Logo
Unionpédia
Communication
Disponible sur Google Play
Nouveau! Téléchargez Unionpédia sur votre appareil Android™!
Installer
Accès plus rapide que le navigateur!
 

Parti communiste français et Révolution hongroise de 1956

Raccourcis: Différences, Similitudes, Jaccard similarité Coefficient, Références.

Différence entre Parti communiste français et Révolution hongroise de 1956

Parti communiste français vs. Révolution hongroise de 1956

Le Parti communiste français (PCF) est un parti politique français fondé en 1920. Linsurrection de Budapest ou révolution de 1956 (en hongrois 1956-os forradalom) est la révolte populaire spontanée contre le régime communiste hongrois et ses politiques imposées par l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) qui dura du au.

Similitudes entre Parti communiste français et Révolution hongroise de 1956

Parti communiste français et Révolution hongroise de 1956 ont 13 choses en commun (em Unionpédia): Années 1980, Étoile rouge (symbole), Capitalisme, Déstalinisation, Guerre froide, Jean-Paul Sartre, Joseph Staline, KGB, Kominform, Nationalisation, Parti communiste italien, Politburo du Parti communiste de l'Union soviétique, Union des républiques socialistes soviétiques.

Années 1980

Avênement de l'ordinateur personnel avec l'IBM PC 5150. Légende/Fin Les années 1980 couvrent la période du au.

Années 1980 et Parti communiste français · Années 1980 et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

Étoile rouge (symbole)

Étendard de la première division de l'Armée rouge du Caucase, 1921, au musée historique de Maïkop. L'étoile rouge à cinq branches (un pentagramme sans le pentagone central) (★) est un symbole utilisé dans les domaines commercial, religieux, sportif, militaire et politique, notamment dans les États communistes se réclamant du socialisme, mais aussi dans l'US Air Force (US Army Signal Corps) durant l'expédition punitive contre Pancho Villa (avant la création de l'URSS), dans la symbolique des États islamiques (le plus souvent en association avec le croissant) et dans beaucoup de drapeaux de pays, de régions ou de villes non-communistes.

Étoile rouge (symbole) et Parti communiste français · Étoile rouge (symbole) et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

Capitalisme

La machine à vapeur, exemple-type de la nécessaire concentration des capitaux. Le capitalisme est un système économique caractérisé par la propriété privée des moyens de production et la liberté de concurrence.

Capitalisme et Parti communiste français · Capitalisme et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

Déstalinisation

Staline abattue lors de l'insurrection de Budapest, en 1956, conservées aujourd'hui à Memento Park. La déstalinisation en Union soviétique commence aussitôt après la mort de Joseph Staline le.

Déstalinisation et Parti communiste français · Déstalinisation et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

Guerre froide

La guerre froide (en anglais Cold War; en russe Холодная война, Kholodnaïa voïna) est le nom donné à la période de fortes tensions géopolitiques durant la seconde moitié du entre, d'une part, les États-Unis et leurs alliés constitutifs du bloc de l'Ouest et, d'autre part, l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et ses États satellites formant le bloc de l'Est.

Guerre froide et Parti communiste français · Guerre froide et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

Jean-Paul Sartre

Jean-Paul Sartre est un philosophe et écrivain français, né le dans le arrondissement de Paris et mort le dans le arrondissement.

Jean-Paul Sartre et Parti communiste français · Jean-Paul Sartre et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

Joseph Staline

Joseph Staline, né le Officiellement le. Quoiqu'il y ait des informations contradictoires dans les sources au sujet de la date de naissance de Staline, le registre des naissances de l'église Ouspensky à Gori mentionne la naissance de Iossif Djougachvili le (selon le calendrier julien alors en vigueur). Cette date est également mentionnée sur son diplôme scolaire, sa fiche signalétique de la police tsariste, un procès-verbal d'une arrestation datée du où il affirme avoir, ainsi que dans tous les documents pré-révolutionnaires existants. Staline lui-même mentionne le dans un curriculum vitæ rédigé de sa main en 1921. Cependant, à partir de 1922, cette date de naissance est changée pour le (en calendrier julien), date à laquelle sera fêté son anniversaire en Union soviétique. Le dramaturge Edvard Radzinsky suggère que ce changement fut opéré afin que la célébration du de Staline puisse se dérouler à travers tout le pays, et qu'en 1928 son pouvoir n'était pas encore suffisamment assis pour ce faire. Dans son ouvrage Staline (éd. Fayard, 2001), l'historien Jean-Jacques Marie montre en revanche qu'il avait déjà modifié sa date de naissance bien avant 1914. à Gori (Empire russe, actuelle Géorgie) et mort le à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il dirige l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des jusqu'à sa mort en établissant un régime de dictature personnelle absolue de type totalitaire. Les historiens le jugent responsable, à des degrés divers, de la mort de trois à plus de de personnes. Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, il est surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance. Il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en. Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe, qui signifie « acier ». Acteur marginal de la révolution d'Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tchéka, et devenant, en, secrétaire général du Comité central du Parti communiste. Après la mort de Lénine en, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes. S'appuyant sur la bureaucratisation croissante du régime et la toute-puissance de l’appareil policier, la Guépéou puis le NKVD, il impose progressivement un pouvoir personnel absolu et transforme l'URSS en un État totalitaire. Le culte de la personnalité construit autour de sa personne, le secret systématiquement entretenu autour de ses faits et gestes, le travestissement de la réalité par le recours incessant à la propagande, la falsification du passé, la dénonciation délirante de complots, de saboteurs et de traîtres, l’organisation de procès truqués, la liquidation physique d’adversaires politiques ou de personnalités tombées en disgrâce sont des caractéristiques permanentes de son régime. Il procède à la collectivisation intégrale des terres, décrétant la « liquidation des koulaks en tant que classe », et industrialise l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux aux objectifs irréalistes et au prix d'un coût humain et social exorbitant. Son long règne est marqué par un régime de terreur et de délation paroxystiques et par la mise à mort ou l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes, notamment au cours de la « collectivisation » des campagnes et des Grandes Purges de 1937. Il pratique aussi bien des déplacements de population massifs, dont la déportation intégrale d'une quinzaine de minorités nationales, que la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947, après les avoir en partie provoquées par une politique impitoyable de réquisitions forcées de produits agricoles dans les campagnes dont le blocus organisé empêche la fuite des populations rurales affamées et les prive de tout secours. Dans un contexte international de plus en plus tendu par la montée en puissance de l'Allemagne hitlérienne, Staline engage l'Union soviétique dans des négociations avec le régime nazi qui aboutissent, en, à la signature du pacte germano-soviétique, qui jusqu'en juin 1941 fait de l'URSS une alliée de l'Allemagne nazie pendant les deux premières années de la Seconde Guerre mondiale. La coopération économique entre les deux pays entreprise après la signature des est brutalement interrompue par l'invasion allemande de l'Union soviétique en, précipitant cette dernière dans la guerre aux côtés du Royaume-Uni, alors seul face à l'Allemagne nazie. La victoire militaire finale dans un conflit qui a mis l'URSS au bord du gouffre, et dont la bataille de Stalingrad est un tournant majeur, confère à Staline un prestige international retentissant et lui permet d'affirmer son emprise sur un empire s'étendant de la frontière occidentale de la RDA à l'océan Pacifique. Joseph Staline est également l'auteur de textes exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein des courants communistes liés à l'URSS, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme. Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956: la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant aucune démocratisation du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline peuvent être dénoncés en URSS dans toute leur ampleur.

Joseph Staline et Parti communiste français · Joseph Staline et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

KGB

Le KGB (Komitet gossoudarstvennoï bezopasnosti, en alphabet cyrillique: КГБ, Комитет государственной безопасности), c'est-à-dire Comité pour la sécurité de l'État, est le principal service de renseignement de l'URSS post-stalinienne, où il avait notamment la fonction de police politique.

KGB et Parti communiste français · KGB et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

Kominform

Le Kominform est l'organisation centralisée du mouvement communiste international dans la période de 1947 à 1956.

Kominform et Parti communiste français · Kominform et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

Nationalisation

Une nationalisation est le transfert d'une propriété privée à une nation, c'est-à-dire à la propriété collective.

Nationalisation et Parti communiste français · Nationalisation et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

Parti communiste italien

Le Parti communiste italien (en italien: Partito Comunista Italiano ou PCI) était un parti politique italien, issu d'une scission de l'aile gauche du Parti socialiste italien au congrès de Livourne le.

Parti communiste français et Parti communiste italien · Parti communiste italien et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

Politburo du Parti communiste de l'Union soviétique

Le Politburo (en Политбюро, contraction de Политическое бюро, « bureau politique »), en forme longue Politburo du Comité central du Parti communiste de l'Union soviétique (abréviation russe: Политбюро ЦК КПСС, Politbyuro TsK KPSS) était le premier conseil (organe suprême) du Comité central du Parti communiste de l'Union soviétique (PCUS) qui définissait sa ligne directrice, et déterminait les politiques suivies par l'URSS.

Parti communiste français et Politburo du Parti communiste de l'Union soviétique · Politburo du Parti communiste de l'Union soviétique et Révolution hongroise de 1956 · Voir plus »

Union des républiques socialistes soviétiques

L'Union des républiques socialistes soviétiques, abrégé en URSS« URSS » présente la particularité de couramment s'écrire et se prononcer comme un sigle simple, chaque lettre prononcée séparément: U-R-S-S, mais aussi de couramment s'écrire et se prononcer comme un acronyme: « l'URSS » (le mot et son article sont alors prononcés comme le mot inventé « lurce », phonétique). ou Union soviétique (en russe, СССР; transcription: Soïouz Sovietskikh Sotsialistitcheskikh Riespoublik, SSSR; « Union des républiques socialistes des conseils »), était un État fédéral transcontinental à régime communiste.

Parti communiste français et Union des républiques socialistes soviétiques · Révolution hongroise de 1956 et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

La liste ci-dessus répond aux questions suivantes

Comparaison entre Parti communiste français et Révolution hongroise de 1956

Parti communiste français a 637 relations, tout en Révolution hongroise de 1956 a 237. Comme ils ont en commun 13, l'indice de Jaccard est 1.49% = 13 / (637 + 237).

Références

Cet article montre la relation entre Parti communiste français et Révolution hongroise de 1956. Pour accéder à chaque article à partir de laquelle l'information a été extraite, s'il vous plaît visitez:

Hey! Nous sommes sur Facebook maintenant! »