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Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide et Droits de l'homme

Raccourcis: Différences, Similitudes, Jaccard similarité Coefficient, Références.

Différence entre Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide et Droits de l'homme

Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide vs. Droits de l'homme

La Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide (CPRCG) est un traité de droit international approuvé à l'unanimité le par l'Assemblée générale des Nations unies. Eleanor Roosevelt tenant la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948. La Déclaration des droits (''Bill of Rights'') de 1689. Les droits de l'homme (parfois écrits « droits de l'Homme »), également appelés droits humains ou droits de la personne (par exemple dans un contexte de communication gouvernementale au Canada), sont un concept à la fois philosophique, juridique et politique, selon lequel tout être humain possède des droits universels, inaliénables, quel que soit le droit positif (droit en vigueur) ou d'autres facteurs locaux tels que l'ethnie, la nationalité ou la religion.

Similitudes entre Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide et Droits de l'homme

Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide et Droits de l'homme ont 11 choses en commun (em Unionpédia): Assemblée générale des Nations unies, États-Unis, Bloc de l'Est, Ethnie, Génocide, Nation, Organisation des Nations unies, Pacte international relatif aux droits civils et politiques, Pologne, Race, Religion.

Assemblée générale des Nations unies

LAssemblée générale des Nations uniesDans les autres langues officielles de l'ONU.

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États-Unis

Les États-Unis (prononcé), en forme longue les États-Unis d'AmériqueComme la plupart des pays, les États-Unis ont un nom « court » pour l'usage courant, pédagogique et cartographique, et un nom « long » pour l'usage officiel.

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Bloc de l'Est

L’expression bloc de l’Est désigne l’ensemble des régimes communistes instaurés après la Seconde Guerre mondiale dans les pays d’Europe placés sous le contrôle plus ou moins direct de l’Union soviétique et situés à l’Est du Rideau de fer. D’autres désignations sont aussi utilisées, les plus courantes étant pays de l’Est, mais aussi bloc soviétique, bloc communiste ou camp socialiste. Pour leur part, les emploient l’expression « démocraties populaires » visant à accréditer l’idée que ces régimes permettent aux peuples de mieux exprimer leur souveraineté que les régimes parlementaires d’Europe occidentale. Les Occidentaux les qualifient de manière péjorative de « pays satellites de l'URSS ». Les pays d’Europe ayant appartenu au bloc de l’Est sont l’Albanie, l'Allemagne de l'Est (ou RDA), la Bulgarie, la Hongrie, la Pologne, la Roumanie, la Tchécoslovaquie et brièvement la Yougoslavie. La notion de « bloc » est cependant toute relative. Ainsi, la Yougoslavie de Tito reste, après la rupture de 1948, à l’écart de la tutelle soviétique, joue un rôle majeur au sein du mouvement des non-alignés et met en œuvre une politique d'ouverture avec l'Europe de l'Ouest. Les relations de l’Albanie avec l’URSS se dégradent également en 1961. La Roumanie, dans une moindre mesure, acquiert également durant les années 1960 une certaine autonomie vis-à-vis de l’URSS, tout en restant oligarchique et dogmatique en politique intérieure. Entre 1945 et 1948, le prend le pouvoir dans tous ces pays, devient parti unique en éliminant ou en absorbant les autres partis, et met en place un régime se réclamant du socialisme, calqué sur celui de l’Union soviétique. Pendant les quarante années qui suivent, ces pays connaissent un réel développement économique, mais surtout dans les domaines de l’industrie lourde, de l’armement et de la conquête spatiale. En revanche, l’agriculture, les industries de transformation et les services connaissent de graves difficultés, de sorte que le niveau de vie de la majorité des citoyens qui n'appartiennent pas à la nomenklatura reste très inférieur à celui de l’Ouest. Ces difficultés économiques, conjuguées avec les restrictions des libertés, entraînent de violentes crises en RDA en 1953, en Pologne et en Hongrie en 1956. Khrouchtchev assouplit sensiblement le régime stalinien et introduit des réformes qui améliorent les conditions de vie de la population, mais n'apportent pas sur le long terme de solution durable aux problèmes économiques et sociaux. Les succès spatiaux et sportifs, largement exploités par la propagande, ne parviennent pas à cacher les échecs. Brejnev impose le maintien de « l'unité » du bloc de l'Est au prix si nécessaire d'une intervention militaire pour mettre fin en 1968 au Printemps de Prague, tentative des dirigeants communistes tchécoslovaques d'instaurer un socialisme à visage humain. L’effondrement du bloc de l’Est et de l’URSS se produit sur une période très courte, entre 1989 et 1991, le plus souvent de manière pacifique. Il prend par surprise les Occidentaux malgré les voix dissidentes qui s'élèvent à l'Est comme celle d'Andreï AmalrikDans ses ouvrages Le Procès des quatre (« Процесс четырёх») coécrit avec Pavel Litvinov et L’Union soviétique survivra-t-elle en 1984 ?, Amalrik dénonce une nomenklatura (terme popularisé par son contemporain Mikhaïl Voslenski) profitant indument d’avantages dont le peuple est privé, une armée et une police politique hypertrophiées, improductives et coûteuses, une bureaucratie figée, une classe moyenne trop peu développée et les faiblesses de la compétition avec l’Ouest: selon lui, le bloc de l’Est a depuis longtemps tourné le dos aux idéaux communistes et ne survit que par la coercition, de sorte que pour les peuples concernés, les identités nationales, les traditions ancestrales et les religions apparaissaient comme les seuls repères porteurs d’espoir. qui estime déjà dans les années 1970 que l’étouffement du « Printemps de Prague » et donc du « socialisme à visage humain » prive le bloc de l’Est de sa dernière « alternative d’avenir », rendant inéluctable son effondrement. Le bloc de l'est se définit par opposition au bloc de l'ouest.

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Ethnie

Groupes ethnolinguistiques de l'Afghanistan (CIA, 1997). Une ethnie ou un groupe ethnique est une population humaine ayant en commun tout ou partie d'une origine ou d'une ascendance, d'une histoire, d'une mythologie, d'une culture, d'une langue ou d'un dialecte, d'un mode de vie… L'appartenance à une ethnie ou ethnicité est ainsi liée à un patrimoine culturel commun, que ce soit la tradition, les coutumes, le rôle social, l'origine géographique, l'idéologie, la philosophie, la religion, la cuisine, l'habillement, la musique… Revendiquée par la population concernée elle-même, cette appartenance est alors une définition endogène; émise par des personnes extérieures à cette population, c'est alors une définition.

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Génocide

Un génocide, dans son acception la plus répandue aujourd'hui dans la communauté académique, est un crime consistant en l'élimination concrète intentionnelle, totale ou partielle, d'un groupe national, ethnique ou encore religieux, en tant que tel, ce qui veut dire que des membres du groupe sont tués, brisés mentalement et physiquement, ou rendus incapables de procréer, en vue de rendre difficile ou impossible la vie du groupe ainsi réduit.

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Nation

Gravure britannique représentant deux allégories des nations française et anglaise, en lutte contre une allégorie de l'Empire allemand, lequel est incarné par un aigle. Francis Ernest Jackson, ''Défense contre l'agression'', 1917. Le sens moderne de nation est assez proche de celui de peuple, mais ajoute souvent l'idée d'État (souhaité, autonome ou indépendant).

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Organisation des Nations unies

LOrganisation des Nations unies (ONU) est une organisation internationale regroupant 193 États membres depuis le.

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Pacte international relatif aux droits civils et politiques

Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) a été adopté à New York le par l'Assemblée générale des Nations unies dans sa résolution 2200 A (XXI).

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Pologne

La Pologne, en forme longue république de Pologne (Rzeczpospolita Polska), est un État d'Europe centrale, frontalier avec l'Allemagne à l'ouest, la Tchéquie au sud-ouest, la Slovaquie au sud, l'Ukraine à l'est-sud-est et la Biélorussie à l'est-nord-est, et enfin l'enclave russe de Kaliningrad et la Lituanie au nord-est.

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Race

Chez les animaux domestiques, la race est un rang taxinomique informel, inférieur à l'espèce.

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Religion

Liste de symboles religieux. Le terme « religion » peut être défini de plusieurs manières, les trois suivantes semblent montrer un certain consensus dans les dictionnaires.

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La liste ci-dessus répond aux questions suivantes

Comparaison entre Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide et Droits de l'homme

Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide a 32 relations, tout en Droits de l'homme a 374. Comme ils ont en commun 11, l'indice de Jaccard est 2.71% = 11 / (32 + 374).

Références

Cet article montre la relation entre Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide et Droits de l'homme. Pour accéder à chaque article à partir de laquelle l'information a été extraite, s'il vous plaît visitez:

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