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Démocratie populaire et Gauche (politique)

Raccourcis: Différences, Similitudes, Jaccard similarité Coefficient, Références.

Différence entre Démocratie populaire et Gauche (politique)

Démocratie populaire vs. Gauche (politique)

« Démocratie populaire » est un terme issu du lexique politique communiste pour distinguer les États communistes des démocraties libérales, que les communistes désignent plutôt sous le terme de « républiques bourgeoises » ou de « pays capitalistes ». En politique, l'usage consiste à diviser les partis politiques en catégories générales qui formalisent une division bipartisane.

Similitudes entre Démocratie populaire et Gauche (politique)

Démocratie populaire et Gauche (politique) ont 43 choses en commun (em Unionpédia): Antifascisme, Armée rouge, Asie du Sud-Est, Autogestion, État communiste, Bloc de l'Est, Bolcheviks, Capitalisme, Chine, Chute des régimes communistes en Europe, Communisme, Corée du Nord, Cuba, Démocratie libérale, Dictature, Dictature du prolétariat, Guerre froide, Hugo Chávez, Joseph Staline, Josip Broz Tito, Laos, Léon Trotski, Le Siècle des communismes, Lutte des classes, Marxisme, Marxisme-léninisme, Nomenklatura, Parti unique, Politique, Régime politique, ..., République démocratique allemande, République fédérative socialiste de Yougoslavie, République populaire de Hongrie, République populaire de Pologne, République socialiste de Roumanie, République socialiste tchécoslovaque, Rupture Tito-Staline, Seconde Guerre mondiale, Socialisme, Stalinisme, Venezuela, Viêt Nam, Vladimir Ilitch Lénine. Développer l'indice (13 plus) »

Antifascisme

L'antifascisme est l'opposition organisée au fascisme et, plus largement, à l'ensemble de l'extrême droiteSerge Cosseron, Dictionnaire de l'extrême gauche, Paris, Larousse, 2007,.

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Armée rouge

LArmée rouge (en Красная армия, ou plus exactement Рабоче-крестьянская Красная армия, Rabotche-krestianskaïa Krasnaïa armia, « l'Armée rouge des ouvriers et paysans ») était l'armée mise sur pied dans l'ancien Empire russe par le nouveau pouvoir bolchévique, à la suite de la révolution d'Octobre, afin de combattre la contre-révolution des Armées blanches soutenues par les puissances étrangères (France, Royaume-Uni, Tchécoslovaquie, États-Unis, empire du Japon).

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Asie du Sud-Est

Localisation de l'Asie du Sud-Est. L'Asie du Sud-Est ou Sud-Est asiatique est une région d'Asie qui se situe à l'est de l'Inde et au sud de la Chine.

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Autogestion

Oberbaum (immeuble Narva), à Berlin (2014). L’autogestion (du grec autos, « soi-même », et « gestion ») est le fait, pour une structure ou un groupe d’individus, de confier la prise des décisions à l’ensemble de ses membres.

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État communiste

Les Alliés occidentaux (en bleu) et communiste (en rouge) en septembre 1945. Les États communistes en 2021: la Chine, la Corée du Nord, Cuba, le Laos et le Viêt Nam.Ces pays se sont progressivement éloignés du collectivisme dans le domaine économique au profit de diverses formes d'économie de marché, mais gardent le système autoritaire du parti unique générant une idéologie d'État obligatoire, sous des appellations qui leur sont propres. Les États communistes entre 1979 et 1983. Les dénominations d’État communiste.

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Bloc de l'Est

L’expression bloc de l’Est désigne l’ensemble des régimes communistes instaurés après la Seconde Guerre mondiale dans les pays d’Europe placés sous le contrôle plus ou moins direct de l’Union soviétique et situés à l’Est du Rideau de fer. D’autres désignations sont aussi utilisées, les plus courantes étant pays de l’Est, mais aussi bloc soviétique, bloc communiste ou camp socialiste. Pour leur part, les emploient l’expression « démocraties populaires » visant à accréditer l’idée que ces régimes permettent aux peuples de mieux exprimer leur souveraineté que les régimes parlementaires d’Europe occidentale. Les Occidentaux les qualifient de manière péjorative de « pays satellites de l'URSS ». Les pays d’Europe ayant appartenu au bloc de l’Est sont l’Albanie, l'Allemagne de l'Est (ou RDA), la Bulgarie, la Hongrie, la Pologne, la Roumanie, la Tchécoslovaquie et brièvement la Yougoslavie. La notion de « bloc » est cependant toute relative. Ainsi, la Yougoslavie de Tito reste, après la rupture de 1948, à l’écart de la tutelle soviétique, joue un rôle majeur au sein du mouvement des non-alignés et met en œuvre une politique d'ouverture avec l'Europe de l'Ouest. Les relations de l’Albanie avec l’URSS se dégradent également en 1961. La Roumanie, dans une moindre mesure, acquiert également durant les années 1960 une certaine autonomie vis-à-vis de l’URSS, tout en restant oligarchique et dogmatique en politique intérieure. Entre 1945 et 1948, le prend le pouvoir dans tous ces pays, devient parti unique en éliminant ou en absorbant les autres partis, et met en place un régime se réclamant du socialisme, calqué sur celui de l’Union soviétique. Pendant les quarante années qui suivent, ces pays connaissent un réel développement économique, mais surtout dans les domaines de l’industrie lourde, de l’armement et de la conquête spatiale. En revanche, l’agriculture, les industries de transformation et les services connaissent de graves difficultés, de sorte que le niveau de vie de la majorité des citoyens qui n'appartiennent pas à la nomenklatura reste très inférieur à celui de l’Ouest. Ces difficultés économiques, conjuguées avec les restrictions des libertés, entraînent de violentes crises en RDA en 1953, en Pologne et en Hongrie en 1956. Khrouchtchev assouplit sensiblement le régime stalinien et introduit des réformes qui améliorent les conditions de vie de la population, mais n'apportent pas sur le long terme de solution durable aux problèmes économiques et sociaux. Les succès spatiaux et sportifs, largement exploités par la propagande, ne parviennent pas à cacher les échecs. Brejnev impose le maintien de « l'unité » du bloc de l'Est au prix si nécessaire d'une intervention militaire pour mettre fin en 1968 au Printemps de Prague, tentative des dirigeants communistes tchécoslovaques d'instaurer un socialisme à visage humain. L’effondrement du bloc de l’Est et de l’URSS se produit sur une période très courte, entre 1989 et 1991, le plus souvent de manière pacifique. Il prend par surprise les Occidentaux malgré les voix dissidentes qui s'élèvent à l'Est comme celle d'Andreï AmalrikDans ses ouvrages Le Procès des quatre (« Процесс четырёх») coécrit avec Pavel Litvinov et L’Union soviétique survivra-t-elle en 1984 ?, Amalrik dénonce une nomenklatura (terme popularisé par son contemporain Mikhaïl Voslenski) profitant indument d’avantages dont le peuple est privé, une armée et une police politique hypertrophiées, improductives et coûteuses, une bureaucratie figée, une classe moyenne trop peu développée et les faiblesses de la compétition avec l’Ouest: selon lui, le bloc de l’Est a depuis longtemps tourné le dos aux idéaux communistes et ne survit que par la coercition, de sorte que pour les peuples concernés, les identités nationales, les traditions ancestrales et les religions apparaissaient comme les seuls repères porteurs d’espoir. qui estime déjà dans les années 1970 que l’étouffement du « Printemps de Prague » et donc du « socialisme à visage humain » prive le bloc de l’Est de sa dernière « alternative d’avenir », rendant inéluctable son effondrement. Le bloc de l'est se définit par opposition au bloc de l'ouest.

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Bolcheviks

Les bolcheviks, bolchéviks, bolcheviques, ou bolchéviques (du russe: большевик, « majoritaire ») sont les membres d'une des deux factions du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), l'autre étant composée des mencheviks.

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Capitalisme

La machine à vapeur, exemple-type de la nécessaire concentration des capitaux. Le capitalisme est un système économique caractérisé par la propriété privée des moyens de production et la liberté de concurrence.

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Chine

La Chine (en chinois), en forme longue la république populaire de Chine (RPC), également appelée Chine populaire et Chine communiste, est un pays d'Asie de l'Est.

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Chute des régimes communistes en Europe

La chute des régimes communistes en Europe est l'effondrement entre 1988 et 1991, dans les sept pays de l'Europe centrale et orientale, des régimes communistes que Joseph Staline avait installés dans les années 1944 à 1949, officiellement afin de « se constituer un glacier protecteur » à la frontière occidentale de l'URSS, censée être « menacée par l'impérialisme capitaliste ».

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Communisme

Karl Marx, théoricien du communisme. Vladimir Ilitch Lénine, fondateur de l'URSS. XX. marxiste argentin, une figure de la révolution cubaine. Manifestation du Parti de la refondation communiste italien en 2007. Le communisme (du latin communis – commun, universel) est initialement un ensemble de doctrines politiques, issues du socialisme et, pour la plupart, du marxisme, s'opposant au capitalisme et visant à l'instauration d'une société sans classes sociales, sans salariat, et la mise en place d'une totale socialisation économique et démocratique des moyens de production.

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Corée du Nord

La Corée du Nord (en 조선; hanja:; MR: ou; hanja:; MR), nom usuel de la forme officielle république populaire démocratique de Corée (RPDC;; RR:; MR), est un État qui couvre la partie nord de la péninsule coréenne située en Asie de l'Est.

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Cuba

Cuba, en forme longue la république de Cuba (en República de Cuba), est un État insulaire des Caraïbes formé de l'île de Cuba (la plus grande île des Antilles), de l'île de la Jeunesse (appelée île aux Pins jusqu'en 1978) et de cayes et îlotsLes cayes sont de petites îles, ou îlots, d’élévation faible, faite de sable ou de corail.

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Démocratie libérale

Le défilé pour le suffrage féminin en 1913, officiellement appelé « Woman suffrage procession » ou « Woman suffrage parade » en anglais. La démocratie libérale, parfois appelée démocratie occidentale, est une idéologie politique et une forme de gouvernement dans laquelle la démocratie représentative fonctionne selon les principes du libéralisme, à savoir la protection des libertés de l'individu.

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Dictature

Une dictature est un régime politique dans lequel une personne ou un groupe de personnes exercent tous les pouvoirs de façon absolue, sans qu'aucune loi ou institution ne les limitent; il faut préciser que même un régime autoritaire peut avoir des lois, des institutions, voire un parlement avec des députés élus, mais pas librement et ne représentant donc pas des contre-pouvoirs.

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Dictature du prolétariat

La dictature du prolétariat est un concept central du marxisme désignant une phase transitoire de la société entre le capitalisme et le communisme.

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Guerre froide

La guerre froide (en anglais Cold War; en russe Холодная война, Kholodnaïa voïna) est le nom donné à la période de fortes tensions géopolitiques durant la seconde moitié du entre, d'une part, les États-Unis et leurs alliés constitutifs du bloc de l'Ouest et, d'autre part, l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et ses États satellites formant le bloc de l'Est.

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Hugo Chávez

Hugo Rafael Chávez Frías dit Hugo Chávez Prononciation en français de France retranscrite selon la norme API.

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Joseph Staline

Joseph Staline, né le Officiellement le. Quoiqu'il y ait des informations contradictoires dans les sources au sujet de la date de naissance de Staline, le registre des naissances de l'église Ouspensky à Gori mentionne la naissance de Iossif Djougachvili le (selon le calendrier julien alors en vigueur). Cette date est également mentionnée sur son diplôme scolaire, sa fiche signalétique de la police tsariste, un procès-verbal d'une arrestation datée du où il affirme avoir, ainsi que dans tous les documents pré-révolutionnaires existants. Staline lui-même mentionne le dans un curriculum vitæ rédigé de sa main en 1921. Cependant, à partir de 1922, cette date de naissance est changée pour le (en calendrier julien), date à laquelle sera fêté son anniversaire en Union soviétique. Le dramaturge Edvard Radzinsky suggère que ce changement fut opéré afin que la célébration du de Staline puisse se dérouler à travers tout le pays, et qu'en 1928 son pouvoir n'était pas encore suffisamment assis pour ce faire. Dans son ouvrage Staline (éd. Fayard, 2001), l'historien Jean-Jacques Marie montre en revanche qu'il avait déjà modifié sa date de naissance bien avant 1914. à Gori (Empire russe, actuelle Géorgie) et mort le à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il dirige l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des jusqu'à sa mort en établissant un régime de dictature personnelle absolue de type totalitaire. Les historiens le jugent responsable, à des degrés divers, de la mort de trois à plus de de personnes. Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, il est surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance. Il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en. Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe, qui signifie « acier ». Acteur marginal de la révolution d'Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tchéka, et devenant, en, secrétaire général du Comité central du Parti communiste. Après la mort de Lénine en, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes. S'appuyant sur la bureaucratisation croissante du régime et la toute-puissance de l’appareil policier, la Guépéou puis le NKVD, il impose progressivement un pouvoir personnel absolu et transforme l'URSS en un État totalitaire. Le culte de la personnalité construit autour de sa personne, le secret systématiquement entretenu autour de ses faits et gestes, le travestissement de la réalité par le recours incessant à la propagande, la falsification du passé, la dénonciation délirante de complots, de saboteurs et de traîtres, l’organisation de procès truqués, la liquidation physique d’adversaires politiques ou de personnalités tombées en disgrâce sont des caractéristiques permanentes de son régime. Il procède à la collectivisation intégrale des terres, décrétant la « liquidation des koulaks en tant que classe », et industrialise l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux aux objectifs irréalistes et au prix d'un coût humain et social exorbitant. Son long règne est marqué par un régime de terreur et de délation paroxystiques et par la mise à mort ou l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes, notamment au cours de la « collectivisation » des campagnes et des Grandes Purges de 1937. Il pratique aussi bien des déplacements de population massifs, dont la déportation intégrale d'une quinzaine de minorités nationales, que la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947, après les avoir en partie provoquées par une politique impitoyable de réquisitions forcées de produits agricoles dans les campagnes dont le blocus organisé empêche la fuite des populations rurales affamées et les prive de tout secours. Dans un contexte international de plus en plus tendu par la montée en puissance de l'Allemagne hitlérienne, Staline engage l'Union soviétique dans des négociations avec le régime nazi qui aboutissent, en, à la signature du pacte germano-soviétique, qui jusqu'en juin 1941 fait de l'URSS une alliée de l'Allemagne nazie pendant les deux premières années de la Seconde Guerre mondiale. La coopération économique entre les deux pays entreprise après la signature des est brutalement interrompue par l'invasion allemande de l'Union soviétique en, précipitant cette dernière dans la guerre aux côtés du Royaume-Uni, alors seul face à l'Allemagne nazie. La victoire militaire finale dans un conflit qui a mis l'URSS au bord du gouffre, et dont la bataille de Stalingrad est un tournant majeur, confère à Staline un prestige international retentissant et lui permet d'affirmer son emprise sur un empire s'étendant de la frontière occidentale de la RDA à l'océan Pacifique. Joseph Staline est également l'auteur de textes exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein des courants communistes liés à l'URSS, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme. Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956: la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant aucune démocratisation du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline peuvent être dénoncés en URSS dans toute leur ampleur.

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Josip Broz Tito

Josip Broz Tito (en alphabet cyrillique, Jосип Броз Тито Prononciation en serbo-croate retranscrite selon la norme API.), né Josip Broz le officiellement à Kumrovec (Autriche-Hongrie, actuelle Croatie) et mort le à Ljubljana (république socialiste de Slovénie), communément appelé « Tito » ou le maréchal Tito, est un homme d'État yougoslave.

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Laos

Le Laos, en forme longue la République démocratique populaire lao, également traduit par république démocratique populaire du Laos (en lao: trans et trans) est un pays sans accès à la mer d'Asie du Sud-est, entouré par la Birmanie (ou Myanmar) et la Chine au nord-ouest, la Thaïlande à l'ouest, le Cambodge au sud et le Viêt Nam à l'est.

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Léon Trotski

Léon Trotski (ou Trotsky, voire Trotzky ou TrotzkiAucun consensus n'existe, parmi les auteurs en général et parmi les spécialistes, sur l'orthographe française à employer. La graphie Trotski, qui est conforme à la transcription du russe la plus couramment utilisée, est employée par Hélène Carrère d'Encausse (on en trouve des exemples dans ses ouvrages Lénine, Staline l'ordre par la terreur), François Furet (Le Passé d'une illusion), Martin Malia (La Tragédie soviétique), Boris Souvarine (Staline, aperçu historique du communisme), Stéphane Courtois (Le livre noir du communisme), dans l'ouvrage collectif Le siècle des communismes et dans des dictionnaires comme l'. L'orthographe Trotsky, employée par l'intéressé lui-même dans ses textes rédigés en français, est, quant à elle, utilisée par Nicolas Werth (Histoire de l'Union soviétique), Gilles Martinet (Les Cinq communismes), Pierre Naville (Trotsky vivant), Archie Brown (The Rise and fall of communism) ou François Fejtö (Histoire des démocraties populaires). Elle figure par ailleurs sur les éditions françaises de ses ouvrages, comme Ma vie ou L'Internationale communiste après Lénine et est en outre employée par ses biographes Pierre Broué, Isaac Deutscher, Robert Service, Victor Serge et Jean-Jacques Marie. Archie Brown signale, en langue anglaise, les variantes Trotskiy ou Trotskii, cette dernière étant utilisée par des textes de la Bibliothèque du Congrès. Brown précise avoir choisi d'utiliser la forme Trotsky car celle-ci est la plus répandue en anglais (Archie Brown, The Rise and Fall of Communism, Vintage Books, 2009, 11).; en), de son vrai nom Lev Davidovitch Bronstein (en), né le à Ianovka (alors dans l'Empire russe, aujourd'hui en Ukraine) et mort assassiné le à Mexico (Mexique), est un révolutionnaire communiste et homme politique russe, puis soviétique.

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Le Siècle des communismes

Le Siècle des communismes est un ouvrage publié en aux Éditions de l'Atelier, sous la direction de sept chercheurs: Michel Dreyfus (directeur de recherche au CNRS), Bruno Groppo (chargé de recherche au CNRS), Claudio Sergio Ingerflom (directeur de recherche au CNRS), Roland Lew (professeur de sciences politiques à l'Université libre de Bruxelles), Claude Pennetier (chercheur au CNRS), Bernard Pudal (professeur de sciences politiques à l'Université de Montpellier I) et Serge Wolikow (professeur à l'Université de Dijon).

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Lutte des classes

La lutte des classes est une expression qui désigne les tensions dans une société hiérarchisée et divisée en classes sociales, chacune luttant pour sa situation sociale et économique, et un modèle théorique qui explique les enjeux de cet affrontement.

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Marxisme

Karl Marx et Friedrich Engels. Le marxisme est un courant de pensée politique, sociologique, philosophique, historique, anthropologique et économique fondé sur les idées de Karl Marx (et dans une moindre mesure de Friedrich Engels) et de ses continuateurs.

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Marxisme-léninisme

Staline lors d'un défilé en République démocratique allemande, en 1953. Le marxisme-léninisme revendique une filiation directe entre la pensée de Marx et l'apport de Lénine à la théorie révolutionnaire communiste.

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Nomenklatura

La nomenklatura (en номенклату́ра) est un terme russe, passé dans les langues des autres pays communistes (nomenklatura, nomenclatura), pour désigner l'élite du Parti communiste de l'Union soviétique et de ses satellites du bloc communiste, les hauts gradés de l'armée, les troupes d'élite, les membres des polices politiques, les dirigeants de la bureaucratie, les directeurs d'usines, de kolkhozes et d'institutions, les apparatchiks les plus influents et, bien sûr, les responsables de l'État et des ministères.

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Parti unique

Un parti unique est un parti politique ayant, généralement sur le plan légal voire constitutionnel, le monopole de l'activité politique au sein d'un État.

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Politique

Notion polysémique, la politique recouvre.

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Régime politique

Le régime politique ou la forme de gouvernement désigne l’organisation des pouvoirs et leur exercice au sein d’une entité politique donnée.

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République démocratique allemande

La République démocratique allemande (RDA); en Deutsche Demokratische Republik ou DDR, parfois traduit par République démocratique d'Allemagne), communément appelée Allemagne de l'Est, est un ancien État communiste européen créé le par le Parti socialiste unifié d'Allemagne, allié de l’URSS. Le territoire de la RDA correspond à la zone occupée par l'Armée rouge. Cet événement intervient après la fondation de la République fédérale d’Allemagne précédée par la trizone des puissances occupantes occidentales. Berlin-Est, le secteur soviétique de la ville, était la capitale de la RDA. La RDA faisait partie des dictatures qui se revendiquaient comme des, politiquement affiliées à l'URSS au sein du bloc de l'Est. À partir du, l'enclave occidentale de Berlin-Ouest est séparée de Berlin-Est et du reste de la RDA par le mur de Berlin, qui devient l'un des symboles du. Le but étant d'empêcher la fuite vers l'ouest des citoyens est-allemands voulant échapper à la dictature. L'effondrement du bloc de l'Est entraîne la disparition de la RDA, qui est absorbée par la RFA le, près de après sa fondation. Cela scelle le processus de réunification, formant ainsi l'Allemagne unifiée actuelle. L’idéologie officielle de l’État était le marxisme-léninisme. Dans la recherche historique contemporaine, le système de gouvernement en RDA est parfois décrit soit comme relevant du « socialisme réel », soit comme communiste. Les dirigeants du pays le considéraient comme un « État socialiste des ouvriers et des paysans » et un État de paix, affirmant que la RDA prenait racine dans la guerre et la lutte contre le fascisme. L'antifascisme était devenu une doctrine d’État en RDA.

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République fédérative socialiste de Yougoslavie

La république fédérative socialiste de Yougoslavie (plutôt que république fédérale socialiste de Yougoslavie) ou RFSY, ou encore RFS de Yougoslavie, est le deuxième et dernier nom officiel employé par la Yougoslavie durant la période allant de 1945 à 1992, alors que le pays était dominé par la Ligue des communistes de Yougoslavie et, jusqu'à sa mort en 1980, par la personne du maréchal Tito (d'abord chef du gouvernement, puis chef de l'État, et enfin président à vie).

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République populaire de Hongrie

La république populaire de Hongrie (également traduit par République populaire hongroise ou République démocratique hongroise) était le nom officiel de la Hongrie de 1949 à 1989, lorsqu'elle faisait partie des membres de la sphère d'influence de l'Union soviétique désignée sous le nom de bloc de l'Est.

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République populaire de Pologne

La république populaire de Pologne (polonais: Polska Rzeczpospolita Ludowa, PRL) est le nom officiel de la Pologne de 1952 à 1989, période durant laquelle le pays est gouverné par un régime se réclamant du marxisme-léninisme, dominé par le Parti ouvrier unifié polonais.

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République socialiste de Roumanie

La république socialiste de Roumanie (ou RSR) est la troisième et dernière forme constitutionnelle, du au, du régime communiste de Roumanie dirigé par le Parti communiste roumain du au.

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République socialiste tchécoslovaque

La République socialiste tchécoslovaque était le nom officiel adopté par la Tchécoslovaquie durant la période où le pays était gouverné par un régime autoritaire d'inspiration marxiste-léniniste dirigé par le Parti communiste tchécoslovaque (en abrégé KSČ).

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Rupture Tito-Staline

La rupture Tito-Staline, dite également schisme yougoslave, désigne la rupture politique, en 1948, entre l'Union des républiques socialistes soviétiques dirigée par Joseph Staline, et la république fédérative socialiste de Yougoslavie, dirigée par le maréchal Tito.

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Seconde Guerre mondiale

La Seconde Guerre mondiale, ou Deuxième Guerre mondiale, est un conflit armé à l'échelle planétaire qui dure du au.

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Socialisme

Le drapeau rouge est le principal symbole du socialisme et du communisme à leur commencement. Le concept de socialisme recouvre un ensemble très divers de courants de pensée et de mouvements politiquesGuy Hermet, Bertrand Badie, Pierre Birnbaum, Philippe Braud, Dictionnaire de la science politique et des institutions politiques, Armand Colin, 2010, page 283.

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Stalinisme

propagande de Joseph Staline, par Isaak Brodsky. réaliste socialiste » (œuvres collectives anonymes, murales) à l'époque stalinienne: en haut ''Sous la bannière de Marx, Engels, Lénine et Staline'' (1933), au milieu ''Longue vie au camarade Staline'' (1949) et en bas ''Ouvriers à leur devoir'' (autour de 1950). Le mot stalinisme désigne l’idéologie et la pratique politique des ayant adopté la ligne politique définie par les partisans de Joseph Staline, secrétaire général du Parti communiste de l'Union soviétique.

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Venezuela

Le Venezuela ou Vénézuéla (Prononciation en français de France standardisé retranscrite phonémiquement selon la norme API.; en espagnol: Prononciation en espagnol d'Amérique retranscrite selon la norme API.), en forme longue la république bolivarienne du Venezuela, en espagnol República Bolivariana de Venezuela, nom officiel en l'honneur de Simón Bolívar, est une république fédérale située dans la partie la plus septentrionale de l'Amérique du Sud, bordé au nord par la mer des Caraïbes, à l'est-sud-est par le Guyana, au sud par le Brésil, au sud-ouest et à l'ouest par la Colombie.

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Viêt Nam

Le Viêt Nam, Viet Nam, Vietnam ou Viêtnam, en forme longue la république socialiste du Viêt Nam (et) est un pays d'Asie du Sud-Est, situé à l'est de la péninsule indochinoise.

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Vladimir Ilitch Lénine

Vladimir Ilitch Oulianov (en Влади́мир Ильи́ч Улья́нов Prononciation en russe retranscrite selon la norme API.), dit Lénine (Ленин), est un révolutionnaire communiste, théoricien politique et homme d'État russe, né le à Simbirsk (aujourd'hui Oulianovsk) et mort le à Vichnie Gorki (aujourd'hui Gorki Leninskie).

Démocratie populaire et Vladimir Ilitch Lénine · Gauche (politique) et Vladimir Ilitch Lénine · Voir plus »

La liste ci-dessus répond aux questions suivantes

Comparaison entre Démocratie populaire et Gauche (politique)

Démocratie populaire a 124 relations, tout en Gauche (politique) a 619. Comme ils ont en commun 43, l'indice de Jaccard est 5.79% = 43 / (124 + 619).

Références

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