Logo
Unionpédia
Communication
Disponible sur Google Play
Nouveau! Téléchargez Unionpédia sur votre appareil Android™!
Installer
Accès plus rapide que le navigateur!
 

Białystok et Massacre de Katyń

Raccourcis: Différences, Similitudes, Jaccard similarité Coefficient, Références.

Différence entre Białystok et Massacre de Katyń

Białystok vs. Massacre de Katyń

Białystok (prononciation polonaise) est la plus grande ville du nord-est de la Pologne et le chef-lieu de la voïvodie de Podlasie, du powiat de Białystok et du powiat-ville de Białystok. Mémorial au cimetière militaire de Katyń. Le massacre de Katyń est l'assassinat de masse, par la police politique de l’Union soviétique (le NKVD), au printemps 1940 dans la forêt de Katyń, en Union soviétique, de plusieurs milliers de Polonais, essentiellement des officiers d'active et de réserve (dont des étudiants, des médecins, des ingénieurs, des enseignants), et de divers autres membres des élites polonaises considérées comme hostiles à l’idéologie communiste.

Similitudes entre Białystok et Massacre de Katyń

Białystok et Massacre de Katyń ont 24 choses en commun (em Unionpédia): Biélorussie, Déportation des peuples en URSS, Gestapo, Goulag, Gouvernement polonais en exil, Guerre soviéto-polonaise, Joseph Staline, Judéo-bolchevisme, Le Monde, NKVD, Opération Barbarossa, Pacte germano-soviétique, Partages de la Pologne, Plate-forme civique, Pologne, Première Guerre mondiale, Presses de la Cité, République populaire de Pologne, Ryszard Kaczorowski, Seconde Guerre mondiale, Shoah, Troisième Reich, Union des républiques socialistes soviétiques, Wehrmacht.

Biélorussie

La Biélorussie ou le Bélarus, en forme longue la république de Biélorussie ou la république du Bélarus, est un pays d'Europe orientale sans accès à la mer, bordé par la Lettonie au nord, par la Russie au nord-est et à l'est, par l'Ukraine au sud, par la Pologne à l'ouest, et par la Lituanie au nord-ouest.

Biélorussie et Białystok · Biélorussie et Massacre de Katyń · Voir plus »

Déportation des peuples en URSS

La déportation des peuples en URSS est une des formes de répression politique en URSS.

Białystok et Déportation des peuples en URSS · Déportation des peuples en URSS et Massacre de Katyń · Voir plus »

Gestapo

Drapeau de l'Association des victimes de la Gestapo, fondée le 13 septembre 1944. Le siège de la Gestapo, Prinz-Albrecht-Straße à Berlin (actuelle Niederkirchnerstraße). avril 1945. La Gestapo, acronyme tiré de l'allemand Geheime Staatspolizei signifiant « Police secrète d'État », était la police politique du Troisième Reich.

Białystok et Gestapo · Gestapo et Massacre de Katyń · Voir plus »

Goulag

Le Goulag (en russe) est l’organisme central gérant les camps de travail forcé en Union soviétique.

Białystok et Goulag · Goulag et Massacre de Katyń · Voir plus »

Gouvernement polonais en exil

Le gouvernement polonais en exil, officiellement nommé gouvernement de la république de Pologne en exil, est le nom donné aux instances politiques légales polonaises qui, avec le président de la république de Pologne, après la campagne de 1939, se sont établies d'abord à Angers en France, puis, après la défaite de la France en, à Londres au Royaume-Uni, pour continuer, au nom du peuple polonais, la lutte contre l'agresseur.

Białystok et Gouvernement polonais en exil · Gouvernement polonais en exil et Massacre de Katyń · Voir plus »

Guerre soviéto-polonaise

La guerre soviéto-polonaise, ou guerre russo-polonaise, a eu lieu de à et est l'une des conséquences de la Première Guerre mondiale.

Białystok et Guerre soviéto-polonaise · Guerre soviéto-polonaise et Massacre de Katyń · Voir plus »

Joseph Staline

Joseph Staline, né le Officiellement le. Quoiqu'il y ait des informations contradictoires dans les sources au sujet de la date de naissance de Staline, le registre des naissances de l'église Ouspensky à Gori mentionne la naissance de Iossif Djougachvili le (selon le calendrier julien alors en vigueur). Cette date est également mentionnée sur son diplôme scolaire, sa fiche signalétique de la police tsariste, un procès-verbal d'une arrestation datée du où il affirme avoir, ainsi que dans tous les documents pré-révolutionnaires existants. Staline lui-même mentionne le dans un curriculum vitæ rédigé de sa main en 1921. Cependant, à partir de 1922, cette date de naissance est changée pour le (en calendrier julien), date à laquelle sera fêté son anniversaire en Union soviétique. Le dramaturge Edvard Radzinsky suggère que ce changement fut opéré afin que la célébration du de Staline puisse se dérouler à travers tout le pays, et qu'en 1928 son pouvoir n'était pas encore suffisamment assis pour ce faire. Dans son ouvrage Staline (éd. Fayard, 2001), l'historien Jean-Jacques Marie montre en revanche qu'il avait déjà modifié sa date de naissance bien avant 1914. à Gori (Empire russe, actuelle Géorgie) et mort le à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il dirige l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des jusqu'à sa mort en établissant un régime de dictature personnelle absolue de type totalitaire. Les historiens le jugent responsable, à des degrés divers, de la mort de trois à plus de de personnes. Né Iossif Vissarionovitch Djougachvili, il est surnommé Sosso (diminutif de Iossif ou de Iosseb) pendant son enfance. Il se fait ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) par ses amis proches et dans ses premières années de militantisme clandestin au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR), auquel il adhère en. Il utilise ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe, qui signifie « acier ». Acteur marginal de la révolution d'Octobre, il étend peu à peu son influence politique pendant la guerre civile russe, tissant des liens étroits avec la police politique, la Tchéka, et devenant, en, secrétaire général du Comité central du Parti communiste. Après la mort de Lénine en, il mène un jeu patient d'intrigues souterraines et d'alliances successives avec les diverses factions du Parti, et supplante un à un ses rivaux politiques, contraints à l’exil ou évincés des instances dirigeantes. S'appuyant sur la bureaucratisation croissante du régime et la toute-puissance de l’appareil policier, la Guépéou puis le NKVD, il impose progressivement un pouvoir personnel absolu et transforme l'URSS en un État totalitaire. Le culte de la personnalité construit autour de sa personne, le secret systématiquement entretenu autour de ses faits et gestes, le travestissement de la réalité par le recours incessant à la propagande, la falsification du passé, la dénonciation délirante de complots, de saboteurs et de traîtres, l’organisation de procès truqués, la liquidation physique d’adversaires politiques ou de personnalités tombées en disgrâce sont des caractéristiques permanentes de son régime. Il procède à la collectivisation intégrale des terres, décrétant la « liquidation des koulaks en tant que classe », et industrialise l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux aux objectifs irréalistes et au prix d'un coût humain et social exorbitant. Son long règne est marqué par un régime de terreur et de délation paroxystiques et par la mise à mort ou l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes, notamment au cours de la « collectivisation » des campagnes et des Grandes Purges de 1937. Il pratique aussi bien des déplacements de population massifs, dont la déportation intégrale d'une quinzaine de minorités nationales, que la sédentarisation forcée non moins désastreuse de nomades d'Asie centrale. Il nie aussi l'existence des famines meurtrières de 1932-1933 (Holodomor) et de 1946-1947, après les avoir en partie provoquées par une politique impitoyable de réquisitions forcées de produits agricoles dans les campagnes dont le blocus organisé empêche la fuite des populations rurales affamées et les prive de tout secours. Dans un contexte international de plus en plus tendu par la montée en puissance de l'Allemagne hitlérienne, Staline engage l'Union soviétique dans des négociations avec le régime nazi qui aboutissent, en, à la signature du pacte germano-soviétique, qui jusqu'en juin 1941 fait de l'URSS une alliée de l'Allemagne nazie pendant les deux premières années de la Seconde Guerre mondiale. La coopération économique entre les deux pays entreprise après la signature des est brutalement interrompue par l'invasion allemande de l'Union soviétique en, précipitant cette dernière dans la guerre aux côtés du Royaume-Uni, alors seul face à l'Allemagne nazie. La victoire militaire finale dans un conflit qui a mis l'URSS au bord du gouffre, et dont la bataille de Stalingrad est un tournant majeur, confère à Staline un prestige international retentissant et lui permet d'affirmer son emprise sur un empire s'étendant de la frontière occidentale de la RDA à l'océan Pacifique. Joseph Staline est également l'auteur de textes exposant ses conceptions du marxisme et du léninisme, qui contribuent à fixer pour des décennies, au sein des courants communistes liés à l'URSS, l'orthodoxie marxiste-léniniste. Sa pratique politique et ses conceptions idéologiques sont désignées sous le terme de stalinisme. Après la mort de Staline, ces pratiques sont dénoncées par Nikita Khrouchtchev au cours du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique de 1956: la déstalinisation et la relative détente qui s'ensuivent n'entraînent cependant aucune démocratisation du bloc de l'Est. Ce n'est qu'à l'époque de la perestroïka mise en place par Mikhaïl Gorbatchev que les crimes de Staline peuvent être dénoncés en URSS dans toute leur ampleur.

Białystok et Joseph Staline · Joseph Staline et Massacre de Katyń · Voir plus »

Judéo-bolchevisme

État soviétique qui, pour eux, n'était plus la Russie). Le judéo-bolchevisme, existant également sous des variantes comme judéo-marxisme ou judéo-communisme, est une expression politique et polémique employée dans des discours alliant antisémitisme et anticommunisme.

Białystok et Judéo-bolchevisme · Judéo-bolchevisme et Massacre de Katyń · Voir plus »

Le Monde

Le Monde est un journal français fondé par Hubert Beuve-Méry en 1944.

Białystok et Le Monde · Le Monde et Massacre de Katyń · Voir plus »

NKVD

Le NKVD (en, l'abréviation de Народный комиссариат внутреннихдел, Narodniï komissariat vnoutrennikh diel ou Commissariat du peuple aux Affaires intérieures) était l'organisme d'État d'abord dans les républiques socialistes soviétiques constituant l'URSS et ensuite dans l'URSS entière, dont relevait la police politique « chargée de combattre le crime et de maintenir l'ordre public ».

Białystok et NKVD · Massacre de Katyń et NKVD · Voir plus »

Opération Barbarossa

L’ (en Unternehmen Barbarossa), nommée en référence à l'empereur Frédéric Barberousse, est le nom de code désignant l'invasion par le IIIe Reich de l'Union soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale, à partir du, et le début du front de l'Est qui sera le plus grand théâtre d'opérations de la Seconde Guerre mondiale.

Białystok et Opération Barbarossa · Massacre de Katyń et Opération Barbarossa · Voir plus »

Pacte germano-soviétique

Conséquences territoriales et démographiques du pacte germano-soviétique. Le Pacte germano-soviétique, officiellement traité de non-agression entre l'Allemagne et l'Union soviétique, est un accord diplomatique signé le à Moscou par les ministres des Affaires étrangères allemand, Joachim von Ribbentrop, et soviétique, Viatcheslav Molotov, en présence de Joseph Staline.

Białystok et Pacte germano-soviétique · Massacre de Katyń et Pacte germano-soviétique · Voir plus »

Partages de la Pologne

Partitions successives de la Pologne. La partition russe (rose), la partition autrichienne (verte) et la partition prussienne (bleue) La formule partages de la Pologne (en polonais rozbiory Polski) désigne les annexions successives subies par le territoire de la république des Deux Nations (royaume de Pologne et grand-duché de Lituanie) à la fin du (1772, 1793 et 1795) du fait du royaume de Prusse et de l'empire d'Autriche qui voulaient annexer des parties de son territoire, et de l'Empire russe qui voulait y maintenir son protectorat.

Białystok et Partages de la Pologne · Massacre de Katyń et Partages de la Pologne · Voir plus »

Plate-forme civique

La Plate-forme civique ou Plateforme civique (abrégé en PO), est un parti politique polonais de type libéral-conservateur, démocrate-chrétien et pro-européen situé, selon les sources, au centre ou au centre droit.

Białystok et Plate-forme civique · Massacre de Katyń et Plate-forme civique · Voir plus »

Pologne

La Pologne, en forme longue république de Pologne (Rzeczpospolita Polska), est un État d'Europe centrale, frontalier avec l'Allemagne à l'ouest, la Tchéquie au sud-ouest, la Slovaquie au sud, l'Ukraine à l'est-sud-est et la Biélorussie à l'est-nord-est, et enfin l'enclave russe de Kaliningrad et la Lituanie au nord-est.

Białystok et Pologne · Massacre de Katyń et Pologne · Voir plus »

Première Guerre mondiale

La Première Guerre mondialeCette guerre a reçu différents noms: l'article sur les appellations de la Première Guerre mondiale.

Białystok et Première Guerre mondiale · Massacre de Katyń et Première Guerre mondiale · Voir plus »

Presses de la Cité

Les Presses de la Cité sont une maison d'édition française créée en 1944 par Sven Nielsen.

Białystok et Presses de la Cité · Massacre de Katyń et Presses de la Cité · Voir plus »

République populaire de Pologne

La république populaire de Pologne (polonais: Polska Rzeczpospolita Ludowa, PRL) est le nom officiel de la Pologne de 1952 à 1989, période durant laquelle le pays est gouverné par un régime se réclamant du marxisme-léninisme, dominé par le Parti ouvrier unifié polonais.

Białystok et République populaire de Pologne · Massacre de Katyń et République populaire de Pologne · Voir plus »

Ryszard Kaczorowski

Ryszard Kaczorowski, né le à Białystok et mort le à Smolensk, est un homme d'État polonais.

Białystok et Ryszard Kaczorowski · Massacre de Katyń et Ryszard Kaczorowski · Voir plus »

Seconde Guerre mondiale

La Seconde Guerre mondiale, ou Deuxième Guerre mondiale, est un conflit armé à l'échelle planétaire qui dure du au.

Białystok et Seconde Guerre mondiale · Massacre de Katyń et Seconde Guerre mondiale · Voir plus »

Shoah

La Shoah (hébreu: שואה, « catastrophe, anéantissement ») est l'entreprise d'extermination systématique, menée par l'Allemagne nazie contre le peuple juif pendant la Seconde Guerre mondiale, qui conduit à la disparition de cinq à six millions de Juifs, soit les deux tiers des Juifs d'Europe et environ 40 % des Juifs du monde.

Białystok et Shoah · Massacre de Katyń et Shoah · Voir plus »

Troisième Reich

Le Troisième Reich désigne l'État allemand nazi dirigé par Adolf Hitler de 1933 à 1945.

Białystok et Troisième Reich · Massacre de Katyń et Troisième Reich · Voir plus »

Union des républiques socialistes soviétiques

L'Union des républiques socialistes soviétiques, abrégé en URSS« URSS » présente la particularité de couramment s'écrire et se prononcer comme un sigle simple, chaque lettre prononcée séparément: U-R-S-S, mais aussi de couramment s'écrire et se prononcer comme un acronyme: « l'URSS » (le mot et son article sont alors prononcés comme le mot inventé « lurce », phonétique). ou Union soviétique (en russe, СССР; transcription: Soïouz Sovietskikh Sotsialistitcheskikh Riespoublik, SSSR; « Union des républiques socialistes des conseils »), était un État fédéral transcontinental à régime communiste.

Białystok et Union des républiques socialistes soviétiques · Massacre de Katyń et Union des républiques socialistes soviétiques · Voir plus »

Wehrmacht

La Wehrmacht (prononcé en allemand:, littéralement « force de défense ») est le nom porté par l'armée du IIIe Reich à partir du et jusqu'à sa dissolution officielle en par les forces d'occupation de l'Allemagne vaincue.

Białystok et Wehrmacht · Massacre de Katyń et Wehrmacht · Voir plus »

La liste ci-dessus répond aux questions suivantes

Comparaison entre Białystok et Massacre de Katyń

Białystok a 160 relations, tout en Massacre de Katyń a 257. Comme ils ont en commun 24, l'indice de Jaccard est 5.76% = 24 / (160 + 257).

Références

Cet article montre la relation entre Białystok et Massacre de Katyń. Pour accéder à chaque article à partir de laquelle l'information a été extraite, s'il vous plaît visitez:

Hey! Nous sommes sur Facebook maintenant! »