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Marxisme et Socialisme ou barbarie

Raccourcis: Différences, Similitudes, Jaccard similarité Coefficient, Références.

Différence entre Marxisme et Socialisme ou barbarie

Marxisme vs. Socialisme ou barbarie

Karl Marx et Friedrich Engels. Le marxisme est un courant de pensée politique, sociologique, philosophique, historique, anthropologique et économique fondé sur les idées de Karl Marx (et dans une moindre mesure de Friedrich Engels) et de ses continuateurs. Socialisme ou barbarie est une revue politique publiée de à par l'organisation française Socialisme ou Barbarie.

Similitudes entre Marxisme et Socialisme ou barbarie

Marxisme et Socialisme ou barbarie ont 49 choses en commun (em Unionpédia): Anton Pannekoek, État, État communiste, Bloc de l'Est, Capital, Capitalisme, Classe sociale, Claude Lefort, Communisme, Conseillisme, Cornelius Castoriadis, Daniel Guérin, Démocratie, Démocratie directe, Extrême gauche, François Châtelet (philosophe), Friedrich Engels, Gauche (politique), Guy Debord, Histoire, Internationale situationniste, Jean-François Lyotard, Joseph Staline, Karl Marx, Léninisme, Lutte des classes, Luxemburgisme, Manifeste du parti communiste, Maoïsme, Marxisme-léninisme, ..., Modernité, Nation, Ouvrier, Parti communiste de l'Union soviétique, Philosophie, Politique, Productivité, Prolétariat, Révolution, Rosa Luxemburg, Salariat, Seconde Guerre mondiale, Socialisme, Société (sciences sociales), Sociologie, Totalitarisme, Travail, Trotskisme, Union des républiques socialistes soviétiques. Développer l'indice (19 plus) »

Anton Pannekoek

Anton Pannekoek, né le à Vaassen (Pays-Bas) et mort le à Wageningue, est un astronome, astrophysicien et militant marxiste néerlandais.

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État

unité politique d’un peuple qui le double et peut survivre aux allées et venues non seulement des gouvernements mais aussi des formes de gouvernement. L'État désigne tantôt un mode d’organisation politique centralisée, tantôt les institutions de cette organisation qui imposent et font respecter les règles.

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État communiste

Les Alliés occidentaux (en bleu) et communiste (en rouge) en septembre 1945. Les États communistes en 2021: la Chine, la Corée du Nord, Cuba, le Laos et le Viêt Nam.Ces pays se sont progressivement éloignés du collectivisme dans le domaine économique au profit de diverses formes d'économie de marché, mais gardent le système autoritaire du parti unique générant une idéologie d'État obligatoire, sous des appellations qui leur sont propres. Les États communistes entre 1979 et 1983. Les dénominations d’État communiste.

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Bloc de l'Est

L’expression bloc de l’Est désigne l’ensemble des régimes communistes instaurés après la Seconde Guerre mondiale dans les pays d’Europe placés sous le contrôle plus ou moins direct de l’Union soviétique et situés à l’Est du Rideau de fer. D’autres désignations sont aussi utilisées, les plus courantes étant pays de l’Est, mais aussi bloc soviétique, bloc communiste ou camp socialiste. Pour leur part, les emploient l’expression « démocraties populaires » visant à accréditer l’idée que ces régimes permettent aux peuples de mieux exprimer leur souveraineté que les régimes parlementaires d’Europe occidentale. Les Occidentaux les qualifient de manière péjorative de « pays satellites de l'URSS ». Les pays d’Europe ayant appartenu au bloc de l’Est sont l’Albanie, l'Allemagne de l'Est (ou RDA), la Bulgarie, la Hongrie, la Pologne, la Roumanie, la Tchécoslovaquie et brièvement la Yougoslavie. La notion de « bloc » est cependant toute relative. Ainsi, la Yougoslavie de Tito reste, après la rupture de 1948, à l’écart de la tutelle soviétique, joue un rôle majeur au sein du mouvement des non-alignés et met en œuvre une politique d'ouverture avec l'Europe de l'Ouest. Les relations de l’Albanie avec l’URSS se dégradent également en 1961. La Roumanie, dans une moindre mesure, acquiert également durant les années 1960 une certaine autonomie vis-à-vis de l’URSS, tout en restant oligarchique et dogmatique en politique intérieure. Entre 1945 et 1948, le prend le pouvoir dans tous ces pays, devient parti unique en éliminant ou en absorbant les autres partis, et met en place un régime se réclamant du socialisme, calqué sur celui de l’Union soviétique. Pendant les quarante années qui suivent, ces pays connaissent un réel développement économique, mais surtout dans les domaines de l’industrie lourde, de l’armement et de la conquête spatiale. En revanche, l’agriculture, les industries de transformation et les services connaissent de graves difficultés, de sorte que le niveau de vie de la majorité des citoyens qui n'appartiennent pas à la nomenklatura reste très inférieur à celui de l’Ouest. Ces difficultés économiques, conjuguées avec les restrictions des libertés, entraînent de violentes crises en RDA en 1953, en Pologne et en Hongrie en 1956. Khrouchtchev assouplit sensiblement le régime stalinien et introduit des réformes qui améliorent les conditions de vie de la population, mais n'apportent pas sur le long terme de solution durable aux problèmes économiques et sociaux. Les succès spatiaux et sportifs, largement exploités par la propagande, ne parviennent pas à cacher les échecs. Brejnev impose le maintien de « l'unité » du bloc de l'Est au prix si nécessaire d'une intervention militaire pour mettre fin en 1968 au Printemps de Prague, tentative des dirigeants communistes tchécoslovaques d'instaurer un socialisme à visage humain. L’effondrement du bloc de l’Est et de l’URSS se produit sur une période très courte, entre 1989 et 1991, le plus souvent de manière pacifique. Il prend par surprise les Occidentaux malgré les voix dissidentes qui s'élèvent à l'Est comme celle d'Andreï AmalrikDans ses ouvrages Le Procès des quatre (« Процесс четырёх») coécrit avec Pavel Litvinov et L’Union soviétique survivra-t-elle en 1984 ?, Amalrik dénonce une nomenklatura (terme popularisé par son contemporain Mikhaïl Voslenski) profitant indument d’avantages dont le peuple est privé, une armée et une police politique hypertrophiées, improductives et coûteuses, une bureaucratie figée, une classe moyenne trop peu développée et les faiblesses de la compétition avec l’Ouest: selon lui, le bloc de l’Est a depuis longtemps tourné le dos aux idéaux communistes et ne survit que par la coercition, de sorte que pour les peuples concernés, les identités nationales, les traditions ancestrales et les religions apparaissaient comme les seuls repères porteurs d’espoir. qui estime déjà dans les années 1970 que l’étouffement du « Printemps de Prague » et donc du « socialisme à visage humain » prive le bloc de l’Est de sa dernière « alternative d’avenir », rendant inéluctable son effondrement. Le bloc de l'est se définit par opposition au bloc de l'ouest.

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Capital

Le capital est une somme d'investissements utilisée pour en tirer un profit, c'est-à-dire un stock de biens ou de richesses nécessaires à une production.

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Capitalisme

La machine à vapeur, exemple-type de la nécessaire concentration des capitaux. Le capitalisme est un système économique caractérisé par la propriété privée des moyens de production et la liberté de concurrence.

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Classe sociale

La notion de classe sociale désigne, dans son sens le plus large, un groupe social de grande dimension (ce qui le distingue des simples professions) pris dans une hiérarchie sociale de fait et non de droit (ce qui le distingue des ordres et des castes).

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Claude Lefort

Claude Lefort, né le à Paris et mort le dans la même ville, est un philosophe français connu pour sa réflexion sur les notions de totalitarisme et de démocratie.

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Communisme

Karl Marx, théoricien du communisme. Vladimir Ilitch Lénine, fondateur de l'URSS. XX. marxiste argentin, une figure de la révolution cubaine. Manifestation du Parti de la refondation communiste italien en 2007. Le communisme (du latin communis – commun, universel) est initialement un ensemble de doctrines politiques, issues du socialisme et, pour la plupart, du marxisme, s'opposant au capitalisme et visant à l'instauration d'une société sans classes sociales, sans salariat, et la mise en place d'une totale socialisation économique et démocratique des moyens de production.

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Conseillisme

Le conseillisme ou communisme de conseils est un courant marxiste anti-léniniste, pour qui les conseils ouvriers doivent s’organiser en pouvoir insurrectionnel et diriger démocratiquement la société: le terme marque l'opposition au « communisme de parti » et aux conceptions de Lénine pour qui seul le parti devait diriger la révolution et la société.

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Cornelius Castoriadis

Cornelius Castoriadis (en Κορνήλιος Καστοριάδης), né le à Constantinople et mort le à Paris 7e, est un philosophe, économiste et psychanalyste d'origine grecque, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie.

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Daniel Guérin

Daniel Guérin, né le dans le 17e arrondissement de Paris et mort le à Suresnes (Hauts-de-Seine), est un écrivain révolutionnaire français, anticolonialiste, militant de l'émancipation homosexuelle, théoricien du communisme libertaire, historien et critique d'art.

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Démocratie

Père-Lachaise, division 65). Le terme démocratie, du grec ancien δημοκρατία / dēmokratía, combinaison de δῆμος / ''dêmos'', « peuple » (de δαίομαι / daíomai, « distribuer, répartir »), et kratos, « le pouvoir », dérivé du verbe kratein, « commander », désigne à l'origine un régime politique dans lequel tous les citoyens participent aux décisions publiques et à la vie politique de la cité.

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Démocratie directe

La Déclaration au peuple français de 1871 émanant de la Commune de Paris, définit le projet d'organisation de la France en une fédération de communes reposant sur la démocratie directe. La démocratie directe est une forme de démocratie dans laquelle les citoyens exercent directement le pouvoir, sans l'intermédiaire de représentants élus.

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Extrême gauche

Le terme extrême gauche est employé depuis 1920 pour désigner une partie des groupes, mouvements, organisations et partis politiques,, dont les principaux furent d'obédience maoïste et trotskiste, qui souhaitent le renversement du capitalisme en faveur d'une société sans classes sociales, mais n'ont pas de représentation dans les assemblées parlementaires, car ils restent à l'écart des accords de désistement électoral et de gouvernement.

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François Châtelet (philosophe)

Michel François Jacques Châtelet, dit François Châtelet, né le à Paris sur le site du catalogue général de la BnF et mort le à Garches (Hauts-de-Seine), est un historien de la philosophie, philosophe politique et penseur de l'histoire français.

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Friedrich Engels

Friedrich Engels, né le à Barmen (Prusse) et mort le à Londres, est un philosophe, sociologue, anthropologue et un théoricien socialiste et communiste allemand, grand ami de Karl Marx.

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Gauche (politique)

En politique, l'usage consiste à diviser les partis politiques en catégories générales qui formalisent une division bipartisane.

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Guy Debord

Guy Debord, né le à Paris et mort le à Bellevue-la-Montagne en Haute-Loire, est un écrivain, théoricien, cinéaste, poète et révolutionnaire conseilliste français. Il se considérait avant tout comme un stratège. C'est lui qui a conceptualisé la notion sociopolitique de « spectacle », développée dans son œuvre la plus connue, La Société du spectacle (1967). Debord a été l'un des fondateurs de l'Internationale lettriste de 1952 à 1957, puis de l'Internationale situationniste de 1957 à 1972, dont il a dirigé la revue française.

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Histoire

L’histoire est à la fois l'étude et l'écriture des faits et des événements passés quelles que soient leur variété et leurs complexités.

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Internationale situationniste

L’Internationale situationniste (I.S.) est une organisation de théoriciens, stratèges et activistes révolutionnaires opérant dans les domaines culturels, artistiques, politiques, sociaux et désireux d'en finir avec la société de classes et la « dictature de la marchandise ».

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Jean-François Lyotard

Jean-François Lyotard, né le à Versailles et mort le à, est un philosophe français associé au post-structuralisme et surtout connu pour son usage critique de la notion de postmodernité.

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Joseph Staline

Joseph Staline, né le Officiellement le. Quoiqu'il y ait des informations contradictoires dans les sources au sujet de la date de naissance de Staline, le registre des naissances de l'église Ouspensky à Gori mentionne la naissance de Iossif Djougachvili le (selon le calendrier julien alors en vigueur). Cette date est également mentionnée sur son diplôme scolaire, sa fiche signalétique de la police tsariste, un procès-verbal d'une arrestation datée du où il affirme avoir, ainsi que dans tous les documents pré-révolutionnaires existants. Staline lui-même mentionne le dans un curriculum vitæ rédigé de sa main en 1921. Cependant, à partir de 1922, cette date de naissance est changée pour le (en calendrier julien), date à laquelle sera fêté son anniversaire en Union soviétique. Le dramaturge Edvard Radzinsky suggère que ce changement fut opéré afin que la célébration du de Staline puisse se dérouler à travers tout le pays, et qu'en 1928 son pouvoir n'était pas encore suffisamment assis pour ce faire. Dans son ouvrage Staline (éd. Fayard, 2001), l'historien Jean-Jacques Marie montre en revanche qu'il avait déjà modifié sa date de naissance bien avant 1914. à Gori (Empire russe, actuelle Géorgie) et mort le à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il dirige l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des jusqu'à sa mort en établissant un régime de dictature personnelle absolue de type totalitaire. Les historiens le jugent responsable, à des degrés divers, de la mort de trois à plus de de personnes. Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, il est surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance. Il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en. Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe, qui signifie « acier ». Acteur marginal de la révolution d'Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tchéka, et devenant, en, secrétaire général du Comité central du Parti communiste. Après la mort de Lénine en, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes. S'appuyant sur la bureaucratisation croissante du régime et la toute-puissance de l’appareil policier, la Guépéou puis le NKVD, il impose progressivement un pouvoir personnel absolu et transforme l'URSS en un État totalitaire. Le culte de la personnalité construit autour de sa personne, le secret systématiquement entretenu autour de ses faits et gestes, le travestissement de la réalité par le recours incessant à la propagande, la falsification du passé, la dénonciation délirante de complots, de saboteurs et de traîtres, l’organisation de procès truqués, la liquidation physique d’adversaires politiques ou de personnalités tombées en disgrâce sont des caractéristiques permanentes de son régime. Il procède à la collectivisation intégrale des terres, décrétant la « liquidation des koulaks en tant que classe », et industrialise l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux aux objectifs irréalistes et au prix d'un coût humain et social exorbitant. Son long règne est marqué par un régime de terreur et de délation paroxystiques et par la mise à mort ou l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes, notamment au cours de la « collectivisation » des campagnes et des Grandes Purges de 1937. Il pratique aussi bien des déplacements de population massifs, dont la déportation intégrale d'une quinzaine de minorités nationales, que la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947, après les avoir en partie provoquées par une politique impitoyable de réquisitions forcées de produits agricoles dans les campagnes dont le blocus organisé empêche la fuite des populations rurales affamées et les prive de tout secours. Dans un contexte international de plus en plus tendu par la montée en puissance de l'Allemagne hitlérienne, Staline engage l'Union soviétique dans des négociations avec le régime nazi qui aboutissent, en, à la signature du pacte germano-soviétique, qui jusqu'en juin 1941 fait de l'URSS une alliée de l'Allemagne nazie pendant les deux premières années de la Seconde Guerre mondiale. La coopération économique entre les deux pays entreprise après la signature des est brutalement interrompue par l'invasion allemande de l'Union soviétique en, précipitant cette dernière dans la guerre aux côtés du Royaume-Uni, alors seul face à l'Allemagne nazie. La victoire militaire finale dans un conflit qui a mis l'URSS au bord du gouffre, et dont la bataille de Stalingrad est un tournant majeur, confère à Staline un prestige international retentissant et lui permet d'affirmer son emprise sur un empire s'étendant de la frontière occidentale de la RDA à l'océan Pacifique. Joseph Staline est également l'auteur de textes exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein des courants communistes liés à l'URSS, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme. Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956: la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant aucune démocratisation du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline peuvent être dénoncés en URSS dans toute leur ampleur.

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Karl Marx

Karl Marx (en allemand), né le à Trèves dans le grand-duché du Bas-Rhin et mort le à Londres, est un philosophe, économiste, historien, sociologue, journaliste, théoricien de la révolution, socialiste et communiste prussien.

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Léninisme

Le léninisme est une idéologie politique dérivée du marxisme se réclamant de Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine (1870-1924), de ses écrits, de son action et de ses idées en matière d'organisation et de stratégie politiques.

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Lutte des classes

La lutte des classes est une expression qui désigne les tensions dans une société hiérarchisée et divisée en classes sociales, chacune luttant pour sa situation sociale et économique, et un modèle théorique qui explique les enjeux de cet affrontement.

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Luxemburgisme

Le luxemburgisme (également orthographié luxembourgisme) est un courant politique communiste et révolutionnaire.

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Manifeste du parti communiste

Le Manifeste du parti communiste (en Manifest der Kommunistischen Partei) est un essai politico-philosophique commandé par la Ligue des communistes (ancienne Ligue des justes), et rédigé en allemand par Karl Marx (qui intègre dans le texte certains passages écrits antérieurement par Friedrich Engels).

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Maoïsme

Le maoïsme (en chinois: 毛泽东思想, pinyin: Máo Zédōng sīxiǎng, « pensée Mao-Zedong ») est un courant du communisme révolutionnaire développé au par Mao Zedong, chef du Parti communiste chinois, qui arrive au pouvoir en Chine dès 1949, au terme d'une longue guerre civile contre le Guomindang et d'une guerre contre l'empire du Japon.

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Marxisme-léninisme

Staline lors d'un défilé en République démocratique allemande, en 1953. Le marxisme-léninisme revendique une filiation directe entre la pensée de Marx et l'apport de Lénine à la théorie révolutionnaire communiste.

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Modernité

La modernité est un concept désignant l’idée d'agir en conformité avec son temps et non plus en fonction de valeurs, considérées de facto comme « dépassées ».

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Nation

Gravure britannique représentant deux allégories des nations française et anglaise, en lutte contre une allégorie de l'Empire allemand, lequel est incarné par un aigle. Francis Ernest Jackson, ''Défense contre l'agression'', 1917. Le sens moderne de nation est assez proche de celui de peuple, mais ajoute souvent l'idée d'État (souhaité, autonome ou indépendant).

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Ouvrier

L'ouvrier ou l'ouvrière est une personne qui loue ses services dans le cadre d'un travail industriel ou agricole en échange d'un salaire.

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Parti communiste de l'Union soviétique

Le Parti communiste de l'Union soviétique (PCUS) (en trans ou КПСС) était le seul parti politique autorisé dans l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) entre 1925 et 1990.

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Philosophie

La philosophie, du grec ancien (composé de, « aimer », et de, « sagesse, savoir »), signifiant littéralement « amour du savoir » et communément « amour de la sagesse », est une démarche qui vise à une compréhension du monde et de la vie par une réflexion rationnelle et critique.

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Politique

Notion polysémique, la politique recouvre.

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Productivité

En économie, la productivité entend mesurer le degré de contribution d'un ou de plusieurs facteurs de production (facteurs matériels consommés ou facteurs immatériels mis en œuvre) à la variation du résultat final dégagé par un processus de transformation.

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Prolétariat

Le prolétariat est, selon Karl Marx notamment, la classe sociale opposée à la classe capitaliste.

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Révolution

''La Liberté guidant le peuple'', de Eugène Delacroix célèbre la révolution des Trois Glorieuses des 27, 28 et 29 juillet 1830. Une révolution, mot pris ici dans son acception politique, est un renversement radical d’un régime en place, et ce, par la force.

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Rosa Luxemburg

Rosa Luxemburg (parfois retranscrit en français Rosa Luxembourg, en polonais Róża Luksemburg), née le à Zamość en Pologne (dans l'Empire russe) et morte assassinée le à Berlin en Allemagne, est une militante socialiste et communiste, et une théoricienne marxiste.

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Salariat

import-export et leur patron. Le salariat est une relation économique et sociale entre un travailleur et un employeur, où le travailleur vend sa force de travail dans le cadre d'un contrat de travail formel ou informel, dans le but d'engendrer un profit pour l'employeur.

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Seconde Guerre mondiale

La Seconde Guerre mondiale, ou Deuxième Guerre mondiale, est un conflit armé à l'échelle planétaire qui dure du au.

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Socialisme

Le drapeau rouge est le principal symbole du socialisme et du communisme à leur commencement. Le concept de socialisme recouvre un ensemble très divers de courants de pensée et de mouvements politiquesGuy Hermet, Bertrand Badie, Pierre Birnbaum, Philippe Braud, Dictionnaire de la science politique et des institutions politiques, Armand Colin, 2010, page 283.

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Société (sciences sociales)

Image montrant les premières sociétés durant les premières ères humaines. Le terme société, en sciences sociales, désigne un ensemble de personnes qui partagent des normes, des comportements et une culture, et qui interagissent en coopération pour former des groupes sociaux ou une communauté.

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Sociologie

La sociologie est une discipline des sciences sociales qui a pour objectif de rechercher des explications et des compréhensions typiquement sociales, et non pas mentales ou biophysiques, à des phénomènes observables.

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Totalitarisme

Mao Zedong et Joseph Staline, en 1949. Tag anti-totalitaire sur un mur à Bucarest (2013). Kim Il-sung, fondateur et premier dictateur de la Corée du Nord, un régime totalitaire. Le totalitarisme est un régime et système politique dans lequel existe un parti unique, n'admettant aucune opposition organisée, et où l'État tend à exercer une mainmise sur la totalité des activités de la société.

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Travail

Au sens économique usuel, le travail est l'activité rémunérée qui permet la production de biens et services.

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Trotskisme

Léon Trotski (1879-1940). Le trotskisme, parfois nommé bolchévisme-léninisme, est une philosophie politique de type marxiste se réclamant de Léon Trotski, de ses écrits, de son action et de ses idées.

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Union des républiques socialistes soviétiques

L'Union des républiques socialistes soviétiques, abrégé en URSS« URSS » présente la particularité de couramment s'écrire et se prononcer comme un sigle simple, chaque lettre prononcée séparément: U-R-S-S, mais aussi de couramment s'écrire et se prononcer comme un acronyme: « l'URSS » (le mot et son article sont alors prononcés comme le mot inventé « lurce », phonétique). ou Union soviétique (en russe, СССР; transcription: Soïouz Sovietskikh Sotsialistitcheskikh Riespoublik, SSSR; « Union des républiques socialistes des conseils »), était un État fédéral transcontinental à régime communiste.

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La liste ci-dessus répond aux questions suivantes

Comparaison entre Marxisme et Socialisme ou barbarie

Marxisme a 270 relations, tout en Socialisme ou barbarie a 365. Comme ils ont en commun 49, l'indice de Jaccard est 7.72% = 49 / (270 + 365).

Références

Cet article montre la relation entre Marxisme et Socialisme ou barbarie. Pour accéder à chaque article à partir de laquelle l'information a été extraite, s'il vous plaît visitez:

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