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Communisme et Memento Park

Raccourcis: Différences, Similitudes, Jaccard similarité Coefficient, Références.

Différence entre Communisme et Memento Park

Communisme vs. Memento Park

Karl Marx, théoricien du communisme. Vladimir Ilitch Lénine, fondateur de l'URSS. XX. marxiste argentin, une figure de la révolution cubaine. Manifestation du Parti de la refondation communiste italien en 2007. Le communisme (du latin communis – commun, universel) est initialement un ensemble de doctrines politiques, issues du socialisme et, pour la plupart, du marxisme, s'opposant au capitalisme et visant à l'instauration d'une société sans classes sociales, sans salariat, et la mise en place d'une totale socialisation économique et démocratique des moyens de production. Le Memento Park ou Parc des statues (Szobor park) de Budapest, en Europe centrale, regroupe toutes les anciennes statues érigées à la gloire du communisme dans la capitale hongroise: il est considéré comme un musée en plein air de l'art totalitaire mais attire aussi les « ostalgiques » du bloc de l'Est.

Similitudes entre Communisme et Memento Park

Communisme et Memento Park ont 22 choses en commun (em Unionpédia): Architecture stalinienne, Autorité de protection de l'État, État communiste, Béla Kun, Bloc de l'Est, Budapest, Chute des régimes communistes en Europe, Europe centrale, Friedrich Engels, Histoire du communisme, Hongrie, Joseph Staline, Karl Marx, Ostalgie, Police politique, Réalisme socialiste soviétique, République des conseils de Hongrie, République populaire de Hongrie, Révolution hongroise de 1956, Rideau de fer, Totalitarisme, Vladimir Ilitch Lénine.

Architecture stalinienne

L'architecture stalinienne (en Ста́линский Ампи́р), ou style impérial stalinien, classicisme stalinien, ou encore gothique stalinien, sont les noms donnés à l'architecture de l'Union soviétique entre 1933, quand les esquisses de Boris Iofane pour le palais des Soviets furent officiellement approuvées, et 1955, quand Nikita Khrouchtchev condamna les « excès » des décennies passées et dissout l'Académie soviétique d'architecture.

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Autorité de protection de l'État

avenue Andrassy à Budapest, aujourd'hui musée Maison de la terreur (qui a ajouté la bordure marquée « terror »). Anciens bureaux de l'ÁVH à Budapest. L'Autorité de protection de l'État (en hongrois, Államvédelmi Hatóság) ou ÁVH, est la police politique de la Hongrie communiste de 1945 à 1956.

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État communiste

Les Alliés occidentaux (en bleu) et communiste (en rouge) en septembre 1945. Les États communistes en 2021: la Chine, la Corée du Nord, Cuba, le Laos et le Viêt Nam.Ces pays se sont progressivement éloignés du collectivisme dans le domaine économique au profit de diverses formes d'économie de marché, mais gardent le système autoritaire du parti unique générant une idéologie d'État obligatoire, sous des appellations qui leur sont propres. Les États communistes entre 1979 et 1983. Les dénominations d’État communiste.

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Béla Kun

Béla Kun, né Béla Kohn le à Szilágycseh et exécuté le au Goulag, est un homme politique hongrois, principal dirigeant de l'éphémère République des conseils de Hongrie, le premier gouvernement d'inspiration communiste apparu en Europe après celui de la Russie soviétique.

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Bloc de l'Est

L’expression bloc de l’Est désigne l’ensemble des régimes communistes instaurés après la Seconde Guerre mondiale dans les pays d’Europe placés sous le contrôle plus ou moins direct de l’Union soviétique et situés à l’Est du Rideau de fer. D’autres désignations sont aussi utilisées, les plus courantes étant pays de l’Est, mais aussi bloc soviétique, bloc communiste ou camp socialiste. Pour leur part, les emploient l’expression « démocraties populaires » visant à accréditer l’idée que ces régimes permettent aux peuples de mieux exprimer leur souveraineté que les régimes parlementaires d’Europe occidentale. Les Occidentaux les qualifient de manière péjorative de « pays satellites de l'URSS ». Les pays d’Europe ayant appartenu au bloc de l’Est sont l’Albanie, l'Allemagne de l'Est (ou RDA), la Bulgarie, la Hongrie, la Pologne, la Roumanie, la Tchécoslovaquie et brièvement la Yougoslavie. La notion de « bloc » est cependant toute relative. Ainsi, la Yougoslavie de Tito reste, après la rupture de 1948, à l’écart de la tutelle soviétique, joue un rôle majeur au sein du mouvement des non-alignés et met en œuvre une politique d'ouverture avec l'Europe de l'Ouest. Les relations de l’Albanie avec l’URSS se dégradent également en 1961. La Roumanie, dans une moindre mesure, acquiert également durant les années 1960 une certaine autonomie vis-à-vis de l’URSS, tout en restant oligarchique et dogmatique en politique intérieure. Entre 1945 et 1948, le prend le pouvoir dans tous ces pays, devient parti unique en éliminant ou en absorbant les autres partis, et met en place un régime se réclamant du socialisme, calqué sur celui de l’Union soviétique. Pendant les quarante années qui suivent, ces pays connaissent un réel développement économique, mais surtout dans les domaines de l’industrie lourde, de l’armement et de la conquête spatiale. En revanche, l’agriculture, les industries de transformation et les services connaissent de graves difficultés, de sorte que le niveau de vie de la majorité des citoyens qui n'appartiennent pas à la nomenklatura reste très inférieur à celui de l’Ouest. Ces difficultés économiques, conjuguées avec les restrictions des libertés, entraînent de violentes crises en RDA en 1953, en Pologne et en Hongrie en 1956. Khrouchtchev assouplit sensiblement le régime stalinien et introduit des réformes qui améliorent les conditions de vie de la population, mais n'apportent pas sur le long terme de solution durable aux problèmes économiques et sociaux. Les succès spatiaux et sportifs, largement exploités par la propagande, ne parviennent pas à cacher les échecs. Brejnev impose le maintien de « l'unité » du bloc de l'Est au prix si nécessaire d'une intervention militaire pour mettre fin en 1968 au Printemps de Prague, tentative des dirigeants communistes tchécoslovaques d'instaurer un socialisme à visage humain. L’effondrement du bloc de l’Est et de l’URSS se produit sur une période très courte, entre 1989 et 1991, le plus souvent de manière pacifique. Il prend par surprise les Occidentaux malgré les voix dissidentes qui s'élèvent à l'Est comme celle d'Andreï AmalrikDans ses ouvrages Le Procès des quatre (« Процесс четырёх») coécrit avec Pavel Litvinov et L’Union soviétique survivra-t-elle en 1984 ?, Amalrik dénonce une nomenklatura (terme popularisé par son contemporain Mikhaïl Voslenski) profitant indument d’avantages dont le peuple est privé, une armée et une police politique hypertrophiées, improductives et coûteuses, une bureaucratie figée, une classe moyenne trop peu développée et les faiblesses de la compétition avec l’Ouest: selon lui, le bloc de l’Est a depuis longtemps tourné le dos aux idéaux communistes et ne survit que par la coercition, de sorte que pour les peuples concernés, les identités nationales, les traditions ancestrales et les religions apparaissaient comme les seuls repères porteurs d’espoir. qui estime déjà dans les années 1970 que l’étouffement du « Printemps de Prague » et donc du « socialisme à visage humain » prive le bloc de l’Est de sa dernière « alternative d’avenir », rendant inéluctable son effondrement. Le bloc de l'est se définit par opposition au bloc de l'ouest.

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Budapest

Budapest (prononcé, Budapest; Budapest ou anciennement Ofen-Pesth) est la plus grande ville et la capitale de la Hongrie.

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Chute des régimes communistes en Europe

La chute des régimes communistes en Europe est l'effondrement entre 1988 et 1991, dans les sept pays de l'Europe centrale et orientale, des régimes communistes que Joseph Staline avait installés dans les années 1944 à 1949, officiellement afin de « se constituer un glacier protecteur » à la frontière occidentale de l'URSS, censée être « menacée par l'impérialisme capitaliste ».

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Europe centrale

L'Europe centrale est la région s'étendant au cœur du continent européen.

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Friedrich Engels

Friedrich Engels, né le à Barmen (Prusse) et mort le à Londres, est un philosophe, sociologue, anthropologue et un théoricien socialiste et communiste allemand, grand ami de Karl Marx.

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Histoire du communisme

Karl Marx, théoricien du communisme. L'Histoire du communisme recouvre l'ensemble des évolutions de ce courant d'idées et, par extension, celle des mouvances et des régimes politiques qui s'en sont réclamés.

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Hongrie

La Hongrie est une république constitutionnelle unitaire située dans la région sud-est de Europe centrale.

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Joseph Staline

Joseph Staline, né le Officiellement le. Quoiqu'il y ait des informations contradictoires dans les sources au sujet de la date de naissance de Staline, le registre des naissances de l'église Ouspensky à Gori mentionne la naissance de Iossif Djougachvili le (selon le calendrier julien alors en vigueur). Cette date est également mentionnée sur son diplôme scolaire, sa fiche signalétique de la police tsariste, un procès-verbal d'une arrestation datée du où il affirme avoir, ainsi que dans tous les documents pré-révolutionnaires existants. Staline lui-même mentionne le dans un curriculum vitæ rédigé de sa main en 1921. Cependant, à partir de 1922, cette date de naissance est changée pour le (en calendrier julien), date à laquelle sera fêté son anniversaire en Union soviétique. Le dramaturge Edvard Radzinsky suggère que ce changement fut opéré afin que la célébration du de Staline puisse se dérouler à travers tout le pays, et qu'en 1928 son pouvoir n'était pas encore suffisamment assis pour ce faire. Dans son ouvrage Staline (éd. Fayard, 2001), l'historien Jean-Jacques Marie montre en revanche qu'il avait déjà modifié sa date de naissance bien avant 1914. à Gori (Empire russe, actuelle Géorgie) et mort le à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il dirige l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des jusqu'à sa mort en établissant un régime de dictature personnelle absolue de type totalitaire. Les historiens le jugent responsable, à des degrés divers, de la mort de trois à plus de de personnes. Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, il est surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance. Il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en. Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe, qui signifie « acier ». Acteur marginal de la révolution d'Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tchéka, et devenant, en, secrétaire général du Comité central du Parti communiste. Après la mort de Lénine en, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes. S'appuyant sur la bureaucratisation croissante du régime et la toute-puissance de l’appareil policier, la Guépéou puis le NKVD, il impose progressivement un pouvoir personnel absolu et transforme l'URSS en un État totalitaire. Le culte de la personnalité construit autour de sa personne, le secret systématiquement entretenu autour de ses faits et gestes, le travestissement de la réalité par le recours incessant à la propagande, la falsification du passé, la dénonciation délirante de complots, de saboteurs et de traîtres, l’organisation de procès truqués, la liquidation physique d’adversaires politiques ou de personnalités tombées en disgrâce sont des caractéristiques permanentes de son régime. Il procède à la collectivisation intégrale des terres, décrétant la « liquidation des koulaks en tant que classe », et industrialise l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux aux objectifs irréalistes et au prix d'un coût humain et social exorbitant. Son long règne est marqué par un régime de terreur et de délation paroxystiques et par la mise à mort ou l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes, notamment au cours de la « collectivisation » des campagnes et des Grandes Purges de 1937. Il pratique aussi bien des déplacements de population massifs, dont la déportation intégrale d'une quinzaine de minorités nationales, que la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947, après les avoir en partie provoquées par une politique impitoyable de réquisitions forcées de produits agricoles dans les campagnes dont le blocus organisé empêche la fuite des populations rurales affamées et les prive de tout secours. Dans un contexte international de plus en plus tendu par la montée en puissance de l'Allemagne hitlérienne, Staline engage l'Union soviétique dans des négociations avec le régime nazi qui aboutissent, en, à la signature du pacte germano-soviétique, qui jusqu'en juin 1941 fait de l'URSS une alliée de l'Allemagne nazie pendant les deux premières années de la Seconde Guerre mondiale. La coopération économique entre les deux pays entreprise après la signature des est brutalement interrompue par l'invasion allemande de l'Union soviétique en, précipitant cette dernière dans la guerre aux côtés du Royaume-Uni, alors seul face à l'Allemagne nazie. La victoire militaire finale dans un conflit qui a mis l'URSS au bord du gouffre, et dont la bataille de Stalingrad est un tournant majeur, confère à Staline un prestige international retentissant et lui permet d'affirmer son emprise sur un empire s'étendant de la frontière occidentale de la RDA à l'océan Pacifique. Joseph Staline est également l'auteur de textes exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein des courants communistes liés à l'URSS, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme. Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956: la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant aucune démocratisation du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline peuvent être dénoncés en URSS dans toute leur ampleur.

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Karl Marx

Karl Marx (en allemand), né le à Trèves dans le grand-duché du Bas-Rhin et mort le à Londres, est un philosophe, économiste, historien, sociologue, journaliste, théoricien de la révolution, socialiste et communiste prussien.

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Ostalgie

L’ostalgie (en allemand: die Ostalgie, des mots Ost (Est) et Nostalgie) est un néologisme désignant la nostalgie de l'ancienne Allemagne de l'Est (RDA).

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Police politique

La police politique est le service de police qui opère généralement dans le secret pour maintenir la sécurité nationale contre les menaces internes à l'État.

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Réalisme socialiste soviétique

En Union soviétique (comme dans le bloc de l'Est, en République populaire mongole, en Chine, en Corée du Nord, au Vietnam et à Cuba, mais trente ans avant tous ces pays), le réalisme socialiste est un courant artistique choisi, à l'exclusion de tout autre, par le pouvoir communiste pour représenter d'une manière « exemplaire », la plus figurative possible, dans des postures à la fois académiques et héroïques, la « réalité sociale des classes populaires, des travailleurs, des militants et des combattants » des pays concernés, telle que le régime la concevait en accord avec les principes marxistes-léninistes.

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République des conseils de Hongrie

21 mars 1919. La république des conseils de Hongrie est l'éphémère régime politique de la Hongrie du au.

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République populaire de Hongrie

La république populaire de Hongrie (également traduit par République populaire hongroise ou République démocratique hongroise) était le nom officiel de la Hongrie de 1949 à 1989, lorsqu'elle faisait partie des membres de la sphère d'influence de l'Union soviétique désignée sous le nom de bloc de l'Est.

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Révolution hongroise de 1956

Linsurrection de Budapest ou révolution de 1956 (en hongrois 1956-os forradalom) est la révolte populaire spontanée contre le régime communiste hongrois et ses politiques imposées par l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) qui dura du au.

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Rideau de fer

Le rideau de fer (en Iron Curtain, en Eiserner Vorhang) est la frontière fortifiée entre d'un côté la Yougoslavie et les États européens tournés vers les États-Unis et de l'autre les États européens placés sous influence soviétique.

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Totalitarisme

Mao Zedong et Joseph Staline, en 1949. Tag anti-totalitaire sur un mur à Bucarest (2013). Kim Il-sung, fondateur et premier dictateur de la Corée du Nord, un régime totalitaire. Le totalitarisme est un régime et système politique dans lequel existe un parti unique, n'admettant aucune opposition organisée, et où l'État tend à exercer une mainmise sur la totalité des activités de la société.

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Vladimir Ilitch Lénine

Vladimir Ilitch Oulianov (en Влади́мир Ильи́ч Улья́нов Prononciation en russe retranscrite selon la norme API.), dit Lénine (Ленин), est un révolutionnaire communiste, théoricien politique et homme d'État russe, né le à Simbirsk (aujourd'hui Oulianovsk) et mort le à Vichnie Gorki (aujourd'hui Gorki Leninskie).

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La liste ci-dessus répond aux questions suivantes

Comparaison entre Communisme et Memento Park

Communisme a 1608 relations, tout en Memento Park a 31. Comme ils ont en commun 22, l'indice de Jaccard est 1.34% = 22 / (1608 + 31).

Références

Cet article montre la relation entre Communisme et Memento Park. Pour accéder à chaque article à partir de laquelle l'information a été extraite, s'il vous plaît visitez:

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