grèce, Royaume-Uni, ..., Seconde Guerre mondiale, Union des républiques socialistes soviétiques, Viatcheslav Molotov, Winston Churchill. Développer l'indice (4 plus) »

Armée populaire de libération nationale grecque

L’Armée populaire de libération nationale grecque (en grec moderne,, « Ellinikós Ethnikós Laikós Apeleftherotikós Stratós », en abrégé ELAS) était la branche armée du Front de libération nationale (« Ethnikó Apeleftherotikó Métopo », en abrégé EAM), le principal mouvement de résistance grec à l'occupation durant la Seconde Guerre mondiale, regroupant des partis d'extrême-gauche et principalement contrôlée par le Parti communiste de Grèce, le KKE.

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État communiste

Les Alliés occidentaux (en bleu) et communiste (en rouge) en septembre 1945. Les États communistes en 2021: la Chine, la Corée du Nord, Cuba, le Laos et le Viêt Nam.Ces pays se sont progressivement éloignés du collectivisme dans le domaine économique au profit de diverses formes d'économie de marché, mais gardent le système autoritaire du parti unique générant une idéologie d'État obligatoire, sous des appellations qui leur sont propres. Les États communistes entre 1979 et 1983. Les dénominations d’État communiste.

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États-Unis

Les États-Unis (prononcé), en forme longue les États-Unis d'AmériqueComme la plupart des pays, les États-Unis ont un nom « court » pour l'usage courant, pédagogique et cartographique, et un nom « long » pour l'usage officiel.

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Bloc de l'Est

L’expression bloc de l’Est désigne l’ensemble des régimes communistes instaurés après la Seconde Guerre mondiale dans les pays d’Europe placés sous le contrôle plus ou moins direct de l’Union soviétique et situés à l’Est du Rideau de fer. D’autres désignations sont aussi utilisées, les plus courantes étant pays de l’Est, mais aussi bloc soviétique, bloc communiste ou camp socialiste. Pour leur part, les emploient l’expression « démocraties populaires » visant à accréditer l’idée que ces régimes permettent aux peuples de mieux exprimer leur souveraineté que les régimes parlementaires d’Europe occidentale. Les Occidentaux les qualifient de manière péjorative de « pays satellites de l'URSS ». Les pays d’Europe ayant appartenu au bloc de l’Est sont l’Albanie, l'Allemagne de l'Est (ou RDA), la Bulgarie, la Hongrie, la Pologne, la Roumanie, la Tchécoslovaquie et brièvement la Yougoslavie. La notion de « bloc » est cependant toute relative. Ainsi, la Yougoslavie de Tito reste, après la rupture de 1948, à l’écart de la tutelle soviétique, joue un rôle majeur au sein du mouvement des non-alignés et met en œuvre une politique d'ouverture avec l'Europe de l'Ouest. Les relations de l’Albanie avec l’URSS se dégradent également en 1961. La Roumanie, dans une moindre mesure, acquiert également durant les années 1960 une certaine autonomie vis-à-vis de l’URSS, tout en restant oligarchique et dogmatique en politique intérieure. Entre 1945 et 1948, le prend le pouvoir dans tous ces pays, devient parti unique en éliminant ou en absorbant les autres partis, et met en place un régime se réclamant du socialisme, calqué sur celui de l’Union soviétique. Pendant les quarante années qui suivent, ces pays connaissent un réel développement économique, mais surtout dans les domaines de l’industrie lourde, de l’armement et de la conquête spatiale. En revanche, l’agriculture, les industries de transformation et les services connaissent de graves difficultés, de sorte que le niveau de vie de la majorité des citoyens qui n'appartiennent pas à la nomenklatura reste très inférieur à celui de l’Ouest. Ces difficultés économiques, conjuguées avec les restrictions des libertés, entraînent de violentes crises en RDA en 1953, en Pologne et en Hongrie en 1956. Khrouchtchev assouplit sensiblement le régime stalinien et introduit des réformes qui améliorent les conditions de vie de la population, mais n'apportent pas sur le long terme de solution durable aux problèmes économiques et sociaux. Les succès spatiaux et sportifs, largement exploités par la propagande, ne parviennent pas à cacher les échecs. Brejnev impose le maintien de « l'unité » du bloc de l'Est au prix si nécessaire d'une intervention militaire pour mettre fin en 1968 au Printemps de Prague, tentative des dirigeants communistes tchécoslovaques d'instaurer un socialisme à visage humain. L’effondrement du bloc de l’Est et de l’URSS se produit sur une période très courte, entre 1989 et 1991, le plus souvent de manière pacifique. Il prend par surprise les Occidentaux malgré les voix dissidentes qui s'élèvent à l'Est comme celle d'Andreï AmalrikDans ses ouvrages Le Procès des quatre (« Процесс четырёх») coécrit avec Pavel Litvinov et L’Union soviétique survivra-t-elle en 1984 ?, Amalrik dénonce une nomenklatura (terme popularisé par son contemporain Mikhaïl Voslenski) profitant indument d’avantages dont le peuple est privé, une armée et une police politique hypertrophiées, improductives et coûteuses, une bureaucratie figée, une classe moyenne trop peu développée et les faiblesses de la compétition avec l’Ouest: selon lui, le bloc de l’Est a depuis longtemps tourné le dos aux idéaux communistes et ne survit que par la coercition, de sorte que pour les peuples concernés, les identités nationales, les traditions ancestrales et les religions apparaissaient comme les seuls repères porteurs d’espoir. qui estime déjà dans les années 1970 que l’étouffement du « Printemps de Prague » et donc du « socialisme à visage humain » prive le bloc de l’Est de sa dernière « alternative d’avenir », rendant inéluctable son effondrement. Le bloc de l'est se définit par opposition au bloc de l'ouest.

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Bulgarie

La Bulgarie, en forme longue la république de Bulgarie (en et, translittération: et), est un pays d’Europe du Sud-Est situé dans les Balkans.

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Conférence de Yalta

La conférence de Yalta est une réunion des principaux responsables de l'Union soviétique (Joseph Staline), du Royaume-Uni (Winston Churchill) et des États-Unis (Franklin D. Roosevelt).

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Dekemvrianá

bataillon écossais de parachutistes dans des combats de rue face à l'ELAS (Athènes, 6 décembre 1944). Les événements de décembre (Δεκεμβριανά, dekemvrianá) désignent une série d'affrontements qui se sont produits à Athènes entre le et le, et qui ont opposé les mouvements communistes de la Résistance grecque (EAM-ELAS, le KKE) à l'armée britannique, soutenue par le gouvernement grec, la police nationale et une milice d'extrême-droite, l' du colonel Georges Grivas.

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Dictature des colonels

La dictature des colonels (Δικτατορία των Συνταγματαρχών) est le nom donné au pouvoir politique en place en Grèce du au.

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Front de libération nationale (Grèce)

Le Front de libération nationale grec ou EAM (Εθνικό Απελευθερωτικό Μέτωπο / Ethnikó Apeleftherotikó Métopo, d'où les initiales EAM) est le principal mouvement composant la résistance grecque durant la période d'occupation de la Grèce par les puissances de l'Axe, pendant la Seconde Guerre mondiale.

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Guerre d'Espagne

La guerre d'Espagne (également désignée sous le nom de guerre civile espagnolePar métonymie avec la révolution sociale d'extrême-gauche de 1936 qui s'est concrétisée pendant cette période par des collectivisations et des expériences d'organisation sociale jusqu'alors inédites en Espagne, l'expression de « révolution espagnole » a été employée par certains historiens d'extrême gauche comme Gaston Leval dans Espagne libertaire, 36-39: l'œuvre constructive de la Révolution espagnole ou encore Pierre Broué dans La révolution espagnole: (1936-1939): Journée d'études du 18 mai 1969.) est un conflit qui, du au, opposa en Espagne, d'une part le camp des républicains, orienté à gauche et à l'extrême gauche, composé de loyalistes à l'égard du gouvernement légalement établi de la IIe République, de communistes, de marxistes et de révolutionnaires anarchistes, et d'autre part les nationalistes, les rebelles putschistes orientés à droite et à l'extrême droite et menés par le général Franco.

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Guerre froide

La guerre froide (en anglais Cold War; en russe Холодная война, Kholodnaïa voïna) est le nom donné à la période de fortes tensions géopolitiques durant la seconde moitié du entre, d'une part, les États-Unis et leurs alliés constitutifs du bloc de l'Ouest et, d'autre part, l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et ses États satellites formant le bloc de l'Est.

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Harry S. Truman

Harry S. Truman, né le à Lamar (Missouri) et mort le à Kansas City (Missouri), est un homme d'État américain, président des États-Unis en fonction de 1945 à 1953.

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José Gotovitch

José Gotovitch, né à Bruxelles le, est un universitaire belge, membre de l'Académie royale de Belgique et professeur honoraire de l'Université libre de Bruxelles.

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Joseph Staline

Joseph Staline, né le Officiellement le. Quoiqu'il y ait des informations contradictoires dans les sources au sujet de la date de naissance de Staline, le registre des naissances de l'église Ouspensky à Gori mentionne la naissance de Iossif Djougachvili le (selon le calendrier julien alors en vigueur). Cette date est également mentionnée sur son diplôme scolaire, sa fiche signalétique de la police tsariste, un procès-verbal d'une arrestation datée du où il affirme avoir, ainsi que dans tous les documents pré-révolutionnaires existants. Staline lui-même mentionne le dans un curriculum vitæ rédigé de sa main en 1921. Cependant, à partir de 1922, cette date de naissance est changée pour le (en calendrier julien), date à laquelle sera fêté son anniversaire en Union soviétique. Le dramaturge Edvard Radzinsky suggère que ce changement fut opéré afin que la célébration du de Staline puisse se dérouler à travers tout le pays, et qu'en 1928 son pouvoir n'était pas encore suffisamment assis pour ce faire. Dans son ouvrage Staline (éd. Fayard, 2001), l'historien Jean-Jacques Marie montre en revanche qu'il avait déjà modifié sa date de naissance bien avant 1914. à Gori (Empire russe, actuelle Géorgie) et mort le à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il dirige l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des jusqu'à sa mort en établissant un régime de dictature personnelle absolue de type totalitaire. Les historiens le jugent responsable, à des degrés divers, de la mort de trois à plus de de personnes. Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, il est surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance. Il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en. Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe, qui signifie « acier ». Acteur marginal de la révolution d'Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tchéka, et devenant, en, secrétaire général du Comité central du Parti communiste. Après la mort de Lénine en, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes. S'appuyant sur la bureaucratisation croissante du régime et la toute-puissance de l’appareil policier, la Guépéou puis le NKVD, il impose progressivement un pouvoir personnel absolu et transforme l'URSS en un État totalitaire. Le culte de la personnalité construit autour de sa personne, le secret systématiquement entretenu autour de ses faits et gestes, le travestissement de la réalité par le recours incessant à la propagande, la falsification du passé, la dénonciation délirante de complots, de saboteurs et de traîtres, l’organisation de procès truqués, la liquidation physique d’adversaires politiques ou de personnalités tombées en disgrâce sont des caractéristiques permanentes de son régime. Il procède à la collectivisation intégrale des terres, décrétant la « liquidation des koulaks en tant que classe », et industrialise l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux aux objectifs irréalistes et au prix d'un coût humain et social exorbitant. Son long règne est marqué par un régime de terreur et de délation paroxystiques et par la mise à mort ou l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes, notamment au cours de la « collectivisation » des campagnes et des Grandes Purges de 1937. Il pratique aussi bien des déplacements de population massifs, dont la déportation intégrale d'une quinzaine de minorités nationales, que la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947, après les avoir en partie provoquées par une politique impitoyable de réquisitions forcées de produits agricoles dans les campagnes dont le blocus organisé empêche la fuite des populations rurales affamées et les prive de tout secours. Dans un contexte international de plus en plus tendu par la montée en puissance de l'Allemagne hitlérienne, Staline engage l'Union soviétique dans des négociations avec le régime nazi qui aboutissent, en, à la signature du pacte germano-soviétique, qui jusqu'en juin 1941 fait de l'URSS une alliée de l'Allemagne nazie pendant les deux premières années de la Seconde Guerre mondiale. La coopération économique entre les deux pays entreprise après la signature des est brutalement interrompue par l'invasion allemande de l'Union soviétique en, précipitant cette dernière dans la guerre aux côtés du Royaume-Uni, alors seul face à l'Allemagne nazie. La victoire militaire finale dans un conflit qui a mis l'URSS au bord du gouffre, et dont la bataille de Stalingrad est un tournant majeur, confère à Staline un prestige international retentissant et lui permet d'affirmer son emprise sur un empire s'étendant de la frontière occidentale de la RDA à l'océan Pacifique. Joseph Staline est également l'auteur de textes exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein des courants communistes liés à l'URSS, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme. Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956: la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant aucune démocratisation du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline peuvent être dénoncés en URSS dans toute leur ampleur.

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Josip Broz Tito

Josip Broz Tito (en alphabet cyrillique, Jосип Броз Тито Prononciation en serbo-croate retranscrite selon la norme API.), né Josip Broz le officiellement à Kumrovec (Autriche-Hongrie, actuelle Croatie) et mort le à Ljubljana (république socialiste de Slovénie), communément appelé « Tito » ou le maréchal Tito, est un homme d'État yougoslave.

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Kominform

Le Kominform est l'organisation centralisée du mouvement communiste international dans la période de 1947 à 1956.

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Le Monde

Le Monde est un journal français fondé par Hubert Beuve-Méry en 1944.

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Moscou

Moscou (en Москва, Moskva) est la capitale de la Russie et compte environ habitants intra muros en 2023 sur une superficie de, ce qui en fait la ville la plus peuplée à la fois du pays et d'Europe.

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NKVD

Le NKVD (en, l'abréviation de Народный комиссариат внутреннихдел, Narodniï komissariat vnoutrennikh diel ou Commissariat du peuple aux Affaires intérieures) était l'organisme d'État d'abord dans les républiques socialistes soviétiques constituant l'URSS et ensuite dans l'URSS entière, dont relevait la police politique « chargée de combattre le crime et de maintenir l'ordre public ».

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Parti communiste de Grèce

Symbole électoral du Parti communiste de Grèce. Drapeau du Parti communiste de Grèce. Le Parti communiste de Grèce (en grec, abrégé usuellement en français en KKE) est un parti politique d'extrême gauche grec fondé en 1918.

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Pascal Delwit

Pascal Delwit, né en 1961 à Bruxelles, est un professeur de science politique à l'Université libre de Bruxelles.

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République fédérative socialiste de Yougoslavie

La république fédérative socialiste de Yougoslavie (plutôt que république fédérale socialiste de Yougoslavie) ou RFSY, ou encore RFS de Yougoslavie, est le deuxième et dernier nom officiel employé par la Yougoslavie durant la période allant de 1945 à 1992, alors que le pays était dominé par la Ligue des communistes de Yougoslavie et, jusqu'à sa mort en 1980, par la personne du maréchal Tito (d'abord chef du gouvernement, puis chef de l'État, et enfin président à vie).

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République populaire de Bulgarie

La république populaire de Bulgarie (en bulgare) est le régime politique en vigueur en Bulgarie entre 1946 et 1990, de l'abolition du royaume de Bulgarie à la chute du bloc de l'Est.

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République populaire de Hongrie

La république populaire de Hongrie (également traduit par République populaire hongroise ou République démocratique hongroise) était le nom officiel de la Hongrie de 1949 à 1989, lorsqu'elle faisait partie des membres de la sphère d'influence de l'Union soviétique désignée sous le nom de bloc de l'Est.

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République populaire de Pologne

La république populaire de Pologne (polonais: Polska Rzeczpospolita Ludowa, PRL) est le nom officiel de la Pologne de 1952 à 1989, période durant laquelle le pays est gouverné par un régime se réclamant du marxisme-léninisme, dominé par le Parti ouvrier unifié polonais.

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République populaire roumaine

La République populaire roumaine est la deuxième forme constitutionnelle, du au, du régime communiste de Roumanie dirigé par le Parti communiste roumain (du au). Ce régime a connu trois phases.

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République populaire socialiste d'Albanie

L'Albanie socialiste ou Albanie communiste était le régime politique en vigueur en Albanie après la Seconde Guerre mondiale, jusqu'à la chute des régimes communistes en Europe.

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République socialiste tchécoslovaque

La République socialiste tchécoslovaque était le nom officiel adopté par la Tchécoslovaquie durant la période où le pays était gouverné par un régime autoritaire d'inspiration marxiste-léniniste dirigé par le Parti communiste tchécoslovaque (en abrégé KSČ).

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Royaume de Grèce

Le royaume de Grèce, en grec trans, est le régime politique en vigueur en Grèce de 1832 jusqu'au milieu des années 1970, à l'exception d'un intermède républicain entre 1924 et 1935.

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Royaume-Uni

Le Royaume-Uni (prononcé en français: Prononciation en français de France retranscrite selon la norme API.), en forme longue le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord.

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Seconde Guerre mondiale

La Seconde Guerre mondiale, ou Deuxième Guerre mondiale, est un conflit armé à l'échelle planétaire qui dure du au.

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Union des républiques socialistes soviétiques

L'Union des républiques socialistes soviétiques, abrégé en URSS« URSS » présente la particularité de couramment s'écrire et se prononcer comme un sigle simple, chaque lettre prononcée séparément: U-R-S-S, mais aussi de couramment s'écrire et se prononcer comme un acronyme: « l'URSS » (le mot et son article sont alors prononcés comme le mot inventé « lurce », phonétique). ou Union soviétique (en russe, СССР; transcription: Soïouz Sovietskikh Sotsialistitcheskikh Riespoublik, SSSR; « Union des républiques socialistes des conseils »), était un État fédéral transcontinental à régime communiste.

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Viatcheslav Molotov

Viatcheslav Mikhaïlovitch Molotov (en Вячеслав Михайлович Молотов; né le Le calendrier julien est resté en vigueur dans la Russie tsariste jusqu'en 1918 à Koukarka et mort le à Moscou) est un journaliste, homme politique et diplomate soviétique.

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Winston Churchill

Winston Churchill est un homme d'État et écrivain britannique, né le à Woodstock et mort le à Londres.

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La liste ci-dessus répond aux questions suivantes

Comparaison entre Communisme et Guerre civile grecque

Communisme a 1608 relations, tout en Guerre civile grecque a 87. Comme ils ont en commun 34, l'indice de Jaccard est 2.01% = 34 / (1608 + 87).

Références

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