Logo
Unionpédia
Communication
Disponible sur Google Play
Nouveau! Téléchargez Unionpédia sur votre appareil Android™!
Gratuit
Accès plus rapide que le navigateur!
 

Margarete Schütte-Lihotzky et Union des républiques socialistes soviétiques

Raccourcis: Différences, Similitudes, Jaccard similarité Coefficient, Références.

Différence entre Margarete Schütte-Lihotzky et Union des républiques socialistes soviétiques

Margarete Schütte-Lihotzky vs. Union des républiques socialistes soviétiques

Margarete Schütte-Lihotzky (née le à Vienne et morte le dans la même ville) est la première architecte autrichienne. L'Union des républiques socialistes soviétiques, abrégé en URSS« URSS » présente la particularité de couramment s'écrire et se prononcer comme un sigle simple, chaque lettre prononcée séparément: U-R-S-S, mais aussi de couramment s'écrire et se prononcer comme un acronyme: « l'URSS » (le mot et son article sont alors prononcés comme le mot inventé « lurce », phonétique). ou Union soviétique (en russe, СССР; transcription: Soïouz Sovietskikh Sotsialistitcheskikh Riespoublik, SSSR; « Union des républiques socialistes des conseils »), était un État fédéral transcontinental à régime communiste.

Similitudes entre Margarete Schütte-Lihotzky et Union des républiques socialistes soviétiques

Margarete Schütte-Lihotzky et Union des républiques socialistes soviétiques ont 17 choses en commun (em Unionpédia): Chine, Communisme, Cuba, Déportation, Grandes Purges, Japon, Joseph Staline, Magnitogorsk, Moscou, Nazisme, Oural, Planification économique, Première Guerre mondiale, République, République démocratique allemande, République de Weimar, Seconde Guerre mondiale.

Chine

La Chine (en chinois), en forme longue la république populaire de Chine (RPC), également appelée Chine populaire et Chine communiste, est un pays d'Asie de l'Est.

Chine et Margarete Schütte-Lihotzky · Chine et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Communisme

Karl Marx, théoricien du communisme. Vladimir Ilitch Lénine, fondateur de l'URSS. XX. marxiste argentin, une figure de la révolution cubaine. Manifestation du Parti de la refondation communiste italien en 2007. Le communisme (du latin communis – commun, universel) est initialement un ensemble de doctrines politiques, issues du socialisme et, pour la plupart, du marxisme, s'opposant au capitalisme et visant à l'instauration d'une société sans classes sociales, sans salariat, et la mise en place d'une totale socialisation économique et démocratique des moyens de production.

Communisme et Margarete Schütte-Lihotzky · Communisme et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Cuba

Cuba, en forme longue la république de Cuba (en República de Cuba), est un État insulaire des Caraïbes formé de l'île de Cuba (la plus grande île des Antilles), de l'île de la Jeunesse (appelée île aux Pins jusqu'en 1978) et de cayes et îlotsLes cayes sont de petites îles, ou îlots, d’élévation faible, faite de sable ou de corail.

Cuba et Margarete Schütte-Lihotzky · Cuba et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Déportation

La déportation est l'action pour un pouvoir politique de contraindre une catégorie ou un groupe de personnes à quitter son habitat (territoire ou pays), soit pour l'obliger à s'installer ailleurs (déplacement forcé, regroupement forcé ou « purification ethnique »), soit pour le retenir dans des camps (travail forcé).

Déportation et Margarete Schütte-Lihotzky · Déportation et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Grandes Purges

Monument érigé en hommage aux victimes des Grandes Purges, dans la ville de Donetsk (Ukraine), en 2013. Les Grandes Purges sont une période de répressions politiques massives en Union soviétique dans la seconde moitié des années 1930, principalement de 1936 à 1938.

Grandes Purges et Margarete Schütte-Lihotzky · Grandes Purges et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Japon

Le Japon (en japonais:,, ou) est un pays insulaire de l'Asie de l'Est, situé entre l'océan Pacifique et la mer du Japon, à l'est de la Chine, de la Corée du Sud, de la Corée du Nord et de la Russie, et au nord de Taïwan.

Japon et Margarete Schütte-Lihotzky · Japon et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Joseph Staline

Joseph Staline, né le Officiellement le. Quoiqu'il y ait des informations contradictoires dans les sources au sujet de la date de naissance de Staline, le registre des naissances de l'église Ouspensky à Gori mentionne la naissance de Iossif Djougachvili le (selon le calendrier julien alors en vigueur). Cette date est également mentionnée sur son diplôme scolaire, sa fiche signalétique de la police tsariste, un procès-verbal d'une arrestation datée du où il affirme avoir, ainsi que dans tous les documents pré-révolutionnaires existants. Staline lui-même mentionne le dans un curriculum vitæ rédigé de sa main en 1921. Cependant, à partir de 1922, cette date de naissance est changée pour le (en calendrier julien), date à laquelle sera fêté son anniversaire en Union soviétique. Le dramaturge Edvard Radzinsky suggère que ce changement fut opéré afin que la célébration du de Staline puisse se dérouler à travers tout le pays, et qu'en 1928 son pouvoir n'était pas encore suffisamment assis pour ce faire. Dans son ouvrage Staline (éd. Fayard, 2001), l'historien Jean-Jacques Marie montre en revanche qu'il avait déjà modifié sa date de naissance bien avant 1914. à Gori (Empire russe, actuelle Géorgie) et mort le à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il dirige l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des jusqu'à sa mort en établissant un régime de dictature personnelle absolue de type totalitaire. Les historiens le jugent responsable, à des degrés divers, de la mort de trois à plus de de personnes. Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, il est surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance. Il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en. Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe, qui signifie « acier ». Acteur marginal de la révolution d'Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tchéka, et devenant, en, secrétaire général du Comité central du Parti communiste. Après la mort de Lénine en, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes. S'appuyant sur la bureaucratisation croissante du régime et la toute-puissance de l’appareil policier, la Guépéou puis le NKVD, il impose progressivement un pouvoir personnel absolu et transforme l'URSS en un État totalitaire. Le culte de la personnalité construit autour de sa personne, le secret systématiquement entretenu autour de ses faits et gestes, le travestissement de la réalité par le recours incessant à la propagande, la falsification du passé, la dénonciation délirante de complots, de saboteurs et de traîtres, l’organisation de procès truqués, la liquidation physique d’adversaires politiques ou de personnalités tombées en disgrâce sont des caractéristiques permanentes de son régime. Il procède à la collectivisation intégrale des terres, décrétant la « liquidation des koulaks en tant que classe », et industrialise l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux aux objectifs irréalistes et au prix d'un coût humain et social exorbitant. Son long règne est marqué par un régime de terreur et de délation paroxystiques et par la mise à mort ou l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes, notamment au cours de la « collectivisation » des campagnes et des Grandes Purges de 1937. Il pratique aussi bien des déplacements de population massifs, dont la déportation intégrale d'une quinzaine de minorités nationales, que la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947, après les avoir en partie provoquées par une politique impitoyable de réquisitions forcées de produits agricoles dans les campagnes dont le blocus organisé empêche la fuite des populations rurales affamées et les prive de tout secours. Dans un contexte international de plus en plus tendu par la montée en puissance de l'Allemagne hitlérienne, Staline engage l'Union soviétique dans des négociations avec le régime nazi qui aboutissent, en, à la signature du pacte germano-soviétique, qui jusqu'en juin 1941 fait de l'URSS une alliée de l'Allemagne nazie pendant les deux premières années de la Seconde Guerre mondiale. La coopération économique entre les deux pays entreprise après la signature des est brutalement interrompue par l'invasion allemande de l'Union soviétique en, précipitant cette dernière dans la guerre aux côtés du Royaume-Uni, alors seul face à l'Allemagne nazie. La victoire militaire finale dans un conflit qui a mis l'URSS au bord du gouffre, et dont la bataille de Stalingrad est un tournant majeur, confère à Staline un prestige international retentissant et lui permet d'affirmer son emprise sur un empire s'étendant de la frontière occidentale de la RDA à l'océan Pacifique. Joseph Staline est également l'auteur de textes exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein des courants communistes liés à l'URSS, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme. Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956: la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant aucune démocratisation du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline peuvent être dénoncés en URSS dans toute leur ampleur.

Joseph Staline et Margarete Schütte-Lihotzky · Joseph Staline et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Magnitogorsk

Magnitogorsk (en Магнитогорск) est une ville minière et industrielle de l’oblast de Tcheliabinsk, en Russie.

Magnitogorsk et Margarete Schütte-Lihotzky · Magnitogorsk et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Moscou

Moscou (en Москва, Moskva) est la capitale de la Russie et compte environ habitants intra muros en 2023 sur une superficie de, ce qui en fait la ville la plus peuplée à la fois du pays et d'Europe.

Margarete Schütte-Lihotzky et Moscou · Moscou et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Nazisme

Le national-socialisme (en allemand Nationalsozialismus), plus couramment désigné en français sous l'abréviation nazisme (en allemand Nazismus), est l'idéologie politique du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP), parti politique d'extrême droite fondé en Allemagne en 1920 et dirigé par Adolf Hitler.

Margarete Schütte-Lihotzky et Nazisme · Nazisme et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Oural

L’Oural ou les monts Oural est une chaîne de montagnes hercynienne située en Russie.

Margarete Schütte-Lihotzky et Oural · Oural et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Planification économique

La planification économique est un mécanisme d'allocation des ressources qui est en contraste avec les mécanismes du marché.

Margarete Schütte-Lihotzky et Planification économique · Planification économique et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Première Guerre mondiale

La Première Guerre mondialeCette guerre a reçu différents noms: l'article sur les appellations de la Première Guerre mondiale.

Margarete Schütte-Lihotzky et Première Guerre mondiale · Première Guerre mondiale et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

République

La république est un mode d'organisation d'un pays dans lequel le pouvoir est exercé par la population ou ses représentants, généralement élus, et où le chef d'État (s'il existe) n'est pas héréditaire et n'est pas le seul à détenir le pouvoir.

Margarete Schütte-Lihotzky et République · République et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

République démocratique allemande

La République démocratique allemande (RDA); en Deutsche Demokratische Republik ou DDR, parfois traduit par République démocratique d'Allemagne), communément appelée Allemagne de l'Est, est un ancien État communiste européen créé le par le Parti socialiste unifié d'Allemagne, allié de l’URSS. Le territoire de la RDA correspond à la zone occupée par l'Armée rouge. Cet événement intervient après la fondation de la République fédérale d’Allemagne précédée par la trizone des puissances occupantes occidentales. Berlin-Est, le secteur soviétique de la ville, était la capitale de la RDA. La RDA faisait partie des dictatures qui se revendiquaient comme des, politiquement affiliées à l'URSS au sein du bloc de l'Est. À partir du, l'enclave occidentale de Berlin-Ouest est séparée de Berlin-Est et du reste de la RDA par le mur de Berlin, qui devient l'un des symboles du. Le but étant d'empêcher la fuite vers l'ouest des citoyens est-allemands voulant échapper à la dictature. L'effondrement du bloc de l'Est entraîne la disparition de la RDA, qui est absorbée par la RFA le, près de après sa fondation. Cela scelle le processus de réunification, formant ainsi l'Allemagne unifiée actuelle. L’idéologie officielle de l’État était le marxisme-léninisme. Dans la recherche historique contemporaine, le système de gouvernement en RDA est parfois décrit soit comme relevant du « socialisme réel », soit comme communiste. Les dirigeants du pays le considéraient comme un « État socialiste des ouvriers et des paysans » et un État de paix, affirmant que la RDA prenait racine dans la guerre et la lutte contre le fascisme. L'antifascisme était devenu une doctrine d’État en RDA.

Margarete Schütte-Lihotzky et République démocratique allemande · République démocratique allemande et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

République de Weimar

La république de Weimar est le nom donné par les historiens au régime politique en place en Allemagne de 1918 à 1933.

Margarete Schütte-Lihotzky et République de Weimar · République de Weimar et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Seconde Guerre mondiale

La Seconde Guerre mondiale, ou Deuxième Guerre mondiale, est un conflit armé à l'échelle planétaire qui dure du au.

Margarete Schütte-Lihotzky et Seconde Guerre mondiale · Seconde Guerre mondiale et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

La liste ci-dessus répond aux questions suivantes

Comparaison entre Margarete Schütte-Lihotzky et Union des républiques socialistes soviétiques

Margarete Schütte-Lihotzky a 91 relations, tout en Union des républiques socialistes soviétiques a 760. Comme ils ont en commun 17, l'indice de Jaccard est 2.00% = 17 / (91 + 760).

Références

Cet article montre la relation entre Margarete Schütte-Lihotzky et Union des républiques socialistes soviétiques. Pour accéder à chaque article à partir de laquelle l'information a été extraite, s'il vous plaît visitez:

Hey! Nous sommes sur Facebook maintenant! »