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Communisme et Milovan Djilas

Raccourcis: Différences, Similitudes, Jaccard similarité Coefficient, Références.

Différence entre Communisme et Milovan Djilas

Communisme vs. Milovan Djilas

Karl Marx, théoricien du communisme. Vladimir Ilitch Lénine, fondateur de l'URSS. XX. marxiste argentin, une figure de la révolution cubaine. Manifestation du Parti de la refondation communiste italien en 2007. Le communisme (du latin communis – commun, universel) est initialement un ensemble de doctrines politiques, issues du socialisme et, pour la plupart, du marxisme, s'opposant au capitalisme et visant à l'instauration d'une société sans classes sociales, sans salariat, et la mise en place d'une totale socialisation économique et démocratique des moyens de production. Milovan Đilas (en serbe: Милован Ђилас / Milovan Đilas) (né le à Mojkovac, mort le à Belgrade.), est un homme politique et essayiste yougoslave.

Similitudes entre Communisme et Milovan Djilas

Communisme et Milovan Djilas ont 9 choses en commun (em Unionpédia): Belgrade, Joseph Staline, Josip Broz Tito, Ligue des communistes de Yougoslavie, Nomenklatura, Partisans (Yougoslavie), République fédérative socialiste de Yougoslavie, Union des républiques socialistes soviétiques, Viatcheslav Molotov.

Belgrade

Belgrade (en serbe cyrillique: Београд; en serbe latin: Beograd) est la plus grande ville et la capitale de la Serbie.

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Joseph Staline

Joseph Staline, né le Officiellement le. Quoiqu'il y ait des informations contradictoires dans les sources au sujet de la date de naissance de Staline, le registre des naissances de l'église Ouspensky à Gori mentionne la naissance de Iossif Djougachvili le (selon le calendrier julien alors en vigueur). Cette date est également mentionnée sur son diplôme scolaire, sa fiche signalétique de la police tsariste, un procès-verbal d'une arrestation datée du où il affirme avoir, ainsi que dans tous les documents pré-révolutionnaires existants. Staline lui-même mentionne le dans un curriculum vitæ rédigé de sa main en 1921. Cependant, à partir de 1922, cette date de naissance est changée pour le (en calendrier julien), date à laquelle sera fêté son anniversaire en Union soviétique. Le dramaturge Edvard Radzinsky suggère que ce changement fut opéré afin que la célébration du de Staline puisse se dérouler à travers tout le pays, et qu'en 1928 son pouvoir n'était pas encore suffisamment assis pour ce faire. Dans son ouvrage Staline (éd. Fayard, 2001), l'historien Jean-Jacques Marie montre en revanche qu'il avait déjà modifié sa date de naissance bien avant 1914. à Gori (Empire russe, actuelle Géorgie) et mort le à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il dirige l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des jusqu'à sa mort en établissant un régime de dictature personnelle absolue de type totalitaire. Les historiens le jugent responsable, à des degrés divers, de la mort de trois à plus de de personnes. Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, il est surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance. Il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en. Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe, qui signifie « acier ». Acteur marginal de la révolution d'Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tchéka, et devenant, en, secrétaire général du Comité central du Parti communiste. Après la mort de Lénine en, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes. S'appuyant sur la bureaucratisation croissante du régime et la toute-puissance de l’appareil policier, la Guépéou puis le NKVD, il impose progressivement un pouvoir personnel absolu et transforme l'URSS en un État totalitaire. Le culte de la personnalité construit autour de sa personne, le secret systématiquement entretenu autour de ses faits et gestes, le travestissement de la réalité par le recours incessant à la propagande, la falsification du passé, la dénonciation délirante de complots, de saboteurs et de traîtres, l’organisation de procès truqués, la liquidation physique d’adversaires politiques ou de personnalités tombées en disgrâce sont des caractéristiques permanentes de son régime. Il procède à la collectivisation intégrale des terres, décrétant la « liquidation des koulaks en tant que classe », et industrialise l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux aux objectifs irréalistes et au prix d'un coût humain et social exorbitant. Son long règne est marqué par un régime de terreur et de délation paroxystiques et par la mise à mort ou l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes, notamment au cours de la « collectivisation » des campagnes et des Grandes Purges de 1937. Il pratique aussi bien des déplacements de population massifs, dont la déportation intégrale d'une quinzaine de minorités nationales, que la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947, après les avoir en partie provoquées par une politique impitoyable de réquisitions forcées de produits agricoles dans les campagnes dont le blocus organisé empêche la fuite des populations rurales affamées et les prive de tout secours. Dans un contexte international de plus en plus tendu par la montée en puissance de l'Allemagne hitlérienne, Staline engage l'Union soviétique dans des négociations avec le régime nazi qui aboutissent, en, à la signature du pacte germano-soviétique, qui jusqu'en juin 1941 fait de l'URSS une alliée de l'Allemagne nazie pendant les deux premières années de la Seconde Guerre mondiale. La coopération économique entre les deux pays entreprise après la signature des est brutalement interrompue par l'invasion allemande de l'Union soviétique en, précipitant cette dernière dans la guerre aux côtés du Royaume-Uni, alors seul face à l'Allemagne nazie. La victoire militaire finale dans un conflit qui a mis l'URSS au bord du gouffre, et dont la bataille de Stalingrad est un tournant majeur, confère à Staline un prestige international retentissant et lui permet d'affirmer son emprise sur un empire s'étendant de la frontière occidentale de la RDA à l'océan Pacifique. Joseph Staline est également l'auteur de textes exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein des courants communistes liés à l'URSS, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme. Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956: la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant aucune démocratisation du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline peuvent être dénoncés en URSS dans toute leur ampleur.

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Josip Broz Tito

Josip Broz Tito (en alphabet cyrillique, Jосип Броз Тито Prononciation en serbo-croate retranscrite selon la norme API.), né Josip Broz le officiellement à Kumrovec (Autriche-Hongrie, actuelle Croatie) et mort le à Ljubljana (république socialiste de Slovénie), communément appelé « Tito » ou le maréchal Tito, est un homme d'État yougoslave.

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Ligue des communistes de Yougoslavie

La Ligue des communistes de Yougoslavie, nom abrégé en LCY, ou SKJ (appelée avant 1952 Parti communiste de Yougoslavie, ou PCY; en serbo-croate, Komunistička partija Jugoslavije ou KPJ) est un ancien parti politique de gauche ou d'extrême gauche de Yougoslavie fondé en 1919.

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Nomenklatura

La nomenklatura (en номенклату́ра) est un terme russe, passé dans les langues des autres pays communistes (nomenklatura, nomenclatura), pour désigner l'élite du Parti communiste de l'Union soviétique et de ses satellites du bloc communiste, les hauts gradés de l'armée, les troupes d'élite, les membres des polices politiques, les dirigeants de la bureaucratie, les directeurs d'usines, de kolkhozes et d'institutions, les apparatchiks les plus influents et, bien sûr, les responsables de l'État et des ministères.

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Partisans (Yougoslavie)

Les Partisans (Partizan, pluriel Partizani) étaient un mouvement armé de résistance yougoslave d'inspiration communiste qui était dirigé par Josip Broz Tito, et combattit contre l'État indépendant de Croatie, l'Allemagne nazie et l'Italie fasciste durant la Seconde Guerre mondiale.

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République fédérative socialiste de Yougoslavie

La république fédérative socialiste de Yougoslavie (plutôt que république fédérale socialiste de Yougoslavie) ou RFSY, ou encore RFS de Yougoslavie, est le deuxième et dernier nom officiel employé par la Yougoslavie durant la période allant de 1945 à 1992, alors que le pays était dominé par la Ligue des communistes de Yougoslavie et, jusqu'à sa mort en 1980, par la personne du maréchal Tito (d'abord chef du gouvernement, puis chef de l'État, et enfin président à vie).

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Union des républiques socialistes soviétiques

L'Union des républiques socialistes soviétiques, abrégé en URSS« URSS » présente la particularité de couramment s'écrire et se prononcer comme un sigle simple, chaque lettre prononcée séparément: U-R-S-S, mais aussi de couramment s'écrire et se prononcer comme un acronyme: « l'URSS » (le mot et son article sont alors prononcés comme le mot inventé « lurce », phonétique). ou Union soviétique (en russe, СССР; transcription: Soïouz Sovietskikh Sotsialistitcheskikh Riespoublik, SSSR; « Union des républiques socialistes des conseils »), était un État fédéral transcontinental à régime communiste.

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Viatcheslav Molotov

Viatcheslav Mikhaïlovitch Molotov (en Вячеслав Михайлович Молотов; né le Le calendrier julien est resté en vigueur dans la Russie tsariste jusqu'en 1918 à Koukarka et mort le à Moscou) est un journaliste, homme politique et diplomate soviétique.

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La liste ci-dessus répond aux questions suivantes

Comparaison entre Communisme et Milovan Djilas

Communisme a 1608 relations, tout en Milovan Djilas a 18. Comme ils ont en commun 9, l'indice de Jaccard est 0.55% = 9 / (1608 + 18).

Références

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